Le rêve

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Je vis Kenia & .. Ferid. Cette fille était elle vraimenet sérieuse ? J'était prise de dégout en les voyants s'embrasser, c'était horrible à voir, on dirait qu'ils allaient ce manger.

[17:05] Je marchait avec Harane et Caroline.
H (Harane): J'ai crée un nouveau programme !
He (Helene): Ah bon, et il sert à quoi ?
H: À récuper des choses supprimer dans la corbeille.
He: Ça me parrait bien.
C (Caroline): Nul ! Archi nul !
H: FERME TA BOUCHE TOI !
C: Nan mais dégage ! C'est toi qui va fermer ta bouche !
H: Je vais vomir, au secours, il me faut un Smecta, t'a gueule me donne la chia..
He: J'EN AI MARRE DE VOUS DEUX ! Vous n'avez pas fini ? OK ! Je ne marche PLUS avec vous. Et sur c'est parole, je les quittes.

Je m'était assise sur un banc, j'attendais mon bus. Je mis mes écouteurs, juste dans une seule oreille. J'aimais bien de me coupé de ce monde réelle. Je le trouvais horrible, je préferais rêver. Rêver .. Mon bus arriva, j'y monta, et me fit bousculer par quelqu'un. Harane.
He: Tu fiches quoi là ?!
H: Bah .. Je voulais te parler..
He: À propos ?
H: N.. Non rien.
He: T'es sûre ?
H: O.. Oui.
Elle descendis au prochain arrêt. Il faisait froid, sombre dehors. Je n'avais aucune envie de rentrer. Mais bon.
Arriver devant l'interphone, je vis que notre bouton était coincé, juste le notre. Bizare. Je sonna alors chez les voisins, chez Jaqueline, une sympathique mamie. Je monta les escaliers et vis quelques goûtes de sang. J'allais passer mes clées dans la porte, mais au moment où j'entendit les hurlements, les cris des enguelades entre mon beau père et ma mère, j'en ai eu marre. Ce n'était pas la première fois. Heureusement que dans mon sac, j'avais au moins 140€, ma carte d'identiée et mon chargeur, avec mon portable évidemment. Je gardais cet argent de côter, au cas où je pars un jour. Ce jour vint. Nous avions déjà réaliser des plans de fugue avec Harane, celle ci ne s'entend pas vraimet avec sa famille. Je sorti de mon batimment et courri jusqu'a chez Harane. Je décida de l'appeler, je lui expliqua tout, elle sorti par le balcon, avec un petit sac, des petites prévisions. Nous avions avertis personne d'autre, pas même Caroline, ni Aïcha. Notre but à présent ? Survivre. Ce soir là, nous avions dormi dans la garre, et le matin venu, grâce à nos papiers, nous avons eu le droit de prendre le bus. Nous décidons avec Harane de passer dans notre ancienne maison familliale dans le Jura, celle de ma famille. Nous restions là bas, avant que ma grand mère ne meurt. Pas de temps à perdre, on pris le bus, puis go.

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Hey ! Je m'excuse de la courteté de ce chapître, mais je suis trop fatiguée je rentre d'un voyage, bisous !

Vitale.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant