Chapitre 2

208 26 33
                                    

Durant la pause du midi, Gavin avait rejoint ses deux amis à leur table habituel. L'un d'eux était son ami depuis la tendre enfance. Ils s'étaient connu en maternelle et ne c'était jamais quitter de vu. Le troisième c'était rejoins à eux au début du secondaire. Il avait le talent d'avoir un caractère plus exécrable que Gavin. C'était ce dernier qui monopolisait la conversation.

"On était seul. Ses parents étaient sortie pour aller chercher son petit frère, alors on c'est installer dans sa chambre pour s'embrasser. Tout ce que je peux vous dire c'est que ses seins sont pas mal ferme."

Son ami lui donna un coup sur l'épaule en riant.

"Chanceux, mais n'oublie pas qu'on c'était dit que le premier d'entre nous qui se faisait une copine, devait s'assurer dans trouver une au autre."

"Oui, je sais. J'ai prévu faire une fête et lui dire d'inviter ses amies. Vous trouverez votre bonheur."

Ils tournèrent leur regard vers le brun qui fixait son assiette. Ses amis échangèrent un regard mal à l'aise.

"Gavin, ça va."

"Très bien."

"Alors, pourquoi tu ne participe pas à la conversation?"

"Pourquoi je participerais, alors qu'elle est d'un ennuie total."

"Pardon?"

Gavin releva les yeux sur le garçon aussi colérique que lui avant de tourner son regard vers son ami d'enfance. Celui-ci tenta de calmer le jeu. Il connaissait ses amis assez pour savoir qu'ils avaient tout les deux des tempérament explosive.

"Cool, ton histoire avec ta blonde, mais je crois que ce Gavin a besoin c'est de tranquilité. Ça va toujours mal dans ta famille?"

Comme seule réponse, ils eurent un grognement de leur ami. Un silence s'immisça et Gavin enchaina.

"Ma soeur est enceinte."

"C'est confirmer? Tu avais juste des doutes la dernière fois."

"Confirmer."

Son ami d'enfance allait rajouter quelques chose, mais un dépliant fut déposer entre eux trois par une main remplis de barcelet. Des bracelets brésilien était mélanger parmis des bracelets a perle de bois et d'autre au effigie de Jésus et de la vierge Marie.

"Salut, salut. Désolé de vous interrompre, mais l'église organise une tombola pour collecter des fonds destiné au foyer des femmes battus."

Le trio se retourna vers le garçon qui venait d'apparaitre. Cheveux blond, yeux bleu caché derrière de lunette carré et chapelet au cou. Pour s'accompagner, un petit comité de trois filles qui avait l'horrible manie de glousser. Le catholique affirmé se passa la main remplit de parrure dans ses cheveux avant de poursuivre.

"C'est pour une bonne cause et il y a des prix à gagner. Il serait merveilleux de vous voir..."

"Pas intéresser."

C'était le garçon en couple qui avait parler, coupant la parole au blondinet.

"Euh... parfait. Je vous laisse malgrer tout le dépliant, si vous changez d'idée vous aurez les informations écrit dessus et..."

Aussitôt, le garçon au caractère excécrable aggrippa le bout de papier et lui déchira au visage. Le blond sembla apeuré par le geste, pendant qu'une des filles à ses côtés se choqua.

"Ça va pas le débile. Tu pourrais être plus poli. Si tu voulais pas venir, tu n'avais qu'a nous redonner le dépliant."

"Foutez le camp."

La fille s'offusqua puis aggrippa la main de son copain.

"Viens Colin chéri, on va trouver des gens plus sympathique."

Elle tira le garçon et le petit groupe se dirigea vers une autre table tendant des dépliant. L'ami d'enfance du brun donna une tappe à son ami, pendant que Gavin observait les bouts de papier déchiré sur la table.

"Quoi?"

"Tu aurais pu être plus sympa."

"Rien à foutre. C'est pas mon ami et ça ne le sera jamais."

"Vous me tappez tout les deux sur les nerfs."

Les deux garçons se retournèrent vers Gavin qui se levait.

"Tu t'en va?"

"J'ai mieux a faire que d'écouter vos jérémiade. On se voit plus tard."

Puis le brun partit. Gavin erra dans les couloirs un moment avant d'arriver devant le seul téléphone public de l'école. Il y inséra des pièces et composa le numéro de sa maison. La voix de sa mère remplaça celle de la sonnerie.

"Salut maman. Tu es allez voir ton psy?"

"Oh. Je... non."

"Maman! Ok, j'arrive. Je vais skipper l'après-midi et..."

"Non. Non. Non. Ça va."

"Maman, tu n'avais qu'une chose a faire."

"Je suis désolé."

"Je vais prendre la bus. Je devrais être là dans 45 minutes.".

"Gavin, s'il te plaît. Reste à l'école."

"Non, tu es ma priorité."

"J'irai à cette réunion de soutien. Mais reste à l'école, Ok?"

Gavin éloigna le téléphone de son oreille et frappa dans le mur à ses côtés. Il reprit le téléphone en main pour répondre.

"D'accord, mais tu ne te défile pas cette fois. Promet."

"Promis, mon grand guerrier."

Il raccrocha pour fixer le téléphone silencieusement. Il espèrait juste que sa mère tienne promesse. Elle avait besoin de soutien et lui en était d'aucun. Il était la personne la moins a l'aise au côté d'une autre en détresse. Il ne savait pas quoi dire. Il ne savait pas quoi faire. Il ne savait pas comment agir. Mais il voulait aider, alors s'il réussissait à la convaincre d'aller à ce groupe de soutient, il aurait un poids de moins sur les épaules.

C'était une petite mise en contexte.💁‍♂️ L'histoire d'amour de mes pères ne commence pas au secondaire, je voulais juste démontrer qu'il avait fréquenter le même établissement sans jamais s'adresser la parole et expliquer, par le fait même, les conditions autour de ma naissance. 🙃

La naissance de leur couple se verra à la naissance du prochain chapitre qui se passera 5 ans plus tard.

Commentaire de Gavin pour les 2 premier chapitre: C'est rare que je passe pour le gentil. 😏

Figurant dans un boyxboy (Rantbook)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant