Les parents ont donner la permission à leur fils de faire une petite fête chez eux et Gavin est même aller leur sortir de l'alcool. La seul consignes est, personne dans la maison, sauf pour utiliser les toilettes. Ils ont donc monter la tente familial (4 places) dans le jardins et ont passer la nuit assis au bord de la rue à boire, parler et danser au milieu de la rue sur de la musique qui sortait d'un petit haut parleur. Vers deux heures du matin ils ce dirigent vers la tente pour ce coucher dedans.
Ils sont plus que serrer à cinq de large et un tout au long à leur pied. Ils s'amusent et parle encore un moment avant que tout le monde approuve de se taire et ce coucher. Encore au printemps, il fait un peu froid le soir et Taz commence à geler, car sa copine prend toute la couverture.
"Charlie, j'ai froid."
"Ah."
Il attend dix secondes, mais voyant qu'elle ne réagit pas il s'emporte.
"Bah donne moi de la couverte!"
Elle part à rire et il doit tirer sur le tissu pour en avoir, car sa blonde est trop occuper de rire.
"Vos gueules vous deux." Dit Emmanuel juste à leur côté qui entend le rire de la fille direct dans son oreille.
"Je suis désolé mon amour, j'avais pas compris c'était moi qui l'avait tous!" Tente de plaidoyer Charlie en se retournant pour ce coller à Taz.
"Gang, je crois qu'il y a quelque chose dehors, j'entend un bruit!" Avertit François en ce collant à Emmanuel.
"Si tu tente des rapprochements François, il y en auras pas, je suis pas gay." L'avertit Emmanuel en repoussant son ami qui avait enrouler ses bras sur ses hanches.
"Pas ma faute si on est tous serrer. Personne avait une tente plus grande que ça?"
"Sûrement, mais à la base on devait être quatre à rester dormir." Avertit Taz.
"Qui?" Demanda Charlie en se lovant contre lui.
"Bah déjà Joe nous abandonne habituellement au milieu des soirée, car "il doit se lever tôt pour travailler à la ferme" pis jamais j'aurais cru que Léa serait d'accord pour dormir avec nous tous coller."
"Hey! J'ai dit a mes parents que je travaillerais pas demain!" Se défendit le jeune fermier.
"Je dois avouer que j'envisage de vous abandonnez depuis un moment." Les informe Léa.
Une créature vient donner un coup dans la tente et les adolescent crie en se figeant.
"Oh! Mais c'est ton chat Taz!" S'exclame Léa qui se redresse pour ouvrir la tente.
"Fait pas entrer le chat ici!" Se plaint Emmanuel trop tard, car Coco entre déjà dans son nouveau territoire pour piétiner tout le monde.
"C'est un mâle ou une femelle déjà." Demande Charlie en flattant le chat.
"Un mâle, j'ai ses couilles dans face!" Se plein Em en tassant le derrière du chat ce qui fait rire tout le monde sauf Joe qui se lève.
"Bon bah je vais aller dormir sur le divan moi, vous êtes dérangeant."
"Mes parents ont dit personne dans maison!" Paniqua Taz espérant que ça l'arrête Joe qui l'ignore et quitte la tente.
"Léa sort le chat!" S'énerva François qui aida la fille à prendre la bête.
"Aucun respect pour les animaux. Moi je voulais dormir avec. Taz je l'amène dans ta chambre je vais dormir là."
"Mais c'est quoi vous comprenez pas dans personne dans maison! Je vais me faire gronder!"
Mais tout comme Joe, elle quitte la tente, le chat dans les mains en l'ignorant. Les quatres qui sont rester dans tente se replace, maintenant qu'ils ont plus d'espace pour dormir.
"Il a vraiment des grosses couilles ton chat." Avertit Emmanuel.
"Il est pas castrer, ils doivent avoir une taille normal." Tenta d'expliquer Taz.
"Donc on va parler des couilles de ton chat toute la nuit où dormir." Se plaignit la seul fille restante de la tente.
"On dort! François décolle!" Ce plaint Em de nouveau.
"Mais j'ai froid!"
"Est-ce une raison pour mettre tes mains sous mon chandail?" S'énerve Emmanuel, ce qui fit rire les trois autres dans la tente.
"On bouge. François vient derrière moi, ça me dérange pas que tu me colle." Dit Taz un sourire aux lèvres.
"Moi ça me dérange que quelqu'un d'autre te colle." Lui dit Charlie en le frappant faisant rire son copain.
"Ça va finir en orgie." Ajouta Taz qui trouve ça de plus en plus drôle.
"Trop de gars hétéro et pas assez de fille." Informa Emmanuel qui frappa une dernière fois leur ami gay qui avait déposer sa main sur sa cuisse. "Toi avec trop d'alcool, tu essai de te get n'importe qui."
Mais François est juste tellement hilare qu'il ne répond pas et Charlie se redresse dans la tente.
"Là, vos gueule! On dort!"
Puis elle se recouche et les trois garçons redevienne sage pour s'endormir. Au matin, ils se dirigent vers la maison pour emprunter les toilettes un après l'autre, mais en entrant il trouve Joe en train de cuisiner un déjeuner avec Colin et Léa assit sur le divan à côté de Gavin et flattant le chat pendant qu'ils ont une discussion. Aussitôt tous dans la maison, Gavin se tourne vers son fils en fronçant les sourcils.
"J'avais dit personne dort dans la maison, encore moins le chat."
"Je doute que Joe ou Léa ont été dérangeant."
"Non, mais c'est le principe d'obéir au consigne."
Taz hausse les épaules avant d'aller s'asseoir à la table pour constater que le déjeuner ce compose uniquement de patate.
"Euh..."
"Tu pensais quand même pas qu'on allait nourrir toute ta petite bande en plus." L'avertit Gavin avant de s'éloigner. "Des patates ça coûte rien, vous pouvez en manger autant que vous voulez."
Résultat, les 6 amis mange des patate au four, des patate rôties et des patates à déjeuner que Joe leur à cuisiner avec l'assistance de Colin.
Parfois quand je suis avec Charlie je fais juste dire: Charlie j'ai froid et elle me répond un Ah avant qu'on parte à rire tout les deux sur ce souvenir 😂
Ça et je vous ai fait la version courte, car la discussion sur les couilles de mon chat était beaucoup plus longue que ça dans mes souvenirs 🤔
Pis le déjeuner au patate, je crois que je m'en suis jamais remis de voir à quels points mes parents omt fait Fuck off ont les nourrit pas avec des trucs santé cette gang d'ado en lendemain de brosse 😅
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Figurant dans un boyxboy (Rantbook)
RomanceJ'ai été élever par deux pères. Voilà notre histoire. Ce n'est pas ma vie à moi, figurant dans un boyxboy, que je vais raconter, mais l'histoire d'amour qui entoure mes deux pères. Car pourquoi écrire des fictions quand on en vie une vrai tout les j...