Chapitre 13, Doutes et effroies.

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Quand Malorie y repensait, les Cullens étaient différents

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Quand Malorie y repensait, les Cullens étaient différents. Autant au comportement qu'au sens physique. Leur peau froide, leurs yeux étranges, mais attirant, leur vieux langage et autres. Elle n'avait jamais fait bien attention à ses détails qui avaient leurs " raisons", mais après le baiser avec Carlisle, elle avait eu des doutes. De gros doutes. Avaient-ils tous une maladie? Et que le père de famille les avait adopté pour cela? Voilà où était la question.

La jeune fille avait recherché sur le net les symptômes, mais absolument rien. La maladie était alors écartée. Elle ne faisait que tenter de trouver une raison depuis son congé. Stupidement, le lendemain du rendez-vous, elle avait attrapé un bon rhume. Histoire de la clouer au lit. Et voilà ce qui arrivait, trop de temps libre égalait trop de réflexion.

Son cerveau bouillonnait de plus en plus. Mais le silence de la maison faisait du bien, car personne n'était là depuis ce matin. Sa mère lui avait laissé des repas néanmoins, Malorie n'en avait touché aucun et ne répondait à aucun message. Elle était vraiment fatiguée, complètement épuisée. La jeune fille zappait les chaînes de télévision, lentement, les analysent une par une.

A un moment, la sonnette de la porte sonna. Avec aucune grâce et délicatesse, Malorie se leva du canapé et alla ouvrir la porte. En l'ouvrant, un homme donc elle pouvait reconnaître seulement avec l'odeur se tenait devant elle, souriant légèrement.

-Carlisle..., chuchota-t-elle heureuse.

Celui-ci entra dans la maison, tout en regardant sa douce âme-sœur.

-Alice se demandait tu était ou, alors ta soeur a dit que tu étais malade. Un peu par ma faute, (Il ricana), Alors me voilà.

Malorie l'invitait à s'asseoir, ce qu'il accepta. Mais il se stoppa et demanda:

-A tu manger?

De toutes les questions du monde il devait demander celle-ci. Et maintenant elle allait lui répondre quoi au juste? ''Non je n'ai pas mangé depuis hier, parce que je suis trop épuisé pour me lever et me faire à manger!'' Perdu dans ses pensées, elle ne le vit pas une tête dans le frigidaire, entrant de réfléchir. Il sortit l'un des plats fait par sa mère, et quelques légumes frais. Le docteur remonta ses manches de chemise bleu ciel et nettoya les légumes, alors que Malorie s'assit sur une chaise à côté de l'îlot central. Silencieusement et habillement, le vampire coupa les carottes et les concombres.

Ce fut plus fort qu'elle, alors que sa bouche s'ouvrit pour poser une des nombreuses questions qui la chicotait tant:

-Notre baiser hier soir...cela signifiait quoi pour nous?

Carlisle arrêta net de couper les aliments, plongeant son regard hypnotisant dans le sien. Doucement, Malorie s'approcha de lui, tout en continuant ce jeu de regard. Au final, le docteur pris la parole lorsque sa douce âme-sœur était à quelques centimètres de lui:

-Ce que toi tu voudrais Malorie..., chuchota-t-il sensuellement.

Cette phrase fut la goutte de trop, le coup de fusil qui déclarait une course. Les mains de Malorie enlacèrent le cou froid de son âme sœur, alors que celui-ci fut surpris sur le coup. Néanmoins, il accepta son baiser et bougea lui aussi ses lèvres contres les siennes. Involontairement, leurs mains baladeuses découvraient le creux de leurs reins, leurs douces omoplates, ainsi que leurs nuques suantes. Carlisle dégagea avec agilité la planche de bois contenant les légumes coupés vers la droite du comptoir, souleva la jeune fille par les hanches et la déposa sur celui-ci. Malorie enroula ses jambes autour des hanches musclées de son vampire, continuant leur danse romantique.

Mais à un moment, Carlisle recula de son âme sœur, par peur de lui faire du mal. Néanmoins, il ne s'était pas rendu compte qu'il avait utilisé sa super vitesse de vampire. C'est seulement quand il croisa le regard terrorisé de sa pauvre âme-sœur. Elle avait peur, peur de lui. Le vampire fut pris d'une grande tristesse a cette vue, alors que Malorie descendait lentement du comptoir. Ensuite elle recula, pendant que Carlisle faisait totalement le contraire. Au travers de la cuisine, elle cria:

-Enfin de compte j'aurais dû me méfier de toi Carlisle!

Cette phrase eut l'effet d'un coup de couteau dans le cœur.

-Tu m'as non seulement menti, mais aussi berné toi et ta beauté!

Puis un deuxième.

-Tu n'est qu'un...monstre..., finissa-t-elle en chuchotant.

Ce troisième coup fut celui qui l'acheva, intégralement.

Malorie pleurait, bégayant des sons indescriptibles, recensant aux paroles qu'elle venait de dire, regrettant tout de suite celles-ci. Rapidement elle repris:

-Car-Carlisle je-...

Il n'était plus là, en un seul battement de cils.

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Du côté de Carlisle:

Il courait très rapidement, trop rapidement. Les arbres de la forêt défiait à toute allure, pendant qu'il pouvait déjà voir sa maison au loin. Il ralentit, alors que les membres de sa famille sortaient dehors. Esmé fut la première à prendre la parole:

-Carlisle que se passe t-il? Est-ce que tout va bien? C'est Malorie?

Il ne répondit pas. Figer sur place, alors qu'il sentit son cœur se déchirer encore et encore, métaphoriquement, même s'il n'en avait pas, en réalité.

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J'aime bien foutre la merde dans ma FF en réalité, je plaide coupable!

Mais que serait une histoire sans rebondissement non?

Merci d'avoir lu! (Désoler il est plus court!)

Le CullenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant