L'hopîtal

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Je me réveilla très tôt de le matin, 6:40. Je pris mon portable, comme tout les matins, et je vis un message, c'était Caroline: " Vous venez quand ?", en verité, jamais, je ne pensais jamais revenir. Mais je mentis "Bientôt".

Je descendus en bas prendre mon déjeuner, j'avais envie de faire du sport, de me changer les idées. Je pris un pancake déjà tout prêt et je bus de la limonade. J'avais un espèce de présentiment de danger, je ne sais pas pourquoi. Le mot d'hier me trotait dans la tête. Nous serons en danger ?

Je courru dans la salle de bain m'habiller, une tenue de sport classique, un legging, un sweat ainsi que mes Nike. Je m'attacha les cheveux en une queue de cheval assez haute. Je descendis coller un mot sur la porte " Je sors faire du sport vers le lac, bisous. Helène. (7:03)" j'avais écris l'heure au cas où.

Je sortis, je courru vers le lac, je regardait l'horizon. Je pensais à Ferid, je me jetta sur l'herbe, qui était près du sable. Une larme coula sur ma joue. Je n'avais jamais pu lui avouer mes sentiments, la dernière fois, je lui avais mis une claque, mais c'est de la haine que je ressents à présents. J'avais du défi en moi, je me leva sechement. Je mis mes écouteurs, et écouta One Last Time, cette chanson me calmait en toute circonstance. Je courru très vite, je respirais mal, j'était essouflé. Je tomba plusieurs fois, mais je me relevais toujours. D'un coup, je cru voir Ferid. Non ce n'était pas possible. Non. Non, c'était lui. Je décidais de courrir pour l'attraper.

D'un coup, je vis un 4x4, je sentis une grosse douleur sur mon dos, mes jambes, partout. Je crois que je m'était fait écraser. Je ne voyais rien, du vide, du noir. J'avais mal, je n'arrivais pas à crier. Mais quelle idiote suis-je à lui courrir derrière.

Je me réveilla dans un lit, c'était une espèce de chambre médicale. J'avais des fils reliés à une machine sur moi, et pleins de gros bandage. Je tourna les yeux à gauche et vis une ombre. Ferid. C'est l'ombre de Ferid.

Je débrancha ces putains de cables sur moi, j'essayais de me lever, je voulais partir, rentrer vers mes amies. J'avais du mal à marcher, je me vis dans un mirroir, j'était terrifiée. J'avais du sang sur le visage, du sang sur les bandages.

Je sortir de la pièce, j'essayais de tenir l'équilibre grâce à un mur, je sentis que j'allais tomber.

"Mais t'es folle, tu vas te blesser encore plus !" Cria une voix. Ferid bien sûr.
- Ta gueule, merci. Dis-je.
- Toujours le même caractère à ce que je vois.
- Tu voulais me tuer hein, mais t'y arrivera pas ! Je vais partir !
- Non ! Je n'allais pas te tuer, t'es folle !
- Laisse moi.

Et j'essaya de marcher, il y avait encore 5 mètres à faire, aller courage.

- Helène, s'il te plaît .. Dit il.

Je ne lui répondis pas. J'avais chaud, mal à la tête, une envie de vomir, je sentis ma tête frapper par terre.
J'entendis des choses, mais pas vraiment.

J'était évanouie. Je ne pouvais qu'entendre mon prénom, répété, criée et hurlée par Ferid. Je ne répondit pas, je ne pouvais pas.

Vitale.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant