Lorenzo
Que ce passe t il ? Ou est Rowana ?
L elfe crie et gesticule, mon père montre des signes de colère, moi j ai envie d arracher le cœur de ce mangeur d herbe.
Mon père ressentant ma rage.- Lorenzo, tu devrais sortir et me laisser discuter avec mon invité.
C est la seule chose à faire si je ne sors pas,il y aura un drame.
Tout ça c est la faute d Alexiano, c est à cause de lui que Rowana se retrouve chez les sorciers. Je dois assouvire ma vengeance.En en claquement de doigts je me retrouve au château de Laaz, je n ai jamais couru aussi vite.
Alexiano est en compagnie d une femme brune ses cheveux me rappelle ce que je viens de perdre, il a juste le temps de se redresser que je lui arrache le cœur hors de la poitrine, laissant son cadavre gisant contre la femme inanimé.Ma soif de rage n à pas pris fin, Julia et Livia en font également les frais.
Laaz m appartient dorénavant, ses maîtres ne sont plus de se monde.
Je descend dans les sous-sol ou vivent les esclaves,
- Sortez, partez tous, vite, je ne veux plus voir aucun de vous dans cette demeure.
Une voix se fit entendre derrière moi.
- Sire,
C est Lydia qui parle.
- Sire , j'ai quelques chose pour vous.
D'abord avec l envie de la mordre, je m approche d elle, c est elle qui a sauvé Rowana, je ne peux que la laisser en vie.
- Que pourrais-tu avoir qui m interresse ?
- Ceci dit elle en tendant une énorme emeraude.
- Qe veux tu que j en fasse ?
- Ça appartenait à la mère de Rowana, cette pierre vous indiquera le chemin à suivre, elle vous indiquera également si vous vous rapproché d elle.
Je prend la pierre qu elle me tend, à son contact je ressent une brûlure qui me fait sursauter, la pierre a rougis et au centre, ce dessine le royaume de Mortifica, ainsi que plusieurs endroits où il y a des failles aux frontières du royaume, ce qui pourrais m amener à Rowana.
Je pourrais enfin la reprendre et la conduire à Memoria ,enfin un espoir.- Merci Lydia, tu peux t en aller tranquille, Alexiano n est plus le maître de ces lieux.
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SANGUINI
FantasyNous connaissons tous les contes de fée. ce ne sont que des histoires, nous nous vivons un enfer