Chapitre 78 : "FireBird" *

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Boya par The Pudding is a Lie.

Vous pouvez retrouver son profil AO3 ici : archiveofourown

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Merci à elle de son autorisation pour utiliser ce magnifique dessin à des fins d'illustration.

Son tumblr : the-pudding-is-a-lie.tumblr.com

allez voir, c'est beau.

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QingMing avait porté son Boya, non, Zhuque jusqu'à sa tanière. Une fois le dieu-gardien posé sur les couvertures, il avait fermé la porte, les rideaux puis étouffé le lien qu'il partageait avec ses autres shishen

"- Boya ? Tu es d'accord pour laisser Zhuque profiter en premier ?" Il préférait demander à nouveau.

"- Ne m'abîme pas. C'est tout." L'amusement de son chasseur était réel. Autant que l'excitation de Zhuque. "J'ai très faim de toi aussi."

Le dieu-gardien se tortillait au milieu des coussins en roucoulant doucement sous le petit rire bas de son renard. Alors son bel oiseau et son dieu-gardien étaient à ce point affamés ? QingMing releva une narine lorsqu'une délicieuse odeur titilla soudain sa libido. Il n'y prêta pas plus attention que ça. Il savait que Zhuque serait bientôt en chaleur. Qu'il commence à avoir faim et à prévenir son renard de sa disponibilité était normal.

"- Alors mon beau phénix veut de la nouveauté."

Il connaissait assez Zhuque pour le savoir bien moins prude que son Boya et bien plus curieux. L'étincelle gourmande dans les yeux rouges de l'avatar fit sourire le demi-démon.

"- Qu'est-ce que je vais faire de toi ?"

Zhuque ouvrit la bouche mais la ferma lorsque QingMing posa un doigt sur ses lèvres puis alla fouiller dans un petit coffre. Il en tira plusieurs longueurs de cordes, de soie et divers accessoires.

"- Tu te rappelles du mot magique ?"

"- "Serpent"."

"- Parfait."

Le demi-renard prit son temps pour déshabiller son Partenaire de toutes ses couches de vêtements jusqu'à ce qu'il soit totalement nu.

Il resta un long moment à l'observer avec le même regard de tranquille fascination que la première fois, autant qu'à se noyer dans son odeur de plus en plus forte.

"- Ha mon Boya... Je crois que je ne pourrais jamais me lasser de te voir ainsi devant moi. Je crois que je ne vais pas te laisser t'enfuir, tu sais ? Je vais t'enfermer dans ma tanière et ne plus jamais te laisser en sortir."

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