Le Cullen

Chapitre 17, Explications et vraie nature.

-Je suis désolée...

C'était Malorie qui venait de parler. La semaine précédente qui s'était écoulée l'avait tellement stressé, que la phrase sortit toute seule. Trop loin de lui, les remords s'était accentué de manière folle. 

Carlisle la regardait perplexe, mais aussi très amoureusement. Elle reprit donc:

-Mais tu dois tout m'expliquer.  

Le visage du docteur changea radicalement. Passant de perplexe a perdu et inquiète. Rapidement, il sortit:

-Non, je te mettrais en danger toi et ma famille. Il en est hors de question!

A la dernière phrase, il avait aussi le ton. Néanmoins, Malorie resta la a ne rien dire, voulait vraiment savoir la vérité. Une affreuse, mais intelligente, idée lui traversa l'esprit:

-Dit moi tout, et je te dis tout en ce qui concerne Owen. 

Le plan avait marché. Vu que son âme-soeur réfléchissait à sa demande, pesant le pour et le contre. 

Face à cela, Carlisle  ne pourrait dire non. Owen était une sorte de source secrète dans leur amour. Cet homme qui n'avait pas l'air d'être encore dans sa vie l'intriguait fortement. Au final, il accepta:

-Marché conclu. Je viendrais te chercher vers 14h00 a l'école.

-Je ne vais pas à l'école aujourd'hui, ma mère a motivé mon absence, souligna la jeune fille.

-D'accord, soit prête à l'heure.

Il fit un léger clin d'œil.

Après, Carlisle conclut, pour le dossier de la jeune fille, qu'elle n'avait plus rien et qu'elle allait maintenant beaucoup mieux. 

Ensuite, Malorie repartit chez elle, excitée et inquiète pour cette après-midi. Le docteur, n'avait pas pu aller la reconduire chez elle, par faute qu'il travaillait encore quelques heures. 

La jeune fille passa les trois prochaines heures à faire la cuisine, préparant le souper de sa famille à l'avance. Elle avait rapidement opté pour du riz frit au poulet et des pâtes au fromage gratiné, pour sa sœur qui détestait le riz par-dessus tout. Entre temps elle avait changé de haut. Prennent un t-shirt blanc et noir, puis se refit une quête de cheval plaqué à l'arache. Elle laissa un petit mot à ses parents, disant que le souper était fait et qu'elle était partie. Elle ne pris pas la peine d'en faire un a sa soeur qui rentrerait bientôt de l'école, sachant que celle-ci ne resterait pas à la maison longtemps.

Un klaxon retentit dehors, l'avertissant que Carlisle était maintenant la. Il était l'heure de parler du passé, de enfin dire la vérité. Pour de bon.
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Pour la deuxième fois de sa vie, Malorie fut encore une fois ébloui par l'époftouflate maison que les Cullen possédait. Parfois Malorie se posait des questions, le pourquoi du comment ceux-ci étaient aussi riches, alors que Carlisle n'était que médecin. Mais chacun ses secrets après tout. Enfin, plus pour longtemps pensait Malorie. Redoutant le moment, les deux âmes-soeurs marchaient lentement vers la villa. Les deux se posaient la même question, comment allaient-ils chacun réagir face à de terribles secrets?
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Carlisle lui avait gentiment offert un verre d'eau, alors que presque la totalité de la famille était partie. Leur offrant de l'intimité, à eux deux seuls. Seule Alice était dans sa chambre en haut, affirmant avoir trop de devoirs pour venir discuter avec eux. Malgré cela, Malorie en fut heureuse qu'elle ne vienne pas. Seulement Carlisle avait à écouter son pitoyable passé, d'après elle. 

Assis dans le bureau du docteur, celui ci pris la parole:

-Je voulais savoir si tu voulais commencer...

-Autant tout dire tout de suite maintenant et arracher le pansement rapidement. Expliqua doucement Malorie. 

Elle prit une gorgée d'eau, puis commença son long récit:

-Il y a un an j'ai rencontré un garçon, au nom d'Owen. Lui et moi avions plusieurs amis en communs, qui voulaient drôlement nous caser ensemble.( Elle ricana) Enfin bref, on a beaucoup parlé par téléphone, par message et en réalité pour finalement s'aimer et s'avouer nos sentiments, qui sauveraient réciproque. Nous nous sommes donc mis ensemble peu après.
Mais au fil du temps, j'avais remarqué que tous les deux, nous n'étions pas heureux. Son père était alcoolique et mes parents à moi étaient sur le point de se séparer. Heureusement pour moi, ils ne l'ont pas fait mais Owen restait toujours malheureux en ma présence. Sa situation familiale à lui n'était pas très bonne. Sa mère s'était barré très loin quand il était petit, le sevrant d'amour maternelle très jeune. Son père le battait, mais ça je ne l'ai su qu'après.
On vivait un bel amour propre, sans infidélité, mais toute chose a une fin non? 
Un soir, quand je revenais du boulot à temps partiel que j'avais, Owen m'a appelé, disant qu'il n'en pouvait plus. J'ai tout de suite compris, et je me suis rendu chez lui au plus vite, mais...(Une petite larme coula doucement le long de sa joue), il était déjà mort en arrivant. Le regard qu'il avait, lorsque son corps froid était au sol, reste gravé en moi maintenant. J'en fait encore des cauchemars, ou des hallucinations. 
Après, ma sœur, qui prenait Owen comme un frère, m'a beaucoup blâmée pour son (TW!) suicide. Voilà pourquoi on est en si mauvais termes depuis longtemps. Après ça j'ai déménagé ici, loin des problèmes, vu que je ne pouvais rien faire d'autre après les fuir...  

Un long silence suivit le triste récit de Malorie, qui avec émotion, avait déballer son pauvre sac. Elle essuya rapidement sa larme, alors que Carlisle voulu parler, le stoppant ainsi:

-Maintenant que tu sais tout, tournons la page et ne parlons plus de lui ici. A toi maintenant je crois bien...

Le docteur prit un lente inspiration, malgré le fait qu'il n'en avait pas besoin, puis annonça sans filtre et sans bégaiement:

-Nous sommes des vampires...

Le cœur de Malorie s'arrêta, elle ne s'attendait clairement pas à cela...
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Désolé si la qualité est un peu mauvaise...
Les Cullens des vampires? 
J'attends ce chapitre avec impatience, pas vous? Plus de secret entre Carlisle et Malorie!
Merci d'avoir lu!