Le contrat du milliardaire

Une journée et une nuit longue

En décidant que je voulais fouiné un peu dans les affaires de Ryan, j'ai ouvert le placard bizarre. À l'intérieur il y avait des cartons fermé et sans étiquette. En m'assurant que personne n'étais vraiment là, j'ai ouvert une boîte. Je me demande ce qu'il y a ici. Le ruban était lâche, donc j'ai pû mettre un ongle sous un côté et j'ai tiré. J'ai levé les côté et j'ai regardé à l'intérieur. Confuse, j'ai sorti des trophées de football. Championnat de football 2008-2009.
Wouah, Ryan à jouer au football ? J'ai remis ce trophée à l'intérieur, et j'ai regardé plus loin à l'intérieur de la boîte. Toute la boîte était rempli de médailles et de trophées de plusieurs sports différents. Il y avait le baseball, le football et le basketball. J'ai laissé sortir un souffle bas d'impressionner. J'ai presque imaginer Ryan faire du sport, au lieu qu'il soit un homme d'affaires froid et coincé, dans ma tête. En remettant cette boîte à sa place, j'en ai sorti une autre. Je l'ai ouvert, elle était rempli de photos. En sortant une photo j'ai sourire, c'était une photo de Ryan quand il avait l'air d'avoir seulement 10 ans. Il tenait un ballon de football sous le bras et souriait à la caméra, il lui manquait une dent du bas et du haut. Les traits de son visage étaient plus jeunes et ronds et son sourire authentique. Je l'ai remis à sa place et j'en ai sorti une autre. Il avait l'air quelques années plus âgé que la précédente, ses cheveux bruns disquettes et longs pendais autour de son visage. Son visage était plus tranchant que les années précédentes, il a eu un ensemble de dent blanche et droite qui souriait à la caméra, un ballon de basket dans la main tendue devant son corps. Ryan avait l'air très heureux et ses yeux brillaient. En prenant une autre photo, mon sourire s'est élargie. Cette photo devait être celle de sa première année au Lycée, il était debout en uniforme de baseball. Il portait un chapeau, mais je pouvais voir que ces cheveux longs disquettes avais disparu pour laisser place à un style plus court. Ses épaules étaient plus larges et je pouvais voir virtuellement ces bras musclés à travers sa chemise, jusqu'à son avant bras. Son visage rond des années auparavant à laisser place à un visage plus beau. Un marqueurs noir avait marqué ses joues. Il tenait à la longueur de ses épaules une balle de baseball entre ses mains, et plein d'autres balles de baseball posé autour de ses pieds. Sur cette photo, il ne souriait pas mais regardais la caméra avec un regard dur. J'ai déposé les photos à leurs places en étant étonnée qu'il ai pratiqué les 3 grands sports du lycée. En remontant les photos, j'ai remarqué plusieurs boîtes à anneaux sous une pile de photos. Curieuse j'ai déplacé les photos et j'ai attrapé une boîte à anneaux et je l'ai ouvert. A l'intérieur, un anneau de championnat de football. Il était énorme et avait une pierre verte au milieu et entourait le mot football. En le fermant, j'en attrape une autre et je l'ouvre. J'ai obtenu le même résultat, mais avec les autres noms de sports. Ryan a eu 5 anneaux au total : 2 ballon de football, 1 panier de basket et 2 ballon de baseball. Bon a chanté, j'ai pensé. Ils sont tous immenses et beaux. Pourquoi sont-ils emballer dans une boîte à l'extérieur ? Si j'en avais de tels, je les aurais exposé à l'intérieur et peut-être les porterais de temps en temps.
Au lieu d'ouvrir le reste des boîtes, j'ai fermé et remis la boîte à sa place. J'ai fermé les portes du placard. En pensant toujours aux bagues, aux photos, aux trophées et aux métaux, j'ai attrapé ma tasse de café à moitié pleine et je suis retournée à l'intérieur. En déversant mon café dans le levier, je me suis penchée sur le comptoir en me mordant la lèvre inférieure en pensant. Si Ryan était aussi bon pour avoir ces trophées et ces anneaux, pourquoi ne joue t'il pas maintenant encore ? Il n'a que 24 ans, il est encore loin de l'âge où il ne peut plus pratiqué de sport, que ce soit pour le football, le baseball ou le basketball. Et comment le garçon sur ces photos peut-il être si différent de celui que je vois aujourd'hui ? Est-ce que quelques choses s'est passé ? Je savais que je n'obtiendrai aucune réponse si je lui demandais. De plus, si je parle de ce que j'ai vue, il saura que je suis allée fouiné dans ces affaires. En soupirant, j'ai laissé tombé, mais je savais que très bientôt j'allais posé des questions à leur sujet. Après avoir regardé dans le garage et trouver tous ces boîtes, ceux qui avait tué 30 minutes de mon temps. J'ai jeté un coup d'œil à la cuisine et j'ai tapé mes doigts sur le comptoir. Il n'était que 11 heures et je m'ennuyais. Cette année va être longue, j'ai pensé. Sans rien à faire, j'ai décidé d'aller jeter un coup d'œil à la bibliothèque pendant un moment. Avec cette pensé à l'esprit je me suis dirigée vers la bibliothèque. J'allais m'arrêter dans ma chambre pour prendre mon téléphone, mais sans personne pour m'appeler ou pour m'envoyer des messages. J'ai décidé de le laisser là. Inutile de le prendre, je pourrai finir par le laisser dans la bibliothèque de toute façon. En entrant dans la bibliothèque, j'ai encore été stupéfait par la pièce. Il s'agissait d'une véritable bibliothèque à l'intérieur d'une maison. Les murs étaient remplir de livres, un grand canapé confortable et une chaise était assise sur le côté et une table basse était au milieu d'eux où on peut travailler si c'est nécessaire. Le petit mûr que j'ai pû voir était peint d'un rouge profond et toute la pièce criait à la paix de la maison. J'ai toujours adoré les bibliothèques que ce soit à l'école ou à quelques kilomètres de la maison. Quand j'avais besoin de m'évader un peu, j'allais toujours dans la petite librairie, mais c'était généralement trop loin pour que je puisse marcher pour y aller. Un sourire s'est répandue sur mon visage alors que je marchais lentement d'un côté de la pièce en parcourant mes doigts sur les épines des livres.
L'odeur de la pièce était un mélange de vieux livres, de bois et d'autres choses que je ne pouvais pas d'écrire. Quelques choses dans cette pièce m'a fait sentir comme si j'étais chez moi et j'étais détendue. Ça va certainement être ma place préféré dans toutes la maison. Mes yeux se sont promené sur le titre des livres, avant qu'ils atterrissent sur un livre qui mettait familier. En saisissant le livre par sa colonne vertébrale, j'ai sorti George Orwell 1984. Je l'ai lu au lycée et j'en suis tombée amoureuse. Quelque chose dans cette histoire m'a vraiment fasciné et m'a fait réfléchir, si la société était vraiment comme ça. Que nous arriverait-il ? Qui serais-je et que ferais-je ? Serais-je Winston et enfreindre les règles en voulant coûte que coûte connaître la vérité, ou serais-je Parson qui ignore tout de ce qui l'entoure ? En saisissant le livre, je suis allée vers la chaise en cuire confortable et je me suis assise. Avec un sourire j'ai ouvert le livre et je me suis mise à lire.
Tout autour de moi s'était estompé et j'ai été plongée dans le livre. Je l'avais lu plusieurs fois déjà, mais à chaque fois ça me faisait le même effet. En lisant je me suis laissée emporter, comme si j'étais vraiment à l'intérieur du livre. La lecture est une façon de laisser tout disparaître et d'oublier tout pendant quelques instants. Je n'ai pas à me soucier de payer un loyer, de mes emplois ou maintenant de l'accord que j'ai signé avec Ryan. Tout à juste fondue et je suis capable de me concentrer sur l'histoire et de ne fais qu'une avec elle. Les heures se sont écoulées pendant que je lisais, mon esprit ignorait le temps qui passait. Je me suis finalement arrêter à la fin d'un chapitre, j'ai fais une boucle sur la page, en mettant le livre sur les genoux pour m'étirer le cou. Pendant ma lecture qui a duré des heures, mon cou était à l'étroit et était devenu douloureux. En étirant mes jambes, des bruits éclatés peuvent être entendu lorsque mes articulations raides et mes muscles bougeait finalement. En regardant le livre j'ai remarqué que j'avais lu plus de la moitié. En tenant mon cou avec ma main, mes yeux fixés sur l'horloge, je me suis replongé dans ma lecture. Il était 4 heures de l'après-midi. Ça fait presque 5 heures que je lis. Je me suis levée et mon estomac à commencer à grogner. J'ai mis mon livre sur la table basse et j'ai quitté la bibliothèque en me dirigeant vers la cuisine. Je suis restée longtemps assises, en marchant vers la cuisine je me suis sentie un peu bizarre comme d'habitude après un long moment d'immobilité. En entrant dans la cuisine, j'ai attrapé un verre et je l'ai rempli d'eau avant de tout avaler en quelques secondes. Avec un estomac qui grognait encore, j'ai attrapé un récipient aléatoire du réfrigérateur avant de le passer au micro-ondes. Le dîner arrive tôt aujourd'hui. En roulant les épaules, en attendant ma nourriture, je me suis demandée si Ryan rentrerais à la maison se soir. Sans doute pas. Je voulais lui parler mais avec la façon dont il a réagi plus tôt ce matin, je suis un peu réticente pour lui parler à nouveau. S'il allait m'insulter encore une fois, je ne voulais pas lui parler.
Je ne peux m'empêcher de penser que si nous nous asseyons et essayions de nous connaître les uns les autres, ce serait mieux. Peut-être que cet accord ne serais pas si mauvais... mais il semble que je sois là seule à vraiment m'en soucier. Je ne savais pas comment faire pour faire croire à ses parents que nous étions vraiment amoureux. Je n'ai jamais été dans la même pièce avec lui plus de 20 minutes, et je ne sais rien de lui à part qu'il a fait du sport au lycée, et je sais ça parce que j'ai pris mon temps pour fouiné dans ces affaires. Soupirant, le micro-ondes a bipé et j'ai mis le contenu du récipient dans une assiette. J'ai vraiment besoin d'acheter de la nourriture et de le fabriquer moi même, j'ai pensé. Je ne sais pas combien de temps je peux manger des aliments mis au micro-ondes. J'ai pris place au bar et j'ai mangé ma nourriture seule et en silence. Ce n'est pas comme si je n'étais pas habitué à manger seule, juste que cette maison me faisait me sentir encore plus seule avec sa taille. Avec mon petit appartement, ma présence prenait la place, donc je n'avais pas l'impression que c'était juste moi, mais ici c'était le contraire. Je ne me suis pas sentie autant seule depuis un moment.
Alors que je finissais ma nourriture, j'ai entendu une porte s'ouvrit suivie d'un rire. Je n'ai jamais vue Ryan rigolé. Avec les sourcils levés, je me suis levée avant d'aller regarder autour du mur. À quelques mètres de moi, Ryan poussait une brune contre le mur tout en suçant et en embrassant son cou. Je me suis frotter le nez, en regardant et en entendant la fille gémit. D'après ce que j'avais pû apercevoir de la fille, elle était jolie. Avec Ryan couvrant la majeure partie de son corps, je pouvais voir qu'elle portait une robe vraiment petite. Avec sa tête dans le cou de Ryan, j'ai pû voir ces lèvres qui était recouvert d'un rouge à lèvres rouges et maculé, et je savais que c'était partout sur le visage et le cou de Ryan. Dégoûté, j'ai reculer la tête. Le petit discours que Ryan m'a prononcé quand je suis arrivé ici jeudi m'a traversé l'esprit.
<< Si je ramène des femmes ici, je m'attends à ce que vous soyez dans votre chambre ou que vous partiez, je ne veux pas qu'elle pose des questions.>> Savoir que Ryan a pû ramener une femme ici, et était dans une séance de caresses chauffé avec elle juste au bout du couloir m'a vraiment fait mal à la poitrine. Je suppose que je ne pensais pas qu'il était sérieux à l'idée d'amener des femmes ici. En essayant de ne pas faire du bruit, j'ai attrapé mon assiette et je l'ai mis dans le levier. Je suppose que je dois le nettoyer demain. J'ai regardé dans le couloir. Ils étaient toujours là, c'était le seul moyen de me rendre dans ma chambre. Que vais-je faire ? J'ai pensé essayer de me diriger vers le salon, car il était plus proche. J'ai entendu la voix de Ryan dit viens ici>>
J'ai regardé au coin du couloir et je me suis rapidement rétracté. Ils venaient vers moi, je me pressais contre le mur en souhaitant silencieusement que je sois invisibles. J'ai entendu les talons de la fille claquée le carrelage, je me suis mordus la lèvre en les sentant se rapprocher. Du coin de mon œil, j'ai vue Ryan, puis la fille avec laquelle il était. Je l'ai vue jetté un coup d'œil à la cuisine, alors j'ai appuyé plus loin dans le mur en voulant devenir un avec le mur. J'ai envoyé un remerciement silencieux à Dieu, de ne pas avoir allumé la lumière quand je suis descendu ici pour manger. Heureusement ils sont passés devant la cuisine et j'ai entendu leurs pas continuer jusqu'à l'escalier en colimaçon. J'ai entendu sa porte s'ouvrit en le laissant ouvert, mais ça il ne l'a jamais fait. Sans me soucier de ça, j'ai couru dans ma chambre à coucher en fermant la porte. Je me suis penchée contre elle en respirant profondément. J'en avais besoin. J'ai sourire, un petit sourire, contente de ne pas m'être fait prendre. Qui c'est ce qui serait passé si Ryan m'avais vue. En respirant, j'ai regardé autour de moi en sachant que j'allais resté ici toute la nuit. Je me suis débarrasser de mes vêtements en me lavant le visage. Je suis sortie de la salle de bain, mais j'ai gelée quand j'ai entendu un bruit. C'est quoi ça bordel ? Confuse j'ai regardé autour de moi avant d'ouvrir silencieusement ma porte d'un pouce. J'ai entendu instantanément des gémissements. En soupirant et en frottant mon visage dans le dégoût j'ai refermé la porte mais je l'attendais toujours légèrement. Est-ce que cette femme est un micro ? Je l'entends à travers les murs. C'est pourquoi Ryan n'as pas fermé sa porte, pour s'assurer que je les entends et resté à l'écart. Ne vous inquiété pas, je n'avais pas prévu de sortir. En fronçant les sourcils, je suis montée sur mon lit, je me suis appuyée contre mon oreiller. En attendant les gémissements de la fille au hasard, je me suis couvert les oreilles et je respirait fort. La nuit sera longue.