Préparation.

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Ce soir même, ma mère m'annonça son départ en Australie, pour un travail. Définitif. Et moi ? Moi je ne viens pas ? Toute façon, je n'en avais pas l'envie, mais où pensait-elle me laissée ? 

M (Maman): T'iras vivre chez Harane ! Ils ont une maison super grande !

H: Non mais t'a vraiment plus aucun respect envers les gens ! 

Je sentis qu'elle était énervée, et je me pris une giffle. Parfait. Je sentais également la colère en moi, je m'enferma dans ma chambre. Je n'ai même pas dit au revoir à ma mère. Ma mère et moi, rien nous relie. Elle n'a jamais été là de mon enfance, comment dire .. C'était une trainée ? Mon père ? Pff ! Je ne le connaissais pas évidemment ! Elle était vraiment partie, il n'y avait plus son maquillage adorée dans sa commode et je ne sais où. Bien évidemment, je n'allais pas rester dans cette maison, elle était louée, et ma mère l'avait sûrement rendu. Je pris ma grosse valise, j'y mis tout mes habilles, chargeurs, touts mes trucs, toutes façon, je n'avais presque rien ici. Dans cette vie. Le sac n'était pas trop lourd, étant donné que je n'avais pas énormément d'affaire. Mon portable avait 97%, cool. J'avais pris tout mon argent économisé, 220€. En avant l'aventure ! Il faisait déjà noir dehors, mais il n'était que .. 19:27 ? J'avais ma carte de bus. Je pris mon bus qui me déposa à la place Marine, puis de là bas, je pris le bus numéro 3, celui qui allait me déposer vers chez Harane. Je n'éspère seulement ne pas la dérangée, et avoir une petite hospitalitée de quelques jours de sa part. De toute façon, son père n'était pas là, en voyage, en Autriche. Sa mère était morte. Je sonna à l'interphone: "Espece d'abbrutie de ta vie qui es tu à cette heure là heiiin ! Si tu es un voleur dit le moi d'avance ! ". "Non, c'est Helène, c'est tout", répondis-je en riant. Elle m'ouvra, oui, ils avaient un interphone dans une maison. 

Elle m'acceuilla; je lui raconta tout, plus tard, elle me tendit une clée, celle d'une chambre avec deux lits. On restera là bas nous deux, me dit elle. Je la remercia, c'était trop, vraiment trop gentil de sa part de m'acceuilir. 

H: Que penses tu faire maintenant ? 

He: Partir. Je pense partir, chez l'ancienne maison de mon grand père, elle est déjà toute meublé, pas mal de provision dans la cave et tout cela. Je m'en sortirais pas mal.

H: Mais t'es folle ! T'a cru que j'allais te laisser partir comme ça .. sans moi ?

Un sourire me vint au coin de la lèvre: Si tu veux vien, la maison est assez grande pour nous deux non ? Rigolais-je. On explosa de rire, "ET COMMENT?!" Cria t'elle.

Comment ? Repétais-je. Oui, me dit elle. En train. Nous habitons dans une ville de vieux, et on à 12 ans, et on montre plus. C'est très simple ici. Moi j'ai déjà mes bagages de prêts.

Faudrais que je prépare les miens aussi ! Dit-elle. Mais ton père, lui demandais-je ?

Hahaha, mon père ? Je fais ce que je veux, il me l'a dit. Son travail est plus important que tout, mais je m'en fiche, me dit-elle.

Nous avions passé la nuit à rire, parler, manger ou plutôt grignoter. Je mis mon portable en charge, demain c'est le grand jour. Et là, ce n'est pas une pensée profonde, mais de la pure réalitée ! 

Vitale.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant