Le contrat du milliardaire

La famille de Ryan 2

Je ressemble à une autre personne. Mes long cheveux enroulé en vagues dans mon dos avec quelques mèches retirer de mon visage avec des épingles à Bobby. Mes yeux verts se sont démarqués du phare à paupières sombre que Karine m'avait mis avec du mascara. Mon maquillage n'était pas trop audacieux, mais plutôt naturel avec un blush rose clair sur mes joues et du rouge à lèvres rose clair sur mes lèvres. Je me suis levée pour pouvoir regarder au complet ma tenue, et j'étais vraiment très mignonne.
- Merci Karine j'ai dis avec un grand sourire.
- Voici votre sac, j'y ai déjà mis du rouge à lèvres supplémentaires, ainsi que tout ce qui était dedans auparavant. Je l'ai pris avec plaisir avant de regarder autour de moi, en sentant qu'il me manquait quelques choses. Ma bague ! En me dirigeant vers ma table de chevet, j'ai attrapé mon téléphone et je l'ai glissé dans ma poche avant de saisir ma boîte de bague. Je l'ai doucement ouvert et j'ai sourit à ma bague. Je l'ai sorti et je l'ai glissé à mon annulaire.
- Est-ce votre bague ? Karine a crié en étant derrière mon oreille. J'ai sauté et j'ai mis une main sur mon oreille.
- Oui c'est le cas. Avant même que j'ai pû répondre, elle m'a attrapé par la main et la tiré vers elle.
- C'est magnifique, elle s'est exclamée en regardant ma main.
- Où l'avez vous acheter ?
- Chez Tiffany
- Quoi !!! Vous avez tellement de chance. Son emprise sur mon poignet s'est resserrer et j'ai essayé de me retirer
- Vous avez déjà fini les filles ? Nous devons partir, la voix de Ryan s'est fait entendre auprès de la porte. Je me suis retourné et j'ai senti ma bouche s'assécher. Il était vêtu d'une paire de jeans bas qui avait fine allure sur lui et un t-shirt bleu foncé que je savais d'ici, ferais éclater encore plus ses yeux. Ses cheveux étaient tranchés en arrière mais encore légèrement désordonnés.
- Oui, elle est prête à y aller, Karine a dit en laissant ma main pour me laisser partir, et elle s'est mise derrière moi.
- Amusez-vous bien et bonne journée à vous. En marchant nerveusement vers Ryan, j'ai senti une main me donner une fessée. En me retournant j'ai tiré une mine d'éblouissement à Karine, mais elle m'a juste souri. Elle est trop bizarre. Silencieusement, on s'est dirigé vers le garage et j'ai dû me forcer pour ne pas matté les fesses de Ryan dans son jean. J'ai serré ma lèvre inférieure entre mes dents alors que je rentrais dans la voiture, on avait pris l'Audi et j'étais assise sur le siège passager. J'ai remarqué que c'était la voiture préférée de Ryan parmi ses autres voitures. Pourquoi avoir toutes ces voitures coûteuse, si vous n'en conduisez qu'une seule ? C'était gênant alors que nous étions assis là silencieusement, Ryan au volant et on s'éloignait petit à petit de la maison.
J'ai allumé la radio en voulant écouter quelque chose pour éviter le silence pesant qui c'était installé dans la voiture. J'ai choisi d'allumer Sam Smith, Lay Me Down, ce léger et doux sons s'est propagé à l'intérieur de la voiture. Je me suis penchée en arrière sur le siège en regardant par la fenêtre. Le refrain de la chanson commençait à peine, quand la radio fut éteinte. Je me suis retourné vers Ryan qui est resté stoïque. J'ai relancé la radio, qui s'est éteint quelques secondes plus tard. J'ai rallumé la radio et la même chose s'est reproduire ce s'est qui m'a irrité et m'a fait tourner la tête avec un visage ébloui. J'ai relancé la radio en défiant Ryan du regard en lui intimant d'oser recommencer. Il voulait recommencer quand j'ai frappé sa main lorsqu'il l'a avancer vers la radio.
- Ne fais pas ça, je veux écouter la musique, je lui ai dit. Il a sorti les yeux de la route une seconde pour me regarder, parce que je lui avais frappé la main.
- Est-ce que tu viens de me frapper la main ?
- Oui, maintenant tu peux arrêter. Après ça je suis retournée à ma position initiale vers la fenêtre. Je sais que je suis un peu grincheuse avec lui mais je n'ai pas pû m'en empêcher. J'étais nerveuse à l'idée de rencontrer sa famille. Est-ce qu'ils n'aimeraient ? Parfois, les premières impressions des gens sur ma personne n'est pas si bonne que ça. J'étais vraiment agitée dans mon siège entrain de jouer avec mes mains et en me mordant les lèvres.
- Vas-tu faire ça pendant toute la durée du trajet ? Ryan m'a demandé avant de me regarder du coin de son oeil. J'ai immédiatement arrêté de jouer avec mes doigts.
- Non, mais dès que je l'ai dit, ma jambe a commencé à rebondir de haut en bas. Désolée, je suis juste nerveuse, j'ai admise, après avoir eu droit à un autre de ces regards sur ma jambe. Il n'a rien dit.
- Tu sais tu peux simplement pour une fois laisser tomber tes actes froids et essayer d'être gentil, ce n'est pas si difficile. J'ai dis
- Mon Dieu, j'aurai dû choisir quelqu'un d'autre. Je l'ai entendu marmonner sous son souffle.
- Qu'est-ce que tu viens de dire ? Tu aurais dû choisir quelqu'un d'autre ? Oooh Oui Ryan tu aurais dû choisir quelqu'un de plus bête, parce qu'elle n'aurait pas pû mené un tel combat avec toi. J'ai crié sur lui.
- Tu es tellement ennuyeuse ! Ne peux-tu pas simplement de te taire pour une fois au lieu de pleurnicher et de te plaindre tout le temps ? Il m'a crier aussi dessus, je me mords la langue pour ne pas dire quelque chose que je pourrais regretter plus tard. Je me suis retournée vers la fenêtre sans un mot.
Pendant l'heure suivante, nous étions tous les deux tranquille, chacun dans son coins ignorant son prochain. La radio à continuer à jouer en arrière plan mais elle n'a rien fait pour atténuer la tension entourant l'intérieur de la voiture. À l'intérieur de moi j'étais vraiment en colère contre Ryan, mais la colère s'est vite estompé lorsque la nervosité à pris le dessus dans mon corps, au fur et à mesure que nous nous rapprochons de la maison des parents de Ryan. Le tableau de bord affichant midi, montre que nous avons roulé heure minutes environ. Je n'ai jamais rencontré les parents de personnes auparavant et j'étais inquiète, vraiment inquiète. La voiture a commencé à ralentir et Ryan à quitter la route pour aller sur une route en terre. Oh mon Dieu, je vais vomir.
- Tout vas bien se passer, la voix de Ryan a dit soudainement. Il a mis une de ses mains sur mes cuisses et je l'ai regardé l'ère un peu choqué, ses yeux me fixait presque gentiment. J'ai hoché la tête doucement.
- Vraiment Hope tout va bien se passer, soit juste simple et soit toi-même. Oui il a raison, ma personnalité gagnante va m'aider, par le passé ça à déjà marché. Sa main à resserrer doucement ma cuisse et je lui ai fait un petit sourire. La voiture s'est arrêté quelques minutes plus tard devant une immense maison. Je l'ai regardé par la fenêtre et je me sentais déjà intimidé.
J'étais occupé à regarder cette magnifique maison en brique, que je n'ai même pas entendu, ni remarqué que Ryan sortait de la voiture, jusqu'à l'ouverture de ma portière. En rougissant, j'ai enlevé ma ceinture de sécurité et je suis sortie. Ryan m'a tendu sa main et je l'ai prise avec plaisir. J'étais encore en colère contre lui, mais j'avais besoin de son soutien. Ma main tremblait à l'intérieur de sa main chaude, alors qu'il me tirait doucement vers l'avant. C'était bizarre la façon dont on se tenait la main aussi naturellement et à la façon dont ma main s'intégre parfaitement dans la sienne. 
On se rapprochait plus de la porte d'entrée, j'ai remarqué la taille gigantesque de la maison. La cour avant était vraiment grande avec deux arbres ombrageant la pelouse. De là, j'ai pû voir un chemin de galets qui mène probablement à la cour arrière. La maison était facilement situé et était sur un terrain de 2 à 3 âcres. Elle ressemblait de plus en plus à un ranch à mes yeux. Mon pied était sur le point d'atterrir à la première marche menant à la porte d'entrée, lorsque la porte rouge cerise s'est ouverte.
- Ryan mon bébé, une voix féminine à crié devant nous. Ryan à laisser tomber ma main pour attraper les femmes qui ont sauté sur lui. J'ai vue un sourire s'étendre sur le visage de Ryan alors qu'il enroulait ses bras autour de la taille de la femme, qui doit être je suppose sa mère. Alors qu'elle s'éloignait de lui, j'ai pris ce temps plus la regarder attentivement. Elle avait des cheveux bruns foncé qui lui arrivait à l'épaule, je ne pouvais pas dire de quelle couleur était ses yeux mais je parie qu'il était de la même couleur que ceux de Ryan. Elle avait l'air d'être au début de la cinquantaine, son visage n'était pas entaché par la chirurgie plastique, à la place on voyait de légères traces de rides. De part ces yeux et sa bouche on voyait qu'elle souriait beaucoup. Elle était un peu plus grande que moi, et elle portait une jolie robe d'été qui montrait ses bras bronzés, Après avoir fini de serrer Ryan dans ses bras, elle s'est tournée vers moi et j'avais raison elle avait des yeux bruns comme ceux de Ryan mais un plus doux.
- Vous devez être Hope, moi c'est Julie, elle m'a souri avant de m'engloutir dans un gros câlin. J'ai été surprise de me tenir raide dans ses bras mais je me suis retrouvée à me détendre instantanément et à resserrer son étreinte.
- Je ne suis pas une jolie petite chose, elle a dit en s'éloignant de moi tout en gardant sa main sur mes épaules, J'ai rougi de son commentaire en regardant vers le bas pour que mes cheveux puissent descendre me couvrir le visage.
- C'est vraiment ce que pense entendre ? Une voix profonde à traverser la porte. Julie s'est déplacée sur le côté en balançant un bras autour de mon épaule. Un grand homme plus âgé a franchi la porte avec un grand sourire. Il avait vraiment une grande taille, les noirs avec un peu de gris dedans et un visage comme celui de Ryan. Ryan avait les mêmes pommettes et la même mâchoire que son père, fixant le père de Ryan dans ses bras je ne peux m'empêcher de penser qu'il était vraiment très beau pour un homme de la cinquantaine. Après avoir serré Ryan dans ses bras, il s'est avancé vers moi et j'ai été surpris de voir une paire d'yeux gris qui me fixait. Son visage était saupoudrés de rides, de rire et probablement de quelques rides de stress qui venait probablement de la direction d'une entreprise. Il m'a souri, un sourire vraiment très aimable, avant de s'arrêter juste devant moi, et de me dire
- Vous devez être la fille qui a attaché mon fils. J'ai hoché la tête de peur de ne pas avoir la confiance qu'il faut dans ma voix pour répondre en ce moment. Il m'a soudainement attiré vers lui pour un câlin écrasant mes os. Je suis resté immobile dans ses bras, la 3ème fois que quelqu'un m'a serré dans ces bras depuis des années. Pour des personnes que je connais pas, c'est bien d'être dans leur bras. J'aurai aimé choisir avoir des parents rayonnant d'amour comme eux si on avait le droit de choisir vraiment. Être étreint par une figure parentale était différent des autres câlins, vous vous sentez au chaud, en sécurité et protéger de tout.
- Je suis Adam, alors qu'il s'éloignait enfin de moi.
- Vous êtes vraiment jolie, que faites vous avec un garçon comme mon fils ? Il a plaisanté en me renvoyant un sourire léger. J'ai regardé juste à temps Ryan, pour le voir rouler les yeux sur son père tout en souriant. C'était bizarre de voir Ryan détendu et avec le sourire, chaque fois qu'il était prêt de moi à la maison ou ailleurs il était froid avec un visage de pierre.
- Lilly n'est pas encore là, mais nous allons préparer la table pour le déjeuner. Julie a suggéré et son mari à hoché la tête, il ce sont pris la main et ont marché devant moi pour rentrer dans la maison. J'ai suivi tout le monde dans la maison et arrivée à l'intérieur j'ai essayé de ne pas m'évanouir et de ne pas baver à cause de l'odeur incroyable qui se dégageait de la maison. L'intérieur de la maison était merveilleuse décoré avec des photos sur les murs, la plupart d'entre elles sont celles de la famille. Ce qui ressemblait à des fausses fleurs ont été placées dans le couloir et probablement dans toutes la maison.
Après, nous sommes allés sous l'arcade et nous sommes entrés dans une jolie cuisine. Il était un peu plus grand que celui de Ryan avec du bois brun clair avec un peu de sombres mélangé aux armoires, des comptoirs avec des plans de travail plat. Il y avait une porte battante sur le côté gauche de la cuisine, un peu plus bas j'ai remarqué la salle à manger. Les casseroles, les plats et les poêles jonchaient le comptoir. Ce qui rendait l'odeur délicieuses encore plus forte.
- Les garçons pouvez-vous prendre ces assiettes et les amener à la salle à manger ? Julie a demandé à Ryan et à son père, les deux hochaient la tête et chacun en attrapant une assiette contenant quelques choses que je n'ai pas eu l'occasion de voir. En tournant j'ai vue Julie qui avait du mal à prendre assez de verres de vin et j'ai couru vers elle.
- Laisser moi les prendre, j'ai dis en prenant la plupart des verres de ses mains, en les plaçant stratégiquement dans mes mains et sur mes bras pour qu'ils ne tombent pas.