Chapitre 4, une séance de shopping qui tourne au drame.

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Cela faisait maintenant trois semaines que les Evans étaient arrivés à Forks et deux semaines que l'école avait commencé

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Cela faisait maintenant trois semaines que les Evans étaient arrivés à Forks et deux semaines que l'école avait commencé. Beaucoup de choses s'étaient produites. Pour commencer, Méah avait obtenu son permis et pouvait voyager seule, tandis que Malorie avait obtenu son job et y travaillait le soir vers 19h. Ensuite, Malorie avait engagé une vraie conversation avec Edward Cullen, qui en réalité, ėtait quelqu'un d'assez chaleureux. Et pour finir, Jacob Black avait reparler à Méah, puis l'avait invité à faire visiter la Push à elle et sa sœur. Ce petit territoire amérindien était d'une beauté à couper le souffle. Le vent n'était pas présent ce jour-là et le soleil le remplissait. La voiture des sœurs roulait le long d'une autoroute direction Seattle. Les filles étaient plus qu'heureuses de pouvoir enfin aller magasiner et de passer une après midi entre elles. Méah conduisait le véhicule tandis que Malorie prenait soin d'être la DJ.

Au bout d'une heure, les filles arrivèrent à la destination: le centre d'achat.

Elles enchaînèrent les boutiques, puis vers les alentours de 16h, les sœurs prirent la décision de se rendre à un restaurant sur leur route. Par la suite, elles reprirent le chemin inverse vers leur maison. Elles avaient acheté chacune une dizaine de morceaux. L'ambiance était plus que joyeuse dans le véhicule. Les filles parlaient de tout et de rien:

-Non! Mais on en parle au mec qui nous regardait mal quand on mangeait! S'exclama Malorie.

-Mais oui! Je vois pas pourquoi il nous regardait comme ça? Répondit Méah.

-Peut-être parce qu' on a commencé des menus enfants tandis que nous sommes presque adultes! Renchéris la plus jeune tout en ricanant.

La plus vieille éclata de rire tandis que les blagues et commentaires continuaient à défiler dans la discussion.

Mais tout se passa trop rapidement, une autre véhicule qui n'avait pas fait son arrêt frappa de plein fouet la voiture des filles. Celle-ci fit plusieurs tonneaux avant de finir sa course dans un fossé. Les routes face au soleil, les filles voyaient à l'envers. Léa fut la première à essayer de bouger, mais son corps était retenu par la ceinture de sécurité. Elle commença à crier à l'aide, tandis que l'homme qui les avait percutés appela les secours puis, partirent sa laisser de traces. Les pompiers et les ambulanciers se rendirent sur place, puis sortirent les filles de la voiture. Les derniers souvenirs de Malorie fut le son des sirènes, le téléphone qui vibrait dans sa poche droite et l'ambulancier qui lui parlait.

Des bips sonores retentissaient dans la pièce à des interval réguliers, tandis que le corps engourdi de la jeune Evans reposait sur le lit au centre de celle-ci. Tout était calme, tandis que les paupières de Malorie s'ouvraient progressivement. La première chose qu'elle remarqua était qu'elle était présentement dans une chambre d'hôpital. C'est souvenirs étaient vagues, la seule chose donc elle était certaine c'était que sa sœur et elle avait été victime d'un accident au retour de leur magasinage. Elle s'avait que ce n'était pas un rêve car elle pouvait à peine respirer sans avoir un mal de chien aux côtes. Elles regarda ses bras ,qui étaient remplis de coupures et d'hématomes, puis regarda ses jambes, qui une sur deux était en plein dans le plâtre. Clairement, il y en avait eu des dégâts.

Elle sortit des ses pensées quand la porte de la chambre s'ouvrit sur un homme blond à la vingtaine. Il portait une chemise et une cravate, tandis que ses chaussures valaient au moins le prix de sa maison. Oui, elle avait le sens de l'analyse mais, se retrouver seul dans une pièce avec un inconnu lui faisait vraiment peur. L'homme s'approcha d'elle et se présenta:

-Je suis Carlisle, Carlisle cullen. Je serais ton médecin lors de ton séjour ici, annonça t-il en souriant.

Malorie lui rendit son sourire, mais en plus crispé et malaisé. Le docteur Cullen repris la parole pour lui d'écrire les détails de l'accident:

-Comme tu dois savoir, ta sœur et toi avez fait un accident. Si ça peut te rassurer, elle va bien et est sortie hier de l'hôpital. Pour toi, le choc a été beaucoup plus brutal. Tu es resté 5 jours dans un léger coma. Tu as une jambes cassée, deux côtes fracturés, quelques coupures et hématomes sur ton corps. Tu devras rester encore 2 jours ici pour garder un suivi de ton état. Tu comprends?

Malorie bégaya une affirmation. Elle était intimidée par cet apollon. Vraiment, qui peut rester de marbre devant un être si parfait? Certainement pas elle. Sa mère lui avait toujours dit que les hommes les plus beaux sont les plus inaccessibles. D'ailleurs où était sa mère? Et son père? Elle leva les yeux vers l'homme et lui posa la question:

-Mes parents? Sont-ils ici?

Le regard attendrie, il lui répondit:

-J'ai parlé avec tes parents. Je leur ai dit de rentrer chez eux pour rester avec ta sœur. Je vais les appeler pour qu'ils viennent te voir. A tu autre chose à me demander?

-Non merci, je vous laisse retourner à votre travail, répondit-t-elle.

-Bien, appelle-moi si tu as besoin d'aide. Une infirmière viendra te voir pour le dîner, affirmait-il.

Puis il sortit. Laissant Malorie les joues rouges et le cœur battant rapidement.

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Comme prévu, une infirmière était venue voir la jeune Evans. Celle-ci lui avait proposé un repas, mais Malorie l'avait poliment refusé. Connaissant la réputation des repas hospitaliers, sa réponse était au préalable faite.

Les secondes, les minutes et les heures ont défilé. Sa mère était venue lui rendre visite, en même temps de donner des nouvelles sur les 5 jours qui s'étaient écoulés. Sa sœur avait seulement une entorse à la cheville et quelques autres blessures pas très graves. D'après sa mère, s'était normal vue que l'autre voiture avait frappé du côté passager. Mais ça bien sûr, Malorie ne s'en souvenait pas. Puis vers 6h, Carolane était retournée à la maison. La première journée n'était même pas encore terminée que la jeune Matteau s'ennuyait. A par compter les moutons, calculer combien de battement par minutes elle avait ou encore essayer de deviner la vie des patients qu'elle voyait à travers sa fenêtre.

Elle était en train de deviner combien d'enfants avait l'homme assis sur une chaise dans la salle d'attente, quand pour une deuxième fois aujourd'hui, le docteur aux airs d'ange entra dans la chambre. Il la salua poliment, puis analysa les données qu'offre la drôle de machine à sa droite.

-Une infirmière était censée te donner de la morphine. A tu encore mal aux côtes?

-Juste encore un peu.

Mensonge. Ses côtes lui procurait un mal de chien. Douteux, Carlisle se retourna vers elle et lui demanda si elle en était sûre:

-Vraiment? Tu n'as presque plus mal?

Carlisle savait qu'elle avait encore mal. Ses yeux parlaient. Mais il attendait qu'elle le dise d'elle-même.

-Je...oui j'ai encore un peu mal, révélat-elle.

Carlisle ricana, puis lui donna un second médicament. Malorie avait compris que pour son séjour ici, elle devrait mettre sa fierté de côté.

Après un au revoir amical, le docteur partit voir ses autres patients. S' il pouvait, lui aussi il aurait les joues pourpres...

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Pardon pour le retard, mais j'avais un gros syndrome de la page blanche :)

Le CullenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant