Le contrat du milliardaire

Hope

La vie à une façon étrange de se transformer à l'opposé de ce que nous voulons. Réussir sa vie, c'est allez dans une meilleure université pour assurer son avenir pour certains et pour d'autres c'est fini sa vie avec son amoureux du lycée. Pour moi c'est toute ma vie qui a été transformé, je ne pensais pas que je serai déposer devant un orphelinat alors que je n'avais tout juste que cinq ans. J'ai aussi obtenu mon diplôme d'études secondaires et je travaille deux boulots horrible pour pouvoir joindre les deux bouts, payé mon loyer et mes factures. On pourrait dire que jusqu'ici que ma vie n'a été que déception.
- Hope on a besoin de toi à la table 3
Une voix interrompu mes pensées. En soupirant je me lève de ma chaise et me dirigea vers la table 3. Je détestais mon travail, le restaurant dans lequel je travaillais était un plongeon vieux et la peinture sur le mur se décollait, les sièges des cabines était troué et il y avait des marques de crayon laisser par les enfants à leur passage. Il y a quelques choses qui n'allait pas dans cette endroit, mais les gens semblait continuer à venir. C'était plutôt bien comparer à la décoration extérieure. Je travaille ici depuis un an et tout était toujours pareil.
Après avoir servi le café à la table 3 à un homme âgé et je suis allée m'assois. C'était un lundi et c'était vraiment serrer. J'avais déjà hâte d'être au vendredi, mais c'était juste le début de la semaine et il n'était pas encore 10h. J'avais déjà hâte de passer un weekend de congé, puisque depuis trois semaines je travaillais aussi les weekends pouvoir payer mon loyer. Mon plan pour ces weekend était de dormir jusqu'à midi et de rester dans mon pyjama toute la journée.
J'ai passé ma main à travers mes cheveux roux attaché en queue de cheval, en regardant dans le café. Il n'y a que trois clients dispersés dans le restaurant entrain de bois leur café et de lire leurs journal. La plupart étaient des personnes âgées habitué aux restaurants qui venait tout les deux jours. Je soupirais et j'étais prête à faire une sieste ici même sur le comptoir quand une voix m'interpellas
- Pourquoi est tu si fatiguée ? m'as demandé une voix qui appartenait à la seule amis que j'avais ici dans ce restaurant, Amber.
- Longue nuit ? elle se tenait derrière le comptoir en attrapant une serviette mouillé et commençait à nettoyer le comptoir en me regardant.
- On pourrait dire ça, j'ai fini par resté ici jusqu'à 4heures pour la fermeture du club hier soir et pour tout nettoyer. Ensuite je suis revenue ici pour ouvrir à 6heures le restaurant, j'ai dis en étouffant un bâillement avec ma main.
Amber était la seule personne qui sait vraiment quelque chose de moi et de mon passé.
Habituellement, étant renfermé sur moi même, Amber s'est frayé un chemin dans vie coincée. Elle a 4ans de plus que moi avec les cheveux blonds courts et le yeux bleus les plus beaux que j'ai jamais vus.
- Girls, tu travailles dur. Vous avez besoin de temps pour vous reposer. Elle m'a dit de m'envoyer un regard. Parfois Amber aime agir comme ma mère même si elle n'a que quelques années plus que moi.
- Je vais bien Amber. En plus j'ai besoin de cette argent pour payer mon loyer et mes factures ce mois-ci.
- Si vous avez besoin d'argent, demander une augmentation à Logan.
Logan est le propriétaire du restaurant, c'est un gars énorme debout qui faisait environ 1m90 et 100kilo ou plus. Ses cheveux bruns jadis autrefois devenait gris et il y avait quelques rides de plus qu'avant. Même à 60 ans, il a l'air encore plus jeune et encore plus musclé. Je ne voudrais pas me retrouver seule avec lui dans une ruelle. Mais une fois qu'on apprend à le connaître c'est vraiment quelqu'un d'adorables. Il ferait n'importe quoi pour vous si vous le lui demander.
- Je ne peut pas faire ça, cet endroit ne fait pas assez de bénéfices pour que je puisse demander une augmentation. Je vais continuer à travailler ici et au club plus d'heures. C'est très bien comme ça.
J'ai dis de secoué la tête devant son idée. Je ne pouvais pas emprunter de l'argent, je n'étais pas ce genre de personne. Je préfère être fatiguée et épuisée tout le temps en gagnant de l'argent que d'aller emprunter à quelqu'un. Je fais toujours tout moi même depuis mes 14ans et ce n'est pas maintenant que ça changera.
- Pensez-y quand même, d'accord, elle m'a demandé avec ces yeux
- Je vais le faire, Amber. Merci, j'ai dis de lui faire un petit sourire.
Juste que le cloche au caillons au dessus de la porte annonçant que quelqu'un était rentré dans le restaurant.
En gémissant dans le fond de mon esprit, j'ai sauté de ma chaise et je me suis dirigée vers la porte d'entrée.
Heureusement la journée est vite passée, plus vite avant que je ne le sache. Mon quart de travail était terminé. J'ai dis au revoir à Amber par dessus mon épaule. J'ai quitté le restaurant et j'ai commencé à marcher jusqu'à mon appartement. Je ne vivait pas dans le meilleur des quartiers, mais c'est la seule chose que je pouvais me permettre. Heureusement que je ne vivait pas loin du restaurant. On était à mi-septembre et il commençait à faire froid. Vivre à New York durant l'hiver n'était pas du tout facile. Le froid glacial a toujours été quelque chose que je n'aimais pas. J'ai enroulé mon pull autour de moi puisque le vent commençait à souffler.
Quelques minutes plutard j'ai vue mon appartement apparaître. Je monte les escaliers pour aller vers ma chambre. Je m'écroule sur le canapé et me laisse enfoncer dans les coussins la tête en arrière. Je regarde mon horloge accroché au mur et je vois 14h 30. J'ai environ trois heures devant moi avant de me rendre à mon deuxième boulot, le club. Je travaille comme barman dans un club de striptease en bas de la route. Je déteste ce job mais je n'ai pas trop le choix. Je m'habille en short court et en débardeur serré et je vais me maquiller.
La plupart des gens que je servais me touchais le cul ou quelque chose comme ça. Ce n'était pas un bon travail mais j'avais besoin de l'argent, en plus ça paye bien et j'ai reçu des conseils en plus. M'habiller en tenue serrer et court, envoyé des sourires dragueur au client me permettait de gagner des pourboires allant jusqu'à 100$. Je sais que je n'est pas encore l'âge légal pour vendre de l'alcool mais le propriétaire me laisse travailler. Paul le propriétaire était à peu près comme Logan du restaurant. C'était un grand homme au cheveux brun clair, à l'extérieur il ressemblait à un grand méchant mais pour moi et les autres filles c'était le plus gentil. Il ne fait pas partie de ces patron qui ne se soucie pas de ses employés, il nous demandais à chaque fois si tout allait bien et ce que nous faisons. Paul à toujours semblé avoir un faible pour moi, au lieu de me renvoyer quand je lui ai demandé du travail, il m'a fait promettre de n'être que barman et rien d'autre et si les clients me dérangeait je pouvais appeler les gardes. Paul était protecteur envers les filles et plus envers moi surtout que je n'avais que 19ans.
J'ai fixé le mur juste devant moi, mes pensées qui s'éloignent, le mur était censé avoir une télévision accroché dessus, mais parce que je n'avais pas assez d'argent pour en acheter une, je ne l'ai pas fait. Je n'avais même pas de téléphone portable comme la plupart des gens aujourd'hui. Même au lycée, je n'en avais pas, la maison ne nous en a pas fourni. Je n'ai pas vue l'intérêt, alors que je passe tout mon temps d'un boulot à un autre et de retour à mon appartement je ne fais que me reposer. Sans familles ni amis, je suis restée seule et j'ai fait tout moi même donc ce n'est pas un besoin. Les deux prochaines heures se sont écoulés rapidement et avant que je le sache, je devais prendre la douche et me préparer. J'ai fermé les yeux et j'ai laissé l'eau tomber en cascade au dessus de moi. Je ne m'étais pas doucher quand je suis rentrée à la maison ce matin, donc l'eau était super. J'ai rapidement lavé mes long cheveux roux et mon corps ne voulant pas être en retard. A contre cœur je suis sortie de l'eau chaude et j'ai enroulé une serviette autour de moi. En entrant dans ma chambre, j'ai séché mes cheveux et mon corps et j'ai enroulé la serviette autour de ma tête quand j'ai commencé à m'habiller. Quand j'ai commencé au club je n'avais pas les > vêtements pour le boulot donc Paul a demandé à l'une des filles de m'emmener faire des courses pour obtenir des vêtements sexy comme elle les appelait. Je m'habille de mon short noir et d'un débardeur noir serrer qui montre une pouce de ma peau sous mon nombril. Comme une personne normale j'ai glissé sur mes baskets noir bon marché au lieu de talon. Je ne porte pas de talon, en revenant de la douche j'ai brossé mes cheveux et je les ai tirés en queue de cheval haute même s'ils sont encore mouillé. Je me regardais dans le miroir et j'ai soupiré. Mes yeux verts était de la même couleur terne comme d'habitude mais il y avait de gros sac sous eux qui me faisait paraître plus veille que mon âge. Je me sens dégoûté par moi même à chaque fois que je me regardais dans un miroir. Je me suis toujours dit qui si je ne ressemblais pas autant à ma mère peut être qu'elle ne m'aurait pas quitter. Je ressemble à ma mère, quand je l'ai vue pour la dernière fois, j'avais ses yeux et la forme de son visage. Avant de pouvoir déprimer, j'ai pris mon sac et mon pull avant de quitter mon appartement et de me rendre au club. J'ai rapidement marché jusqu'au club, le vent froid me mordant les jambes nues. Cinq minutes plus tard, j'ai vue le grand panneau > au dessus de l'entrer du club. Je suis arrivé à la porte latérale aux travailleurs et j'ai tapé sur la porte. Il s'ouvre pour révéler le visage de Toni qui me fixe. Tout les gardes debout aux portes et aux hasard autour du club énormes.
Paul a engagé les meilleurs pour nous protéger au cas où certains clients trop récidiviste voudrais insisté.
- Salut Toni, j'ai dis en lui souriant alors qu'il me laissait entrer dans la pièce chaude.
- Bonjour Hope, ravi de te voir. Comment vas tu ce soir ? Il m'a demandé avant de fermer la porte et de me regarder par dessus son épaule.