3 | 𝙍𝙚𝙛𝙡𝙚𝙭𝙞𝙤𝙣, 𝙧𝙚𝙛𝙡𝙚𝙭𝙞𝙤𝙣

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PDV T/P 

Nous nous retournons, Camilo et moi. En apercevant Pepa, Camilo se détache en un clin d'oeil de moi et rougit d'un coup. Personnellement, je rigole nerveusement.

  — Camilo, est-ce ta petite amie ?! Crie Pepa.

Elle arrive vers moi en courant, elle me sourit et malgré la nuit noire, un grand arc-en-ciel apparaît dans le ciel. Elle me prend les mains et m'examine.

  — Non mamà, ce n'est p-

  — Regarde-toi tu es si belle, je rougis face à son compliment et elle se tourne vers son fils, tu as vraiment de bon goût Camilo.

Par la suite Pepa, m'avait prit par la main pour m'amener vers Felix qui arrivait déjà.

  — Pépita, je te cherchais ! Oh, qui est-ce ?

  — Je te présente la femme de notre enfant, je les ai surpris ensemble, fit-elle en rigolant.

Je me tourne vers Camilo, il se cache littéralement les yeux me faisant presque rire.

  — Écoutez madame, je crois que vous vous trompez, je ne suis pas avec votre fils, nous nous sommes rencontrés il y a moins de 24 heures, assurais-je.

  — Oh, mais vous savez le coup de foudre ça existe les enfants, annonce Felix.

Camilo lève les yeux au ciel tandis que je rigole tendrement. Camilo s'approche de moi et me prend le poignet, il me tire vers la sortie. Une fois dehors , il semble revivre. 

  — Pfiou, j'ai cru que l'on ne s'en sortirait jamais, désolé pour mes parents, ils attendent impatiemment que je trouve quelqu'un.

Je rigole et le regarde, il a vraiment un visage d'ange, est-ce possible d'être aussi beau ?

  — Si tu veux, je peux remplir la demande de tes parents, dis-je en chuchotant.

Camilo, qui me regardait, ouvrit grand les yeux, oh non, ne me dites pas que...

Camilo prit une couleur rougeâtre. Il ouvrit la bouche, mais rien n'en sortit.

  — Je, euh, tu as dit quoi ? Demande t'il faiblement.

  — Oh, moi, rien, dis-je en rigolant nerveusement.

On se regarde un instant, puis nous éclatons de rire et tant mieux, car je commençais à avoir peur du silence intense.

Nous nous arrêtons de rigoler et je pris la parole directement après :

  — Bon, ce n'est pas que je n'aime pas ta compagnie petit Madrigal, mais je vais devoir rentrer, ma mère est sûrement repartit depuis un bon bout de temps.

  — D'accord, (ton nom de famille), fais attention à toi en rentrant et surtout, il prend ma main et tire dessus, je me rapproche dangereusement de ses lèvres, moi aussi, je serais heureux de pouvoir répondre à leur demande grâce à toi...

Il lâche ma main et s'en va, je reste une seconde ici à réfléchir, il a vraiment dit ça ou je m'invente des choses ?

Toute troublée, je reprends le chemin vers ma petite maison.

Sur le chemin, je repense à tout ce qui c'est passé aujourd'hui. En une journée, je me suis fait un ami, peut-être bientôt un meilleur ami ? Ou plus ?

Ne t'imagine pas des choses T/p, tu es sûrement tombé pour le premier venu, mais ça ne veut pas dire que c'est forcément réciproque.

En arrivant chez moi, la pièce dans laquelle je pénètre est totalement sombre.

𝙇𝙤𝙫𝙚 𝙩𝙤 𝙙𝙧𝙚𝙖𝙢 | 𝘊𝘢𝘮𝘪𝘭𝘰 𝘔𝘢𝘥𝘳𝘪𝘨𝘢𝘭Où les histoires vivent. Découvrez maintenant