Mon doux mafieux ~ [ TERMINÉ ]

CHAPITRE 18

CHAPITRE 18

AVERTISSEMENT !!

Ce chapitre contient de l'agression sexuelle, de la violence, une tentative de suicide et du meurtre !

Âme sensible je vous conseille de le  sauter, ne vous en faites pas ce chapitre n'est pas important dans l'histoire, il sers juste à nous faire comprendre les intentions de Mizuki

Après pour les chapitres à venir il y aura sûrement des moments où je ferais référence à celui-là, mais après pas là peine de s'inquiéter

Je vous conseille d'écouter la musique avec, je trouve qu'elle va bien avec l'ambiance du chapitre, après si vous préférez lire sans musique où que vous trouvez que l'ambiance et la musique ne vont pas ensemble c'est comme vous voulez, c'était juste un petit conseil

Bonne lecture !!

Mizuki déposa son sachet de course sur la table de la cuisine et en sortit ce qu'il avait acheté

Il laissa dans la cuisine les chips et la bouteille d'eau, puis se dirigea vers une porte qui se trouvait pas très loin du salon le sachet toujours en main

Il tourna la poignée de la porte et entra dans la pièce, c'était une salle de bain, à l'intérieur il y avait un homme à moitié conscient attaché à une chaise et les yeux bandés, le seul habit qui lui restait était son boxer cachant ainsi sa nudité au bleuté, l'homme était couvert de différentes coupures allant d'une simple égratignure à une plaie profonde

Le visage de l'homme avait été défiguré, il avait une plaie profonde juste au-dessus de l'œil gauche et le sang continuait toujours à couler, sur le front de celui-ci se trouvait une photo, la photo d'un homme brun

Mizuki s'agenouilla devant le séquestré, et déposa son sachet à côté de lui, le bleuté caressa la cuisse de l'homme ce qui eût pour effet de faire sortir celui-ci de sa léthargie

L'homme se mit à trembler, ce qui fit sourir Mizuki, celui-ci attrapa justement le couteau dans son sachet et fit une entaille sur la cuisse de l'homme avec

Le séquestré sursauta et ses tremblements se firent plus violents alors que l'entaille sur sa cuisse saignait et que le bleuté prévoyait déjà de répéter l'opération

- L...laissez moi partir...s'il vous plaît...

- T'ai-je autorisé à parler ?

L'homme sursauta de nouveau alors que le bleuté s'était mis à lécher l'intérieur de sa cuisse droite

- Aah !

Mizuki avait planté son couteau dans la cuisse gauche de l'homme et remuait le couteau dans sa chair

- Aah ! Au secours ! Aidez moi !

- Tu peux crier autant que tu veux, cet immeuble est inhabité, et cette pièce insonorisée