PDV Éri
Je les regarde une dernière fois, cherchant un peu de courage ou de réconfort. Ma sœur passe une main dans mes cheveux et je la regarde. Elle a beau afficher le plus beau des sourires, elle souffre, elle souffre d'avoir échoué.
Je n'ai lâcher le vert, seulement parce qu'Chowu me suppliait, elle me l'a fait comprendre.
Une fois à l'abrit des regards, Overhaul nous tire de force, jusqu'au labo, et claque la porte, ce qui me fait frissonner.-Espèce de petite GARCE ! Il giffle ma sœur du plus fort possible, tu vas voir, Ho oui, vous, allez voir!
Chowu ne dit rien, mais se place devant moi, de façon à me protéger,ce qui n'échappe pas Chisaki. Il s'approche, l'air dangereux, et bouscule ma sœur, de façon à crée une chute. Elle atterri violemment au sol, non sans un gémissement de douleur, qu'elle tente de cacher du mieux qu'elle peut.
Il saisit mon bras, et le comprime, en m'emmenant sur la chaise. Non, non, non! Je jette un regard effrayé vers mon aînée, qui me semble pâlir. Elle se relève et cours vers nous, quitte à en tomber après. Elle attrappe ensuite la chemise du châtain et tente de le faire tomber à son tour.
Ça ne semble pas lui plaire à lui, il la refoule d'un coup de bras, et repart à son occupation. Il me fait m'asseoir et m'enchaine. Chowu, elle, est attaché à environ dix mètres de moi, de façon à la torturer de mes cris, et à la vue de mon sang.
Chisaki, part mettre des gants, et s'approche à nouveau de moi.
La souffrance commence...
Il commence par tendre la main dangereusement vers mon bras, armé d'un marquer. Il trace ensuite les limites, comme un boucher le ferait avec sa viande. Après ça, il le repose, et saisit à nouveau mon bras de ses mains gantés. Je sens une chaleur entouré mon faible membre droit, et, sachant ce que c'est, je ne préfère pas regarder. Mon regard se dirige vers Chowu, des gouttes de sueurs perlent sur sa tempe, ce qui en dit beaucoup sur son état. Je sens ensuite un pic me traversé le bras, par réflexe je regarde, et regrette immédiatement mon geste. Mon bras… il a enlevé une partie de mon bras… il récolte le sang, qui n'arrête pas de me quitté, et range sa seringue dans un sorte de petit réfrigérateur. Je plisse ensuite les yeux, et me mords légèrement la lèvre. Ça fait mal… j'entends ensuite des pas se rapprocher, que je devine être les siens. Cette fois ci la chaleur n'est pas situé à un seul et unique endroit, mais bien sur chacun de mes membres…...
-Ouvre les yeux, il soupire, c'est finit, idiote.
On me libère de cette chaise de l'enfer, tout comme on libère ma grande sœur de sa chaise à elle.
Elle était enchaîné elle aussi, mais ne subissait rien physiquement. Le but était de nous convaincre d'une quelle conque rébellion, en nous passant de victime, à spectateur. On échange donc nos places en se regardant brièvement.
Le même récit se met en place, il trace, découpe récupère le sang, et un de ces de suites. Chowu ne montre rien, elle fait tout pour. Contrairement à moi qui pleurait de douleur, elle, elle se montre impassible. Seul de légers tremblements la trahisse. La vue de tout se sangs qui s'écoulent m'est horribles. Le visage crispé de ma sœur l'est tout autant. Je cris, je cris et lui demande d'arrêter. Je suis prête à subir à sa place. Mais il ne veut rien entendre. J'essaie d'hausser le ton, mais ma voix s'éteint, aucun son ne sort. Une pensée me traverse l'esprit… Est-ce que maman savait, ce qui allait se passer, quand elle nous a emmener ? Peut-être l'a telle fait pour se venger. Se venger de la mort de son bien-aimée. Les larmes,-que je retenais jusqu'à présent-, dévalent le long de mes joues. Je ne peux rien faire, rien faire pour l'aider. Je veux partir d'ici. Loin. Ma vue se fait trouble, causer par les larmes, qui perlent encore et encore, sans s'arrêter. Elles sont chaudes. La vue m'est insupportable. Est-ce que… les autres enfants de six ans… vivent ça eux aussi?...
On nous libère, et cette fois ci, c'est notre cage qui nous attend, ainsi que cette solitude, malgré le fait qu'on soit deux. Chowu a plus souffer que moi, il avait choisi de durer plus longtemps cette souffrance. Il aime me voir pleurer, tout comme il aime voir ma sœur se forcer de se contenir.
Comme à leur habitude les gardes pousse ma sœur au sol, elle laisse échapper un léger grognement. Puis se relève, voyant que c'est à mon tour. Ils me jettent, avec la même force utilisé pour Chowu, mais contrairement à elle, je n'atterit pas au sol… mais sur quelque chose de chaud. Je regarde en dessous et vois ses prunelle doré, un sourire au lèvre. Je me relève immédiatement, ne souhaitant pas lui faire mal.PDV brocolie
Une heure. Une heure qu'on les a laissé, seul avec leur "père". J'ai évidemment fait part de mes doutes à Mirio.
- J'ai ce même pressentiment, mais on ne pouvait rien faire, nous n'étions pas sûr, et notre posture était mauvaise.
J'acquiesce.
- On a parlera à Sir Night Eyes, une fois rentré.
Il a beau me rassuré, je suis toujours inquiet. Mais d'un côté, je dois admettre qu'il a raison, se serait être inconscient d'avoir agis. On rentre donc faire part de notre rencontre avec les fillettes, au supérieur de mon coéquipier, qui nous a promis de faire des recherches.
PDV Chowu
Voilà maintenant cinq minutes qu'Éri me questionne sur le fait de l'abandon de notre mère. Deux ans auparavant, j'aurais refuser d'en parler, mais je n'ai aucune raison de le faire à présent.
-Maman… J'ai beau ne pas spécialement l'apprécier maintenant, quelque années avant que la concidirais comme telle. Je soupire. … Nous a abandonné après la mort de papa, tu t'en souviens ? Son regard s'assombrit se souvenant des circonstances de sa mort.
PDV Éri
Oui, je m'en souviens pour sûr. Il est mort par ma faute, je l'ai tué.
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11h40 ;25/05
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Petite sœur-[mha]
FanfictionEt si Éri avait une grande sœur, de deux ans de plus qu'elle ? !Je n'ai écris cette histoire que pour me sortir cette idée de la tête, elle n' est donc pas incroyable!