Qui a déjà voulu plus que tout au monde que son plus beau rêve se réalise? Malorie avait déjà espéré, oui. Qu'une personne débarque dans sa vie afin de la rendre meilleure et parfaite. Oui, elle voulait vraiment que ce rêve se réalise.
Pourtant ell...
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Chapitre 11, Rendez-vous?
Bonjour a tous, je viens juste dire que je me reconcentre beaucoup plus sur le futur couple de Carlisle et Malorie, ainsi que celui de Jacob et Méah. Je m'étais éloignée du but, alors je me présente! Bonne lecture!
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Les lendemains de soirée étaient les pires. Entre le mal de tête, le mal de cœur, la fatigue et l'incapacité à trouver un Doliprane dans une maison.
Hier, avait été une belle fête. D'après ses souvenirs, qui étaient malgré tout flou, elle avait passé la fin de soirée avec le jeune Clearwater, ainsi avec ses nouvelles rencontres, les quileutes. Les quileutes étaient un groupe de garçon autour de la vingtaine, grand, musclé et solitaire.
Jacob, l'ami de sa sœur, en faisait partie. D'ailleur, Malorie et lui avaient eu une discussion sérieuse malgré l'alcool présent dans leurs sang. Elle lui avait demandé qu'était Méah pour lui. Pourquoi sa sœur n'était presque plus à la maison, mais plus tôt chez lui.
Cela avait abouti à une engueulade, une grosse engueulade. Sam, le chef de troupe, les avait séparés avant que cela dégénère. Puis Malorie était partit en criant au quileute de ne plus approcher sa sœur, sous peine d'une conséquence.
Elle n'avait pas vraiment eu confiance en eux auparavant. Mais maintenant elle n'en aurait plus jamais, s'était clair.
Ensuite, la jeune fille était rentrée chez elle, Comment? Elle ne s'en souvient plus. Néanmoins, elle était arrivée dans son lit d'un moyen ou d'un autre.
Malorie posa ses deux pieds au sol, tâtonnant sur sa droite à la recherche de sa bouteille d'eau. Elle en but, puis prend le chemin vers son paradis, la cuisine. En arrivant, elle croisa le regard méchant de sa sœur, puis sa mère préparant le diner, vue l'heure tardive où elle s'était réveillée.
-Maman, je suis revenue comment hier?, questionna la plus jeune Evans.
-Avec ton amie Alice et son père je crois bien? Enfin bref, il est d'une beauté à couper le souffle se docteur!, Répondit sa mère.
-Sa tu la dit..., chuchota rêveuse Malorie.
Alors c'était Carlisle qui l'avait raccompagné? Alors que celui-ci n'était même pas à la fête.
Elle fronça les sourcils, puis annonça:
-Bizarre, je ne l'avais pas vue à la fête, mais-
Elle fut couper par sa superbe soeur:
-Normale, tu étais trop occupé à engueuler Jacob!, cria-t-elle.
-En même temps si je ne devais pas jouer les gardiennes avec toi ça ne serait sûrement jamais arriver!, répondit furieuse Malorie.
Le ton monta dans la pièce, alors que la tension précédait aussi.
-Et toi avec ton médecin? Tu veux que l'on en parle?, met sur la table Méah, fière d'elle.
-Je t'emmerde Méah, lança au tac tac Malorie.
-Assez les filles! Malorie ne traite pas ta sœur comme cela! Et toi Méah, ne parle pas de l'ami a ta sœur comme t'elle! Est-ce bien clair?
-Oui, chuchota les deux filles.
Méah partit tout en prenant soin de bousculer sa petite sœur. Alors que celle-ci se retourna vers Carolane. Sa mère prit la parole:
-Tu m'explique cette histoire d'engueulade? Et celle de ton docteur?
-Ne te mêle pas de cela maman, je t'en supplie. Mais si cela peut te rassurer, il n'y a rien entre moi et Dr.Cullen. Je suis simplement amie avec quelques-uns de ses enfants, déclara la jeune fille.
Sa mère, toujours en doute contre les paroles de sa fille, la questionna du regard.
Mais au bout de quelques secondes, leur jeux de regard se termina, alors que le four sonna la fin de la cuisson. Carolane sortit la viande et servit son mari et sa jeune fille. Le silence de plomb régnait tout le dîner, et le mal de crâne frappait encore les tempes de Malorie.
Après avoir fini de manger et pris un médicament contre le mal de tête, la jeune fille attrapa une légère veste et ses converses noirs. Elle enfila son vêtement de protection et enfonça une casquette noir sur son crane. Ensuite, elle sortit dehors, marchant dès la rue principale, tout droit vers une vieille librairie. A plusieurs reprises, elle dut rattraper sa casquette qui tentait de s'échapper avec le vent du début de l'automne. Mais en fin de compte, Malorie arriva à destination et entra dans le pauvre bâtiment en brique. Elle pouvait enfin s'acheter des nouveaux livres pour sa collection, depuis que la vieille dame du magasin lui avait donné sa première paye, avec un peu de retard. Mais elle ne lui en voulait pas, naturellement.
En mettant les pieds dans sa boutique passionnelle et tant adorée, une drôle de sensation la prit. Malgré cela, Malorie avança dans l'un de ses rayons favoris, le surnaturel et la fiction.
Touchant du bout des doigts le dos des bouquins, ses frissons d'excitation la traversa. Trop heureuse de sa prochaine lecture. Elle observa chacune des quatrièmes pages de couvertures, cherchant le roman parfait pour elle.
Un peu trop concentrée sur sa recherche, elle ne vit pas l'homme devant elle, le percutant avec grâce. Malorie, sans regarder le mur de brique qu'elle avait percuté, bredouilla des excuses sans queue, ni tête.
-Ne t'inquiète pas, Malorie..., souffla le garçon.
Très rapidement, elle releva la tête et le vit. Son beau docteurdevant elle, la regardant avec intensité et douceur dans les yeux. Son regard pouvait vraiment la tuer sur place, comme à chaque fois.
-Bonjour Carlisle, chuchota Malorie, timide devant une telle imposité.
-Bonjour Malorie, il le salua en retour.
-Je suis désolée, je cherchais un livre et je ne t'avais pas vue, s'excusa t'elle de nouveau.
-Quel livre cherche-tu?, questionna t'il.
-Le dernier «Harry Potter»..., avoua Malorie.
Carlisle regarda l'étagère, puis prit un livre avec une couverture bleu marine.
-Un vrai classique, ricana le docteur.
Malorie fit de même. Carlisle, dans un élan gentleman, se rendit à la caisse et paya le livre sous les yeux surpris de son âme-sœur. Puis, il revint vers elle.
-Tien, il donna le livre, Tu m'en dira des nouvelles.
-Tu n'était pas obligé tu sais, comment je peux te rendre la pareille?, questionna la jeune fille.
Ayant une superbe idée, il la lança:
-Un rendez-vous avec moi...
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Recoucou!
Un futur rendez-vous entre nos petits tourtereaux? Une excitante nouvelle que puis-je dire!
