CHAPITRE 8

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NOAH ADAMS

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NOAH ADAMS

« Impardonnable ! » hurle le proviseur abattant son bros bouquin de note sur son magnifique bureau en bois. Après la tragique accident, pas si tragique que ça, dont j'ai osé être l'auteur et l'agresseur de l'histoire selon les dire et la logique de cette école, le proviseur ne perdit pas de temps et m'envoya passer le restant de mon repas dans son bureau. Étrangement, ce qu'il lui préoccupait n'était pas de savoir le pourquoi est-ce que j'ai envoyé une brique de lait sur la tête de l'alpha – du moins il ne lui était pas destiner – et encore moins le pourquoi un type dit marié battait sa femme en public en l'insultant de la pire des espèces. Tout ce qui lui préoccupait était l'alpha et rien d'autre.

« Expliquez-moi toute de suite la raison qui vous a poussé à commettre une telle folie ! » demande-t-il faisant les cent pas dans son bureau. A force de tourner en rond, il me donnait la migraine. Je m'abstienne cependant à lui en faire la remarque et m'efforce à lui donner une réponse correct et qui ne viendrait pas à entacher la réputation de ma famille et de mes parents.

« Le sens de la justice ? » demandé-je doucement, moi-même incertain.

« Un quoi ? » hurle-t-il d'avantage, rattrapant ses lunettes qui glissait le long de son nez pointu. « La justice ? Et sur quoi ? Tout ce que je vois est un couple de jeune gens mariés légalement se livrant une scène de ménage devant tout le monde et où est l'injustice dans tout ça ? »

« C'est parce que vous n'étiez pas là et donc n'avez pas vu la scène ! » murmuré-je, m'enfonçant encore plus sur ma chaise. Je savais que je devrais me taire et faire attention à mes prochains phrases.

Mais ça me fou la gerbe de constater qu'il y'a encore certaine personne qui trouve la violence domestique normal. Je comprends qu'en raison de la culture de cette ville et de la longévité éternelle de leur tradition, on conserve toujours les mentalités de l'homme qui travaille, rapportant le pain, et la femme qui enfante, donc la bonne à rien assis à la maison à faire les taches ménagères et à bien se comporter afin de ne pas entacher la réputation de leur mari et de leur famille. Seulement, je me répète encore une fois, je ne suis pas né ici. Ayant vécu parmi les gens moderne, un homme qui bat sa femme, dans mon ancien village, on lui amputer les testicules. Encore, j'exagère. Mais contrairement aux autres qui ont vécu depuis leur plus tendre enfance dans ses scènes au point de trouver ça de normal, je ne me tairais jamais et ne trouverait jamais ses choses normal.

« Quelle scène ? » me contredit le proviseur, décidément décider à faire comme si rien ne s'était passer dans la cafétaria. C'est bien le genre de personne corrompu que je ne peux être qu'insolent.

« Celle où la jeune fille se faisait battre par ce type-là qui dit être son mari ! C'est peut-être un couple marié mais toxique et qui produit de la violence domestique ! » insisté-je malheureusement aussi têtu qu'une mule. Ma famille ne cherche pas à m'éduquer pour rien.

BETWEEN LOVE AND TRADITION [ bxb ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant