13- 8 étages, 7ème ciel

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Le lendemain, on se promène par groupes de huit dans toute la ville de Sète, on visite les lieux phares, artistiques et on mange au port, bref on passe une super journée. Zack est bizarre aujourd'hui, il me regarde toujours du coin de l'oeil, comme si il me surveillait et se montre un peu protecteur. C'est nouveau pour moi, cette sensation de vraiment compter aux yeux de quelqu'un. Je me sens bien. La prof qui nous est une prof de philo, blonde aux cheveux longs, petite poitrine, très mince, bien maquillée: pile le style de fille/femme qui m'énerve. Elle doit bien avoir la trentaine et ça ne l'empêche pas de draguer ses élèves; une cougar quoi. Elle joue à un espèce de petit jeu avec Zack qui a le don de m'exaspérer, je me retiens d'aller lui "dire" ma façon de penser à cette salope... mais restons calme.

-Layne, Layne! m'appelle discrètement Maël.

- Oui?

- On en parle que la prof roule du cul devant Zack ou pas?

- Ta gueule, t'es juste jaloux. C'est un bon élève alors elle l'aime bien c'est tout.

- Mouais...

Et vas-y qu'elle l'interpelle toutes les cinq minutes, eh oh on se calme ma vieille, ton petit manège commence à sérieusement me gonfler. Zack revient vers moi et s'accroche à ma taille, allez regardez-bien madame la bimbo, et imprimez biiiiien dans votre crâne ce petit message subliminal. On continue donc de se balader et le soir, après avoir mangé Zack s'enfuit littéralement, me laissant donc avec Maël et Léna (qui se dévorent déjà des yeux) pour aller je ne sais où. Sérieux? Je regarde mon portable:

"Z: Rdv sur le toit. L'accès est ouvert, j'arrive"

Qu'est-ce que c'est que ce plan? .... Et si il avait une idée pas très orthodoxe derrière la tête.. Je me rends dans ma chambre, me prépare et vais sur le toit. Le soleil est couché mais le ciel reste lumineux. Je me mets contre le rebord en béton et écoute la mer paisible bruisser indéfiniment. J'entends les gonds de la porte faire un bruit horrible et me retourne pour le voir arriver. Un vent très léger se lève et ma nuisette blanche s'envole, transparente. Elle découvre mon ventre, mes épaules, toutes mes cuisses et une grande partie de mes seins. Mes cheveux mi-bouclés mi-ondulés dansent autour de mon visage. N'ayant pas de sous-vêtements, je me sens nue, mais imposante la fois. Il s'approche et enlève son tee-shirt, et s'arrête tout près de moi. Il me regarde d'un air étonné, impressionné. Je me penche, effleure ses lèvres sans les toucher, pose mes mains sur son torse et m'assois, en équilibre au bord du vide. Puis il m'embrasse, et tout mon corps s'embrase. Ses bras me serrent contre lui, sa bouche embrasse la mienne, puis mes joues, ma gorge, le haut de mes seins. Je réplique en lui mordant le haut de l'oreille et j'entends ma nuisette se déchirer. Ma poitrine s'en échappe et frissonne à l'air libre. Je sens contre moi son organe gonfler, se durcir à la vue de mes extrémités dures. Son jogging tombe, son boxer tombe et nos sexes se rencontrent. Il se presse contre moi et me soulève pour aller m'allonger au centre du toit, sur un espèce de plancher un peu surélevé. Je me redresse et le plaque par terre, pose ma chatte sur son corps et mets un de mes seins dans sa bouche. Je le sens en gober le bout, aspirer mon téton et je sucer avec la langue. Mes cheveux volent vers le ciel au moment où je pousse mon premier vrai gémissement. Ses mains s'accrochent fort à mes fesses, il se met à lécher ma poitrine et m'enfonce deux doigts dans le cul. Je me mords les lèvres. Une de ses mains descends entre mes jambes et frotte mon clitoris assez rapidement, déclenchant un ruissellement de cyprine entre mes cuisses. J'inonde son bassin de mon liquide et le vois se relever pour m'embrasser.

- Je t'aime Layne.

- Je t'aime Zack.

J'empoigne alors ses cheveux et le force à se déplacer pour coller directement sa bouche sur ma vulve humide. Sa langue caresse l'extérieur de mon sexe, se glisse entre les lèvres, s'insinue dans mon trou déjà dilaté et lèche mon clito, me faisant de me tordre de bonheur. Je gémis, je crie presque, sens que je vais jouir et le sens s'arrêter soudainement. L'ordure. Il se lève, les veines de sa bite saillantes et me dit:

- Suce-moi, et je te jure que tu cracheras toute la mouille que ton corps peut produire.

Je m'agenouille, me pince les seins en le regardant droit dans les yeux à travers sa chevelure volante. Il durcit encore, attrape sa queue et la met toute entière dans ma bouche. Les vas et viens sont rapides, ma langue se presse contre son gland, enduit tout son membre de bave et continue de faire couler mon liquide le long de mes cuisses. Je lèche ses testicules, les gobe et le masse, mes mains vont caresser le bas de son ventre pendant qu'il me tire les cheveux et qu'il me l'enfonce toujours plus fort. Au moment où je sens son gland gonfler, je recule. Il sourit, il sait qu'il l'a mérité. Je me mets au sol, la poitrine effleurant le ras des lattes de bois, les cuisses écartées, le fesses cambrées au maximum et le vagin dilaté. Il s'agenouille, passe trois doigts, puis quatre, et me doigte, son membre tendu appuyé contre ma cuisse me mettant au supplice.

- ..Zack...oh s'il te plaît mon amour...fais moi du bien.....je veux que tu sois en moi...

- J'arrive chérie, j'arrive.

Sa main se pose sur mon dos et me force à me cambrer encore plus puis entre en moi très lentement. Je gémis de plaisir et le sens s'enfoncer, glisser et frotter mon point g, encore et encore. Mes jambes tremblent de plaisir, je pointe à m'en faire mal. Il se retire et je viens me mettre sur ses genoux, dos à lui. Ses mains s'accrochent a mes seins et ses coups de reins s'intensifient, faisant toujours monter la pression chez moi. Une de ses mains enserre mon cou, tandis que la deuxième se met à me branler. Sa langue caresse mon cou, ses dents me mordent, aspirent ma peau et y laissent leur marque. A nouveau, une vague de plaisir monte en moi, je crie sous la pression qui monte entre mes jambes. Les spasmes se succèdent les uns après les autres et je jouis sur ses genoux, inondant ses cuisses. Je m'allonge, le laisse s'installer au-dessus de moi et éjaculer sur mes seins et mes joues. Le vent est tombé.

Il me porte ensuite nue jusqu'à la salle de bain de sa chambre, (vide, Maël et Léna faisant l'amour à côté), et me nettoie tendrement lui-même avec un gant sous l'eau chaude. Il s'accroupit alors et commence à me faire un cunni. Je presse sa tête contre ma chatte et remue un peu sur sa bouche, profitant de ce petit cadeau. Et soudain, "Toc toc toc". La porte de la chambre.

Quelqu'un frappe. Et si c'était la surveillante?

Eh merde.

SEX ADDICT IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant