SEX ADDICT I

10- Comment s'excuser?

Lundi, tout se déroule normalement, on ramasse les fiches d'inscriptions avec Zack (on part la semaine prochaine), je passe la journée avec Léna (elle avait l'air super bizarre d'ailleurs), puis je rentre chez moi. Je suis pas seule, Zack m'accompagne. Je sais pourquoi il m'accompagne, je suis pas débile, mais bon. Donc on marche en silence et là il me dit un truc auquel je m'attendais pas du tout:

- Layne, je dois te parler d'un truc..

- Oui?

- J'ai couché avec Léna.

Outch. J'étais pas prête à ça. Sérieux. Je sais pas pourquoi mais là ça fait mal. Elle m'a fait ça? En même temps c'est ce qu'on appelle le revers de médaille.

- Ah.

- Je...je suis désolé je sais pas pourquoi j'ai fait ça... elle s'est pointée chez moi hier quasi nue, elle s'est jetée sur moi... je sais que ça fait pas plaisir à entendre mais je préfère te le dire. Je veux pas qu'on arrête de se fréquenter.

- Ok mais je vais d'abord me taper Adam et deux de tes meilleurs amis et après on verra.

Là il prend son air contrit, tout "désolé".

- Non, Layne. Je regrette et c'est la première fois que ça m'arrive.. qu'est-ce que je peux faire pour calmer ta colère?

On est déjà devant la porte de chez moi. J'ouvre la porte et je lui dis de me suivre. Il hausse les sourcils, surpris et me suis jusque dans ma chambre sans comprendre. Je ferme la porte et je lui dis:

- Prépare-toi parce que tu vas prendre cher.

Je le pousse fort et il s'écroule sur mon lit, déstabilisé. Il a pas l'habitude de pas avoir le contrôle. Tant mieux. Je lui arrache presque son tee-shirt, lui retire le reste de ses habits vitesse grand V et lui fait mettre les mains vers les barreaux de mon lit. Je prends deux paires de menottes et l'y attache. Il me regarde avec un mélange de surprise et d'excitation. Ses muscles sont tous tendus. Je descends chercher un éclair au chocolat et le pose sur mon bureau. Il y comprend rien. Je vais bien m'amuser moi, je sens. Je me déshabille lentement, assise sur son bassin, enlève mon tee-shirt, ma jupe, mon soutif et reste en string. Je le sens qui commence déjà à bander. Je l'embrasse puis je me mets à lui mordre les tétons. Je vois ses mains qui s'agitent inutilement. Et oui, aujourd'hui t'es puni, tu toucheras ni à mes seins ni à ma chatte, ni à mon cul. Je descends lentement vers son bas-ventre et lui caresse la queue, lui dépose des baisers dessus et la lèche un peu. Il commence à soupirer. J'attrape la pâtisserie sur mon bureau et lui la fout dans la bouche pour qu'il ne puisse pas faire de bruit. Je le branle un tout petit peu, caresse ses couilles et me remets au-dessus de lui, sans m'asseoir pour autant. Son corps se contorsionne d'envie, mais je ne compte pas le libérer maintenant, je commence à peine à m'amuser. Je baisse mon string, placée de manière à ce qu'il ne rate rien de mes faits et gestes et commence à me masturber. Mes doigts glissent de mieux en mieux pendant que je me fais du bien, je ne me gêne pas non plus pour me toucher les seins et me doigte avec de plus en plus de doigts. Il devient de plus en plus remuant. Il finit d'avaler son gâteau et me supplie de le détacher, qu'il avait compris la leçon. Je me penche, mes seins se posent contre ses pectoraux bien dessinés et je lui murmure:

- Je n'ai pas encore finis. Pas du tout finis.

Il halète, complètement aux abois. Cette fois-ci, je le fais taire avec mon string. Je lui fais ensuite relever les jambes et lui enfonce le gode qui m'étais destiné. Tu l'as dans le cul pour le coup, hein mon beau. Il a l'air d'avoir un peu mal alors je lui fais une espagnole, en appliquant du mieux possible. Puis, je remonte doucement le long de son corps en me collant au sien, passe ma langue le long de son ventre, remonte jusqu'à son cou et lui fais un suçon. Il gémit, et bouge son bassin en essayant de me la mettre. Au moment où je sens son gland commencer à entrer en moi, je change de positon. Je le vois qui n'en peux plus, les veines de son sexe ressortent, il recrache même mon string pour me supplier:

- S'il te plaît, Layne, je t'en supplie. Je ferai ce que tu veux, mais s'il te plait si tu ne me permets pas de te prendre alors toi baise-moi, j'ai trop envie de toi!

Ses supplications m'excitent. Je n'ai plus envie de m'amuser, à présent je veux le sentir dans mon vagin. Je me mets au-dessus de lui et le laisse me pénétrer en jouant des hanches. Ses gémissements de soulagements me font inonder son membre, et son rythme rapide secoue ma poitrine. C'est tellement bon, je peux pas m'empêcher de remuer et cadence pour l'enfoncer plus profond. Mais je vais l'embêter une dernière fois; sans prévenir, sachant qu'il allait se lâcher, je me retire et viens poser mon sexe sur sa bouche. Bien que frustré, il s'exécute et lustre mon clitoris, insinue sa langue en moi et me l'embrasse plusieurs fois. J'appuie sa tête et crie de plaisir au moment du dernier spasme. Il finit ensuite de me prendre et se vide en moi, des gouttes de sueurs courant sur son corps sexy. Je lui mets une petite claque avant de l'embrasser.

- Si tu recommences, je t'attacherais et ça sera beaucoup moins agréable pour toi.

Il sourit.

- Finalement, je crois que j'aime quand tu fais la maîtresse.

Je le détache, le regarde se lever, lui enlève le gode et lui mets une fessée. Il se rhabille lentement, me regarde et me prend dans ses bras. Il m'embrasse et va se servir un verre en bas. Il a de la chance, j'ai pas sortit mon fouet. J'aurais pu pourtant, mais apparemment faut pas aller trop vite avec Monsieur. Quand je descends, toujours à poil, il me regarde différemment. D'un très....respectueux.

- Aller, rentre chez toi, ma mère va arriver!

Il se lève, inspire ouvre la bouche puis la referme et repart. Je me demande ce qu'il allait me dire..