Vitale.

Le vrai danger

On était arrivée à la destination, on courru comme des folles ! Heureuse à l'idée que mon rêve se réalise. Il y avait Ferid qui descendais aussi, toujours avec son livre.

On sortit de la gare, tout était beau. On décida d'aller dans une petite boutique genre snack pour acheter quelques trucs à grignoter. Il y avait Ferid. Il pensait passer ses vacances avec nous ? On prit le bus pour arriver à l'hotel, c'était immense et très beau. Chaqun avait sa chambre. On rangea nos habilles, on discutaient en même temps. Demain, j'aurais 13 ans.

- On va faire les boutiques, Sephora, Kiko .. Ah tout à moi ! Cria Caroline.
- Oh, plutôt la Fnac, il n'y en avais pas dans notre ville de merde. Rétroca Aïcha.
- J'avoue, répondis-je. Moi je veux juste aller à Primark et au vrai cafée Starbucks.
- On fais tout ça aujourd'hui alors ! Ria Caroline.
- Je n'ai plus de sous. Répondit Aïcha.
- J'en ai pour vous, s'exclama Caroline en nous tendant plusieurs billets de 500€.
- Mais tu es folle ! C'est beaucoup trop, dis-je.
- Accepte s'il te plaît. Répondit elle.
- À une condition, que je t'y rend prochainement.
Caro fit oui de la tête.

Le soir venu, on rentra à l'hotel, à l'acceuil, de gros écrants tv, des buffets, une ambiance parfaite. Mais tout cela s'arrêta au bruit des tirs d'une arme.

Tout le monde hurla et courra dans tout les sens !
- Pas besoins de te cacher toi là bas, hurla le mec masqué. Toute personne dans cette salle vas mourrir de toute façon.

Ce psycopathe tira dans tout les sens. Je le regardait avec dégout.

- Tiens toi, tu veux la mort ? Me dit il.
J'avais peur, je ne répondis pas.
- Bande de traînée va et ils appuya sur son arme.
J'allais mourrir, à cet instant là. Mais pourquoi ne resentais-je aucune douleur ?!

- FEERIIIIIIIIIIIIIID ! Espèce de connard, vous avez vu ce que vous avez fait ?! Hurlais-je. La haine montais en moi et je devais la sortir.

Je fonça sur le mec pour lui mettre un coup de genou où vous savez .. Il tomba raide par terre, je lui metta des coups de pieds, en l'insultant de tout les noms. Je vu qu'il ne respirai plus. Je courru ensuite vers Ferid, il saignait de la bouche, ainsi que du torse. Je mis quelque chose dessu et appuya pour garder le sang.

- Qu'est-ce que vous regarder ? Appeller les secours plutôt ! Hurlais-je.
- C'est fait Helène, calme toi .. Réplica Caroline.

J'essayais de réveiller Ferid, sans succès. Putain Ferid, fais moi pas ça. "Une personne ne fait pas du mal à la personne qu'elle aime" me dis-je tout doucement pour me calmer. Mais l'idée de le perdre me rendais dingue. Il arriva enfin !
- Moi aussi je monte, sans attendre de réponse, je sautais derrière l'ambulance vers Ferid.
- C'est une personne de votre famille ? Me demanda l'ambulancier.
- Nan, dis-je en pleurant.
- Vous le connaissez ?
- C'est un ami, répondis-je en me frotant les yeux.
- Expliquez nous la scène.
Et je leurs expliqua tout, en explosant en sanglot.