Pour Noël, la famille avait prit l'habitude d'aller aux États-Unis voir la famille du père de Gavin. Son père était né au Vermont, avait grandit au Vermont, avait déménager au Québec, c'était marier avec une québécoise et avait fonder une famille avec elle. Puis, lorsque leur couple ne fut plus autant amoureux, il avait divorcer et retourner vivre au Vermont pour ce rapprocher de sa famille qui lui manquait. Il avait fini par se remarier à une femme qui avait déjà des enfants donnant à Gavin et sa fille une famille plus large.
Si la soeur de Gavin avait fini par déménager au États-Unis pour rester proche de son père qui l'avait toujours gâté, Gavin, lui voyait son père pour Noël, Pâques et une semaine durant l'été. Il gardait malgrer tout un bon contact en l'appelant parfois pour parler de tout et de rien. Ce jour-là, traverser les frontières fut plus long qu'à l'accoutume et ils arrivèrent après tout les autres. Aussitôt arriver, Gavin abandonna sa famille pour aller saluer son père, sa belle-mère et ses beau-frères et soeurs. Colin s'occupa donc d'amener les valises dans la chambre qu'il allait partager avec les enfants.
Le fils lui ignora ses cousins pour retrouver sa mère dans le salon. Il alla donc s'asseoir à ses côtés souriant.
"Salut maman."
"Salut petit guerrier."
"J'ai été sage. Je vais pouvoir rester avec toi?"
Sa mère se tourna vers lui en levant un sourcil.
"Non."
Le petit lui fit de grands yeux triste.
"Mais maman, je veux rester avec toi. J'ai pas fait de bêtise avec dada. Je te le promet. Je vais pouvoir rester avec toi, maintenant?"
Elle sembla horrifié de la nouvelle et chercha un soutien autour d'elle.
"Petit guerrier, tu as de nouveau parent maintenant."
"Mais ses toi que je veux."
"Non! Écoute, j'ai pas le tour ok. Je l'ai jamais eu. Je te jure j'ai essayer, mais je suis incapable de vous aimer. J'ai adorer vous avoir dans mon ventre, mais dés que vous êtes né, j'avais plus l'impression que c'était pareil. J'avais juste envie d'être seul. Ne pas vous avoir. J'ai tenter de voir le plus beau en vous, mais j'ai pas réussi. C'est triste, mais je suis incapable de t'aimer toi et ta soeur, alors arrête de venir me voir. Arrête de me demander de te reprendre. Je ne le ferais pas, car je ne t'aime pas!"
L'enfant observa sa mère les larmes au yeux. Colin arriva à ce moment le sourire au lèvre.
"Salut! Je viens d'apprendre que ça fait 3 semaines que tu n'as rien consommer. Je te félicite. Un jour à la fois et nous sommes tous là pour te soutenir."
La femme leva les yeux au ciel et le petit partit à courir se cacher dans la chambre. Il alla s'asseoir dans un coin en boule. Colin vient le rejoindre paniquer.
"Petit guerrier, qu'est-ce qui se passe?"
Mais le petit garçon ne parlait pas. Sa maman ne l'aimait pas, pourtant il n'avait rien fait de mal. Colin voulut le prendre dans ses bras, mais fut repousser par un enfant marabou. Gavin arriva peu après. Sa soeur avait été le chercher pour l'avertir d'aller surveiller le petit consciente que ce qu'elle avait dit pouvait blesser l'enfant.
"Hey."
Il vient s'asseoir sur le lit en face de son petit-copain accoter au mur et aux côté du petit qui refusait de quitter sa position dans le coin.
"Écoute gamin, ta mère n'a pas voulut te faire pleurer. Tu refuse d'écouter et elle ses énerver. Elle n'a pas su filtrer ses mots et je comprend que ce soit blessant. Je crois que ses malheureusement un trait de famille. On ne connais pas vraiment le tact et moi même je ne réfléchit pas vraiment au côté blessant de mes paroles. Mais quand on parle, notre but n'est jamais là. Il n'est jamais de blesser. On veut juste dire notre point de façon claire et précis. Alors, non, je suis désolé, mais ta mère ne t'aime pas. Ça ne veut pas dire que tu est une personne mauvaise ou que c'est de ta faute, c'est juste qu'elle en est incapable. Ça l'arrive."
L'enfant ne réagissait toujours pas dans son coin. Colin vient ajouter quelques choses en espérant aider.
"Tu sais, ce n'est pas si pire que ce qui parait. Moi et Gavin on t'aime vraiment beaucoup et on est fier de toi. Alors, tu n'est pas seul et on ne te laissera jamais tomber. On va profiter du temps des fêtes et ensuite on va faire plein d'activité ensemble. On n'a pas besoin d'elle pour s'amuser."
"Oui, Colin n'a pas tord. Ma soeur ne sait pas ce qu'elle rate et c'est tant pis pour elle. En attendant, nous ont est là. On est une famille."
Le petit fini par relâcher ses jambes et s'asseoir normalement les yeux rougit. Il fixa le sol avant de se lever et d'aller serrer Colin dans ses bras. Puis contre tout attente, il alla rejoindre son autre père pour se faire prendre dans les bras aussi. Il venait de comprendre que ce n'était peut-être pas son oncle qui l'empêchait de voir sa mère. Il venait de comprendre que même s'il était strict et sévère, lui n'allait pas l'abandonner, lui.
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Figurant dans un boyxboy (Rantbook)
RomanceJ'ai été élever par deux pères. Voilà notre histoire. Ce n'est pas ma vie à moi, figurant dans un boyxboy, que je vais raconter, mais l'histoire d'amour qui entoure mes deux pères. Car pourquoi écrire des fictions quand on en vie une vrai tout les j...