Inspiré de fait réel
:Hooyo c'est l'heure , tu veux rester ici ?
-Moi: mmh (encore endormie)
:Hana ne m'oblige pas à te réveiller de force
Alala quelle douce façon de se faire réveiller ne trouvez vous pas ? Ma mère est très spéciale sous ses injures incessantes , je finis par me levé encore fatigué de la veille je m'étais endormis vers 3h du matin comme à mon habitude , aujourd'hui je quittais Obock pour la capitale. Mes parents n'ayant pas les moyens de m'envoyer à l'étranger j'étais heureuse de se minimum car ils me donnaient la chance que eux n'avaient pas eu et ça peut être très cliché mais je me suis juré de tout faire pour que plus vieux ils vieillissent dans l'abondance .
Bip bip
À peine ai- je eu le temps de mettre ma bouchée de pain en bouche que la voiture qui devaient m'emmener étais là . Je m'empressa de tout avalé ,me munis de mon voile et me précipita dehors , Mon père était entrain de charger ma valise avec celles des autres*
(*par autres je veux dire les voyageurs en destination de la capitale)
C'était une première fois pour moi de voyager seule sans mon père ou ma mère et j'appréhendais vraiment ce jour n'ayant jamais vraiment eu beaucoup de liberté je ne savais pas me débrouiller seule mais ma mère me rassura tant bien que mal je fis un très grand câlin à ma mère et mon père les larmes aux yeux puis je m'engouffra au fin fond du bus au milieu de ses hommes et ses femmes inconnues , je mis mes écouteurs et alluma le téléphone que mes parents m'avais offert ce n'étais pas le derniers modèles ou le plus cher mais j'étais heureuse de l'avoir consciente qu'ils ont dû beaucoup se privé pour que je puisse être comme les autres jeunes filles de la ville.
8 heure plus tard...
18 h 24 ,Djibouti
Je descendis du bus à moitié endormis et engourdis de partout réajusta mon voile qui étais tombé sur mes épaules j'étais entrain de rangé mon téléphone dans mon sac pour pouvoir descendre ma valise quand je sentis une pression sur mon épaule , je me retourna et tomba nez à nez avec mon cousin Houssein il me regarda de façon malsaine comme à son habitudes puis il s'arrêta sur ma poitrine le bouton du haut c'était ouvert laissant aux yeux de Houssein une magnifique vue sur la naissance de ma poitrine gêné je m'empressât de refermé le bouton.
Houssein: Tu as beaucoup changé en 3 ans (soulevant ma valise)
Moi:où est qamo?-faisant mine de n'avoir rien entendu
Houssein:Au travail -se dirigeant vers une grosse voiture
Comme une imbécile je resta planté au bord de la route à le regarder monté ma valise Houssein est le second fils de mon oncle Hakim, un oncle à ma mère.
Houssein :Princesse tu veux faire la route à pied ou tu compte monté ? -me lança t'il le plus froidement possible
Sans dire un mot je pris place à l'arrière contemplant la ville je ne prêta pas attention au regards que Houssein me lançais depuis le rétroviseur et m'endormis contre la vitre.
-to be continued
