Partie 1 // Chapitre 8: Quand le cœur rencontre les sentiments

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POV Alice

Les gouttes des premières pluies d'automne me sortir de mon sommeil. Les filles de mon dortoir étaient toutes plongées dans leurs rêves. Ce jour, j'avais prévu de me rendre à Pré-au-Lard avec Lily et les Marauders. Mais il était encore bien trop tôt pour la réveiller, je décida d'enfiler une fine robe de chambre et descendre lire dans la salle commune.

Je m'installa sur le rebord de la fenêtre. J'apercevais les jardins du château à travers le fin brouillard. Les gouttelettes qui s'étaient accumulaient pendant la nuit, descendaient le long de la vitre. Au loin, j'apercevais le haut des montagnes. La nature me faisait par des ses secrets les plus protégés. Mes yeux prirent la direction de mon livre et mes pensées se perdirent dans ses pages.

J'entendis une personne dévaler les escaliers puis je sentie un lourd regard se poser sur moi. Ma tête se leva à contre cœur de mon récits. Il était là, à l'autre bout de la pièce, figé sur place ne savant pas quoi faire. Je lui avais adressée un sourire. Bien entendu il me le rendis avant d'avant dans ma direction.

«Salut, me dit-il gêné.

- Salut, ça fait longtemps que l'on sait pas parler. J'espérais que tu viennes ce après-midi.

- Je ne savais pas que tu venais.

- Grace sera des nôtres ?

- Elle aime pas sortir les jours de pluie et puis je ne voulais pas qu'elle nous accompagne.

- Pourquoi ?

- À part me garder pour elle seule et me forcer à marcher à côté de toi sans pouvoir de parler, cela me rendrais fou. Je suis désolé de mettre tant éloigné de toi. Je suis content de savoir que Remus et toi partagez maintenant une belle amitié.

- Remus m'a dit que tu lui demandais de mes nouvelles assez régulièrement.

- Saches que dans ce que je vais te dire il n'y a aucune ambiguïté mais tu me manques beaucoup. Chaque nuit avant de m'endormir je me demande si ta journée s'est bien passé. Si seulement je trouvais une solution pour te parler.

- Je t'aurais dit de supplier Grace mais je crois qu'elle ne fléchira jamais.

- Je ne comprends pas pourquoi elle veut absolument m'éloigner de toi.

- Peut-être que je suis une menace. Après tous nous avons passé un nuit ensemble alors que tu étais en couple avec elle.»

Soudain, on entendit une personne arrivé vers nous et au lieu de s'éloigner, il me prit la main et m'entraîna hors de la pièce jusque dans une salle de classe.

Pendant que je fermais délicatement la porte, il s'assit sur une table. Je le voyais me détailler de ses yeux brun. Et a ma grande surprise, nos regards des croisèrent, puis il s'exclamât en se levant :

« Tu es surprenante. Tu es adorable. Tu es magnifique. Tu es une étoile qui ne s'arrête jamais de briller. Tu es studieuse. Ton sourire malicieux est le plus cadeau qu'une personne puisse m'offrir. Tu es dans mes rêves les plus fous. »

Il me prit dans ses bras. On se fixa l'un l'autre. Je sentais son souffle toucher mon visage. Ses mains descendaient le long de mon dos, pendant que du bout de mes doigts, je touchais ses boucles noires. J'appuyais ma mains contre son torse pour l'éloignant de moi. Ses mains m'arrêtèrent dans mon élan de fugue.

« Pourquoi c'est si compliqué entre nous ?

- Je n'en sais rien.

- Pourquoi es-tu si attirantes ?

- Tu le crois, mais tu sais aussi bien que moi que c'est impossible.

- Tu as tord.

- Et comment ? Donnes moi une raison pour me le prouver.

- Tu te souviens de notre rencontre dans le train, je t'avais dis que je ferais tous pour te revoir. Même si tu avais été envoyée à Serpentard, j'aurais tous donné pour réentendre ta voix me parler. Mais heureusement pour moi tu es à Griffondor alors j'ai pue te revoir, te reparler. Alice j'ai eu le temps de t'apprécier. Il a juste fallu que je fasse le mauvais choix pour te perdre. »

Alors qu'il avait baissé la tête en parlant, de mes mains je la releva pour qu'il me fasse face.

« Tous le monde fait des erreurs et cela en est peut-être une.

- Je ne voulais pas te laisser tomber.

- Je suis désolé de te le dire mais c'est pas avec ça que tu arrivera à te débarrasser de moi

- Alors je te garderais jusqu'à ma fin. »

Il me prise par les hanches pour me coller contre son corps. Tant dis que je ressaierais ma prise en mettant mes bras autour de son cou. Puis il me chuchota dans l'oreille :

« Nous devrions aller nous préparer avant que je ne t'enferme dans cette pièce, seule avec moi.

- Je ne serais pas contre mais nos amis vont nous attendre. Et si je vais à Pré-au-Lard c'est pour une certaine personne.

- De devrais-je en être jaloux ?

- D'un Griffondor, au cheveux mis longs dont toutes les filles raffolent.

- Il dois sûrement être sublime et très sexy.

- Tu n'est qu'un idiot Black. »

Pour me faire taire il m'embrassa dans le cou avant de sortir de la pièce.


Kikou me revoilà. Je suis navré de mon chapitre remplit de fautes de frappes alors je l'ai réécris avec quelques modifications anodines.

A bientôt                                                                                                         ~Alice~

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