Chapitre 19, Paisible.

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Ils étaient restés là plusieurs heures après leurs déclarations

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Ils étaient restés là plusieurs heures après leurs déclarations. Se câlinent, s'embrassent et se disent des mots doux de temps en temps. Un vrai nouveau petit couple. 

Mais à un moment leur instant rempli de bonheur devait prendre fin. Ainsi, pour passer encore plus de temps avec sa bien aimée, il l'invita à manger, puis coucher, à la villa. Elle avait rapidement accepté, sans même réfléchir avant. En même temps, sa mère et son père resteront jusqu'à tard au boulot, donc ne verrait pas son absence. Tandis que sa sœur, elle, serait sûrement à la réserve avec son Jacob. Quoi que, Méah lui écrivait sûrement juste pour lui changer les humeurs. Une vraie relation de soeur, se fit mentalement la blague la jeune fille.

Carlise cuisinait, pour le simple bonheur de sa douce. La plupart des membres de la famille était dans le salon, les voyant ainsi interagir entre amoureux. Rosalie serait juste un peu de la mâchoire, ne voulant pas trop montrer une colère imitant qui montait doucement en elle. Son mari, Emmett, lui prit la main. Tentant qu'elle n'éclate pas de colère t'elle une bombe à retardement. Elle ne détestait pas Malorie, mais sa chance d'humanité et de choix, si.

Esmé les observait de temps en temps, se remettant à la recherche de nouveaux meubles pour l'extérieur. Edward, Jasper et Alice discutaient de tout et de rien. Commençant à parler politique, puis les nouvelles pour ensuite parler du nouveau film qu'ils avaient écouté a la télé, l'autre jour.

Malorie et le docteur agissent comme un couple qui datait de plusieurs années. Ils se complétait parfaitement, t'elle un puzzle à plusieurs pièces. Le vampire préparait des spaghettis polonais, l'un des repas bien aimer de ses deux la. Enfin, bien aimé du docteur quand il était encore humain. La jeune fille, elle, tapait rapidement et agilement sur le clavier de son téléphone. Un grand sourire sur les lèvres. Liam venait de lui annoncer sa venue à Forks dans moins d'un mois. Son meilleur ami, comparé à presque tous les humains de la planète, il adorait l'automne. La saison ou les feuilles était de belle couleur vivent, le vent matinal présent et les X sur le calendrier s'accumulaient. Ceux-ci attendait le jour où les premiers flocons tombaient.

De beaux souvenirs, pensa la jeune fille. Chaque année, vers la fin du printemps, Liam venait réveiller Malorie au petit matin lorsque que la première neige faisait son apparition. Un chocolat chaud à la main, ils se remémoraient les bons moments de leur enfance. Ils avaient passé ensemble, mais cela restait drôle de se rappeler certains de ceux-ci.

Une voix grave et douce l'appelait au loin. Elle reconnut celle de Carlisle. Elle sortit alors de sa tête, et vit un magnifique plat fait par son homme. Il lui donna des ustensiles, puis elle commença à manger ce bon repas. 
Son homme partit quelques minutes dans le salon, laissant sa bien-aimée un peu seule. Chacun de ses enfants adoptifs regardait leur père. Esmé se tenait maintenant à ses côtés, sachant de quoi allait parler le jeune homme. Carlisle était un peu anxieux, sachant que certains de ses enfants seraient heureux et d'autres le seraient moins. Au loin, avec sa super ouïe surdéveloppée, il confirma que Malorie avait de la musique forte dans les oreilles. Elle n'entendait rien à son plus grand plaisir. Il prit une respiration inutile à sa survie, puis annonça:

-J'ai dû lui avouer notre vraie nature.

Chaque personne présente se tendait face à sa révélation. Rosalie, qui commençais a véritablement fulminer, commença:

-Tu es le premier à nous demander de nous cacher, mais maintenant tu nous dit que Malorie le sait? J'ai bien beau l'apprécier, néanmoins j'ai des limites à ne pas franchir. 

Emmett lui chuchota de se calmer, alors que le docteur reprit la parole:

-Je sais bien que notre nature doit être secrète, mais Malorie avait beaucoup de doute sur nous et des complications sont arrivés. Elle n'a plus peur, enfin plus maintenant. Malgré cela elle devait savoir, elle est ma compagne.

Edward, qui était resté en silence depuis le début, pris parole lui aussi: 

-Et en ce qui concerne les Volturis? Si un autre vampire arrive ici et voit qu'une humaine sait quelque chose sur nous, ils s'en mêleront sûrement. Et toi et moi savons que même rester avec un humain est jouer avec le feu.

-Je ne lui ai pas avoué tout ça sur un coup de tête non plus. Je connais pertinemment les risques. Je dois lui en parler, mais je viens juste de tout lui dire, donc j'attend un peu.    

Toute la famille semblait réfléchir. Seule Alice semblait heureuse, même très heureuse au point de beaucoup gigoter sur le canapé, d'avoir une nouvelle amie avec qui elle n'avait pas besoin de se cacher. Parce que voilà presque cent ans, outre Rosalie, qu'elle n'avait appris à connaître aucune fille. Donc aucune amie pendant ce temps. Une vrai torture personnelle pour la petite fée, vue son level élevée de sociabilité. 

Rosalie et Emmett partirent dans leur chambre. Tout comme Edward qui sortit à l'extérieur, sûrement pour aller chasser un coup. Alice alla rejoindre sa nouvelle amie, qui mangeait tranquillement sans se soucier de rien. 

Tout à coup, Carlisle avait l'impression d'avoir pris la mauvaise décision. Esmé, avec un air maternel  encore plus. Elle lui fit un câlin puis lui dit doucement:

-Tu a fait le bon choix, mon frère. 

Il lui sourit, puis rejoignit lui aussi Malorie et Alice. Elle venait de finir de manger. Doucement, sans qu'elle ne le voit arriver, il lui fit un câlin par l'arrière. Ensuite, tel un gentleman, il fit la vaisselle. La fille adoptive de Carlisle questionnait Malorie sur ses prochains cours. Finalement, le sujet de discussion variait entre l'école, la littérature et les méchantes filles clichés du lycée.  

Ensuite de cela, le docteur se fit appeler par l'hôpital disant qu'un dossier devait être soi-disant renouvelé et que ce dossier était celui de l'un de ses patients. Son directeur lui fit bien comprendre que c'était une affaire urgente. 

Malorie, vue que le directeur de Carlisle avait le don de parler très fort, avait entendu la conversation. Quand son homme se retourna pour lui demander de lui accorder quelques heures pour régler cela, elle lui fit un grand sourire. Alice, ayant la même idée dans le tête depuis que Malorie était arriver, proposa:

-Ne t'inquiète pas Carlisle, Malorie et moi allons aller faire les magasins. Il n'est que 12h45. Nous serons revenus vers 14h30. Rosalie pourrait venir avec nous, ou même Esmé. Sa leur changera les idées. 

Sans même attendre le oui de son père, la fée partit chercher sa soeur adoptive et sa "tante" a l'étage. Carlisle avait un peu peur à l'idée de laisser sa douce partir seule avec elles. Mais il passa outre. Malorie, vint l'embrasser doucement à la commissure de ses lèvres, lui disant qu'elles feront attention. 

Elles avaient intérêt à faire attention, vu comment la dernière séance magasinage avait finit. 

Les filles arrivèrent à un moment, puis elles prirent le chemin de la voiture avec une Alice qui sautait partout. Rosalie avait l'aire beaucoup moins frustré, mais se n'était pas pour autant que allait câliner et sauter de joie devant Malorie. 

La voiture démarra après quelques minutes, puis les filles prirent la route de Seattle, excitées de pouvoir enfin passer un moment entre elles.

La journée s'annonçait bien, pensa la jeune fille, la tête contre la vitre...

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Un long chapitre, pour m'excuser du dernier qui était plus court!
Enfin un moment paisible dans cette fanfic!
Merci d'avoir lu! :)

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