b a s s i n - c l o p e s - h a n c h e s

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(aucuns rapport entre média et story but 👌 )

pdv kirishima

Le flic m'avait gentillement dit de monter à l'arrière, en me poussant dans le dos. J'avais pas vraiment l'habitude de rentrer dans une bagnole de police, ni d'être du côté ennemi de la police. J'étais un peu en état de choc, j'avala tout mon énervement en me disant qu'arrivé au poste on pourra s'expliquer plus clairement. Ce con de chien putain.
C'est en rongeant mon frein que je m'étais assis à l'arrière. Le flic avait refermé violement la portière limite sur ma gueule.
Pas commode le gars...

Mais alors que tout ce qui se passait autour de moi était surréaliste, trouver Bakugo, assis à l'arrière aussi, les menottes aux mains, la tête posée sur la vitre regardant le paysage dans une moue ennuyée l'était encore plus. Putain. J'étais un peu choqué, surtout que c'était seulement la deuxième fois que j'étais aussi proche de lui. Nos rencontres avaient toujours un contexte un peu chelou.
Qu'est ce qu'il avait fait ?
Tout mon mal-être d'être dans cette situation merdique où j'avais rien fait avait été complètement balayé par de nouveaux questionnements cette fois centrés sur la place du blondinet dans une bagnole de police. Il ne disait rien, moi aussi remarque. Dans ma tête c'était le chaos, trop de choses se bousculaient. Le trajet avait commencé dans un silence pesant, personne ne parlait, même les policiers devant, ne disait rien. Du mouvement à ma gauche me fit tourné la tête, Bakugo se tortillait dans tout les sens avec ses menottes, pour essayer d'atteindre quelque chose dans les larges poches de son pantalon.
Au bout de quelques essais et un flot d'injures digne d'un Bakugo, le blond s'était tourné vers moi.

"Attrape mon tabac, bouffon."

Putain mais ça lui arrivait jamais d'être un minimum poli à ce connard, en plus il ose mal me parler alors qu'avec une main je le nique sans problème lui et son corps de gamine.
Qu'il aille se faire foutre je suis pas d'humeur à me plier à ses petits désires de petit prince. Je me tourne vers la fenêtre, putain je suis vraiment un gamin qui boude là. Pas grave il avait qu'à mieux parler.
Mais un poid tomba d'un coup sur mes jambes m'arrachant de ma bouderie. Putain ce type était un malade, il s'était assis sur moi, à croire c'est ma meuf. C'était gênant bordel, je devais sûrement être en train de rougir comme un rat mort. Je le poussa d'un coup par les épaules, mais à part avoir plaqué le haut de son torse sur le siège devant moi, ça avait pas du tout fait bouger son bassin beaucoup trop proche de ma bite pour que je sois serein. Il est souple en plus ce bâtard. Sérieux il me dégoûte avec sa gueule de cas sociale, ça se voit il a pas d'honneur ce gars. Je l'aime pas. Malheureusement, je commençais à être excité alors que c'était juste cette merde de Bakugo assis sur moi. En plus la voiture empruntait des routes imparfaites se qui faisait bouger moi et le fucking bassin de Bakugo. Mais qu'est ce qu'il me voulait putaiiiin. Il avait comme une emprise sur moi qui faisait que j'osais pas le dégager, à travers le rétro j'ai vu le policier qui conduit me regarder avec un sourire vicieux. Je sais pas se qu'il s'imaginait mais il avait pas vraiment l'air de vouloir intervenir. Putain j'avais chaud et je commençais sérieusement à bander. J'essayais de me concentrer sur autre chose, baissant ma tête pour ne surtout pas croisé celle du merdeux posé sur moi. Bakugo était en cargo noir bien usé et taché de plâtre avec un t-shirt beige large pas trop moche. J'avais toujours mes mains sur ses épaules afin que sa putain de gueule s'approche pas de moi. Le fait qu'il soit courbé en arrière faisait remonter un peu le haut de son t-shirt. C'était hallucinant comme sa peau était blanche, presque maladive. C'était vraiment pas beau. Je pouvais voir le début d'un ventre tracé par de fin abdominaux. Pas de quoi se vanter, ce qu'était le plus choquant restait sa taille ultra fine, malgré son cul de meuf là. Il avait des hanches bien dessinés, mais un peu après on pouvait voir que sa taille était plus étroite. Sérieux même Mina a pas des hanches comme ça. C'est bizare sur lui. J'aime pas. Je pouvais voir son bassin se mouvoir dans des ondulations douces au moment des virages, y'avait quelques chose d'hypnotisant. En fait si on enlevait le visage du propriétaire de ces hanches et bah je me serais vraiment crus dans les images de porno que j'aime bien quoi. Putain je sentais que de mon côté j'étais de plus en plus excité et une bosse devenait très apparente et trop proche de Katsuki. Je relâcha ses épaules pour mettre mes mains dessus. Pas cramé svp pas cramé svp...
Avec son visage juste en face de moi, me scrutant de ses yeux rouges aux milles secrets, et ses bras reliés derrière son dos par ses menottes. Ça serait une meuf, genre avec des gros seins, timide et gentille, je lui aurais sauté dessus, genre tout l'inverse du blond.
Un blond qui rapprocha doucement sa bouche de l'oreille d'Eijiro, pour lui chuchoter :

 R ∆ G E Où les histoires vivent. Découvrez maintenant