Le journal de Zoé

09 décembre 1999

Cher journal

❗Lemon et légère violence corporelle❗

J'eus de la peine à dormir à cause des évènements de la veille. Chaque fois que je faisais ne serait-ce qu'un mouvement pour me replacer correctement, j'avais l'impression que mon corps était recouvert d'épines qui me transperçaient.

Ma seule occupation en attendant que le sommeil m'emporte dans les bras de Morphée était de regarder le ciel à travers la fenêtre, ce ciel était d'un bleu azur avec une légère teinte violacée parsemé d'étoile étincelante.

Soudain sa voix se fit entendre.

-C'est beau, tu ne trouves pas ?

-Hein... heu...ouai. Répondis-je sans intérêt quelconque à son égard

Il s'approcha de moi et me sourit avec tendresse, mais dans son regard, on voyait qu'il était mauvais et nocif, il me fixa et cela me rendit mal à l'aise donc je repris.

-Quoi ?..

-Tu es magnifique...

Suite à cela limite, il me sauta dessus. Il se mit quatre pattes au-dessus de moi et commença à me léchouiller et me mordre le cou. J'essayais de le repousser malgré la douleur, mais cela ne lui plut visiblement pas, puisque, il me frappa.

-Mes blessures... La douleur encore inten...

Il ne me laissa pas finir qu'il me tira une autre claque, ce qui me fit l'effet d'un coup de poignard dans le cou.

-Maintenant, tu te la fermes et tu me laisses profiter de ton joli petit corps.

Il m'attrapa une mèche de cheveux et l'a sentis avec un sourire mesquin. Je n'osais plus faire le moindre mouvement, j'étais ainsi devenue encore une fois de plus son petit jouet...

Il commença par m'embrasser tout en passant ses sales mains sur les côtés de mon bassin, je ne pensais même plus à la douleur tellement je me sentais sale... je voulais seulement que tout cela s'arrête.

Il enleva mon tee-shirt et passa sa main sur ma poitrine, puis, il me lécha le bout des tétons avec envie, je ne pus malgré moi m'empêcher de lâcher un gémissement de plaisir.

Il passa ensuite son autre main vers mon intimité et commença à la toucher à travers les vêtements, il me fixait sûrement pour voir mes réactions, que, je ne pouvais bien évidemment pas cacher. Il me sourit, la honte s'emparait de moi, mon visage était rougissant et ses doigts qui me touchaient et sa langue qui remuait sur ma poitrine ne pouvaient m'empêcher de lâcher de très nombreux gémissements.

Il enleva mon pantalon et descendit son corps, je cachais mon visage entre mes mains, pourquoi... pourquoi regardait-il là... soudain, il se mit à lécher mon intimité, à remuer sa langue dessus et dedans parfois, mes gémissements étaient incontrôlables et cela l'amusait puisqu'il continua de plus en plus vite.

Quand, il eut enfin fini, il enleva ses vêtements, me regarda et me pénétra d'un coup, entre deux souffles, il me murmura à l'oreille

- Tu aimes, j'espère salope !

Suite à cela, il me pénétra de plus en plus rapidement en claquant bien sa peau contre la mienne, des milliers d'aiguilles parcouraient mon corps qui souffrait, mais je ne pus ne pas me laisser aller au plaisir que cet homme me procurait.

Il me prit ensuite à quatre pattes par, je ne sais quel moyen, il passa un doigt dans mes fesses puis le remuait tout en me pénétrant sauvagement.

Je ne pus retenir le plaisir qui me parcourait le corps et je jouissais donc et bien évidemment, il fit de même.

Je m'écroulais ensuite sur le lit, des larmes coulaient de mes joues, du sperme coulait de mon intimité et la douleur était insupportable, il se coucha à côté de moi, me prit dans ses bras et s'endormit comme si de rien n'était, le soleil commençait à se lever, mais je souffrais toujours énormément le martyre et par, je ne sais quel moyen, je réussis enfin à m'endormir.