Les choses semblaient s'arranger par eux-même. C'était l'impression que Gavin avait. Il avait finit le secondaire, avait été accepter en technique policière, sa mère avait rencontrer un homme durant le groupe de soutien et avait de nouveau retrouver goût à la vie au point qu'elle était déménager vivre en Gaspésie avec son amoureux. Gavin avait fait la paix avec son père et c'était trouver un appartement proche du cégep.
La seul chose qui ne changeait pas était sa soeur. Elle avait accouché d'un garçon, puis était tomber enceinte d'une fille quelques années plus tard. L'identité des pères semblait être quelques chose sans importance pour elle et elle c'était découvert une passion avec la drogue. Si Gavin avait eu l'impression de réussir sont rôle d'homme de famille avec sa mère, il l'avait complètement échappé avec sa soeur. Leur relation se dégradait a vu d'oeil et il évitait le plus possible les contacts avec elle.
Il était maintenant âgé de 20 ans, travaillait à temps partiel comme mécanicien dans un garage et complétait ses études pour être membre des forces de l'ordre et protéger ses citoyens. Ce soir-là, il avait été terminer un travail d'équipe chez un ami et revenait à pied en empruntant un sous-bois. Il avait une voiture et il était tard, mais il tenait à se garder en forme, voilà pourquoi il utilisait la marche à pied comme moyen de transport principal. De toute façon, son appartement était bien situé pour être proche de tout. En plein centre-ville, proche du cégep.
Le sous-bois qu'il utilisait suivait une rail de chemin de fer. Malgrer la noirceur, il lui était impossible de se perdre. Il arriva à un petit pont, éclairer par la lumière de la lune, qui traversait la rivière qui séparait la ville en deux. Il s'arrêta à l'orée de la forêt, après avoir aperçu une silhouette pencher sur le pont.
Il détestait les contacts humain. S'il pouvait éviter de parler au gens qui l'entourait, il le faisait volontier. S'il croisait quelqu'un sur le trottoir, il détournait la tête faisant mine de ne pas l'avoir vu. Intérieurement, il espérait que le garçon sur le pont ne le remarque pas et qu'il puisse tracer sa route.
Il se remit à marcher, tentant de se faire le moins possible repérer, mais plus il s'approchait de l'homme, plus il lui semblait que quelques choses n'allait pas. L'inconnu marmonnait des prières à ne plus finir, jouant avec un collier de perle dans ses mains. Son regard était vide et ses joues barbouillé de larme. Gavin le dépassa anxieux. Il connaissait ce regard. Sa mère l'avait eu pendant des années. Il se retourna vers le garçon pour l'observer en silence. Il le reconnaissait. Il avait été à la même école durant leur adolescence.
Même cheveux blond, même lunette carré, même panoplie de bracelet à son poignet et le collier de perle devait être son chapelet. Colin. Le catholique de service qu'il avait toujours trouver des plus exubérant. Pourtant, il n'y avait aucune exubérance dans sa personne à ce moment-ci. Juste un garçon qui semblait anéanti par la vie.
Il avait deux options. Continuer son chemin où aller voir ce qui n'allait pas. La première lui sembla bien. Il n'avait jamais été ami et réconforter les gens n'était pas son fort. Pourtant il avait un mauvais pressentiment. Servir et protéger. S'il voulait être policier, il ne pouvait ignorer les gens en détresse. Il s'avança vers le garçon.
"Hey!"
Le blond sursauta avant de se tourner vers lui. Il ne l'avait visiblement pas remarquer.
"Il est pas un peu tard pour trainer seul dans le noir?"
"Je pourrais vous retournez le commentaire, monsieur."
Gavin s'approcha de lui en fronçant les sourcils.
"Déjà, appelle moi pas monsieur. Ensuite, moi je vis par là-bas."
Il pointa la direction du doigt avant de reporter son regard vers le garçon. Il semblait plus pitoyable qu'il ne l'aurait cru. Le sourire débile qu'il affichait avec fierté au secondaire c'était envoler.
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Figurant dans un boyxboy (Rantbook)
RomanceJ'ai été élever par deux pères. Voilà notre histoire. Ce n'est pas ma vie à moi, figurant dans un boyxboy, que je vais raconter, mais l'histoire d'amour qui entoure mes deux pères. Car pourquoi écrire des fictions quand on en vie une vrai tout les j...