La disparition.

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Au bon matin, il y avait des chants d'oiseaux, un grand soleil, et une senteur parfumé lorsque l'on ouvrit la fenêtre. Nous faisions nos lits, rangeons nos valises, plions nos habilles dans l'armoir. Il y avait assez d'armoir et de bureau pour tous.

On avait très faim. Nous descendîmes à l'étage, dans la cuisine, j'ouvris les rideaux, puis la fenêtre, pour faire enter une belle lumière. "On peut faire des crêpes ?" S'écria Harane. "Biensûr" répondis-je. On sorti les ingredients, et plus tard, nous avions environs une dizaine de crêpe. Aïcha descendis à la cave pour chercher du jus d'orange. Elle hurla. Avec Harane, nous descendîmes voir ce qu'il se passait. "En fait, ce n'était qu'une poussière" expliquait Aïcha, terrifié. Nous explosions de rire.

Les crêpes était succulente, surtout avec du bon jus d'orange. Après avoir débarassé la table, on prot chacune une salle de bain. J'avais les cheveux en pétard et une tête de zombie. Je pris alors une bonne douche. Plus tard, j'enfila mes habilles, j'avais envie de faire une petite balade, cette idée ne plu qu'a Harane.
A: Je suis fatiguée, une prochaine fois ?
He: Comme tu veux, on ne vas pas tarder.
H: Tu viens ?
He: J'arrive.
Nous enfilons nos chaussures et sortit. On marcha un long moment, au bord du lac, au milieu de la forêt. Je connaissais ici par coeur, grâce à mon grand père. Nous avions marchée au moins deux heures.
He: Viens t'assoir au bord du lac.
H: Si tu veux.

Je fermais les yeux, le vent était si frais, mais avec un gros soleil qui éclairai si bien le village. J'ai du m'endormir environ une bonne heure. Harane, elle, était dans le lac avec son pantalon retroussée. "On a bien le droit, non ? " ria t-elle, je fis de même.

Il fallait rentrée, ça faisait presque cinq heures que l'on était dehors, et Aïcha était seule. Je toca à la porte, mais personne ne répondit, alors je sortis mes clefs. "On est là" hurla Harane. "Ouh ouh , Aïcha !" Criais-je. Nous cherchions dans toute la maison entière, même le jardin, personne.
Peut être qu'elle était sortie. On essaiya de l'appeler mais rien, à part sa messagerie.

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Ce chapître est plus court que les autres, excusez moi.

Vitale.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant