Chapitre 15, Je te prévien Jacob, je ne suis pas une gentille filette!

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-Pas très heureuse de te revoir, Jacob Black

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-Pas très heureuse de te revoir, Jacob Black.

-Moi non plus la psychopathe.

-Moi la psychopathe?, demanda Malorie.

-Tu m'as carrément sauté dessus à la fête, comme une vraie sauvage. Alors oui je parle de toi!, se plaigna l'homme musclé.

-Je n'aurais jamais fait ça si tu n'avais pas posséder ma sœur avec ton supposé charme!, cria-t-elle à son encontre.

-Mon charme? Merci du compliment. Je ne t'ai pas volé ta sœur, en passant. Rigola le garçon.

-Elle ne fait que dormir à la maison, sinon elle est à la réserve avec toi j'imagine! Elle ne me parle plus du tout et ne fait que se défiler avec mes parents. J'arrive même pas à être avec elle sans que ton nom vienne dans la discussion. Et oui, j'en peux plus de savoir que ma soeur n'a de yeux que pour toi et ta bande de détraqués!, Dévoila la jeune fille, très en colère.

Il resta silencieux un moment, regardant au loin. Peu après, le quileute voulu reprendre la parole, mais une voix féminine, trop connue par Malorie a son goût, retentit dans leur dos:

-Malorie? Jacob? On vous entend depuis l'intérieur je vous signale! Vous allez encore une fois vous sauter dessus où quoi?

Ni Jacob, ni Malorie n'avaient entendu la cloche de la pause sonner. Ils n'avaient pas non plus vu la vingtaine de troupeaux dehors, les regardant très mal.

La jeune fille souffla de frustration, alors qu'elle reprit la parole, afin de mettre fin à cette dispute:

-Je te prévient Jacob, je ne suis pas une gentille fillette.

Sur ce, elle partit vers l'arrière de la cour, là où se trouvait stade de football. Derrière elle, l'homme ricanais alors que Méah criais au loin:

-Reviens ici! On a pas fini de parler! Espèce de-

Au même moment, quand sa sœur allait crier une de ses superbes insultes, ses écouteurs s'enfonçaient dans ses oreilles. Ainsi, la musique s'est mise en route, défaillante au fil des minutes. La première cloche, qui annonçait la demande de rentrer en classe, sonna dans tout le bâtiment et son extérieur.
Malorie fut obligé de reprendre contact avec la réalité. Malgré son envie contraire, la jeune fille rentra dans son lycée, pris de nouveau ses affaires, (celle de français), puis partit dans la salle consacré à cela.
La grande pièce était constituée de longues rangées de sièges, montant de plus en plus en haut. Malorie avait d'excellentes notes en français, faisant d'elle sa matière favorite.
Le professeur, lui, était sympathique, amusant et expliquait à merveille. Il hypnotisait carrément ses élèves quand était le temps de leur apprendre quelque chose, mais rien avoir avec la matière, seulement lui et son tempérament.

Alors que l'enseignant expliquait quelque chose qui était en lien avec la grammaire, mais Malorie n'écoutait même pas une seule parole de celui-ci. Ce qui n'était pas vraiment normal. La fenêtre était beaucoup plus passionnante, a priori. Elle était beaucoup préoccupée par la relation de sa sœur. Pas que part le mauvais pressentiment pour Jacob, mais aussi pour le sérieux entre eux. Jamais sa sœur n'avait eu de vraie relation sérieuse, durable et stable. Pour ça, elle était la pire. Méah s'attachant à un garçon, l'aimait à la folie, puis finissait par le trouver trop collant et attentionné pour elle. Alors elle le lâchait, la plupart du temps.
Est-ce que cette relation allait bien finir? Sûrement que non, mais Malorie s'obligeais à leur donner un petit bénéfice du doute.
Outre cela, la jeune fille devait attendre pour enfin avoir des réponses à ses questions, et écouter le cours.
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Le midi vint plus rapidement que prévu. Malorie, qui avait l'habitude de manger avec les Cullens, ou avec sa grande sœur, allait définitivement finir seule pour aujourd'hui.
Elle n'avait pris que de la salade, un pain, un muffin et une petite soupe. Rien de bien nutritif. Elle n'avait pas une faim de loup ce midi. Alors qu'elle était assise dans une des tables a trois chaises au fond de la salle, écrivant des notes importantes, une vraie tornade vint proche d'elle. Lentement, Malorie retourna la tête vers sa droite et vit Mike, le pote pervers de Léa. Elle le scruta avec méchanceté, cherchant à savoir ce qu'il pouvait bien faire là. Tout en ricanant, la jeune fille demanda:

-Quelle bon vent t'amène ici Mike. Ma soeur a dit non pour sortir avec toi?

-Ta charmante sœur va un jour tomber sous mon charme, ne t'inquiète pas! Tu sais plusieurs fill-, Mike se fit couper.

-Tu apprendra que dans ma famille, nous avons tous des cœurs de pierres. D'ailleurs, un autre homme l'aime et inversement, Grimaça Malorie. Et si tu continues à la draguer comme un vieux pervers, croit moi sur parole, tes bijoux de famille vont prendre chers.

-Prendre Chers dans quelles sens?, Demanda le garçon en bougeant ses sourcils de haut en bas.

-Dans le sens que tu diras adieu à tes futurs enfants, déclara la jeune fille.

Le garçon perdit alors son sourire. Malorie, très fier de son coup, lui demanda de partir sans son reste. Suite à cela, elle regarda droit devant elle. Sans surprise qu'elle vit toute la grande famille Cullens, la fixant avec leurs yeux macabres et dorés. Mal à l'aise, la jeune fille reprit l'activité de manger sa petite soupe au légumes et au poulet.
Au bout d'une demi-heure, elle fut vraiment fatiguée de les voir la regardant comme un lion à la foire. Alors elle prit son téléphone et écrit un message claire à son amie Alice:

"Je sais bien que je suis belle, mais pas obligée de me fixer comme des animaux."

Rapidement, toute la famille vacquièrent à leur occupations.

Il ne restait que trente minutes à la pause du midi alors que, encore une fois, quelqu'un vint s'asseoir à ses côtés. En colère, sans regarder qui s'était, elle dit tout en se retournant:

-Bordel Mike c'est pas si dure de comprendre que je veux pas te-, elle aussi fut couper.

-Il faut que l'on parle, petite sœur.

Décidément, le monde ne voulait pas la laisser tranquille aujourd'hui...
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Recoucou! Plus court que d'habitude et j'en suis désolé. J'ai eu la page blanche! Mais j'espère que vous avez quand même aimer!

Le CullenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant