Fou De Toi (Rinzu)

le ministre.

J'étais en boule emmailloté dans mes draps et le corps de mon frangin à l'extérieur m'entourait et me réchauffais.

Ce qui c'était passé il y'a de cela  deux jours à présent continuais à me coupé l'appétit et l'envie de pointer le nez dehors. Ce bâtard avec sa langue qui jouait avec celle de cette pute me donnais jusqu'à présent l'envie de vomir.

Pendant les deux jours entier, j'avais fait une petite dépression dans mon lit pour quelqu'un qui n'en vallait certainement pas la peine et qui en plus n'en savait rien. Mon frangin était rester à mes côtés comme d'habitude, me calinant et me concoctant ses délicieux petits plats dont il avait lui seul le secret.

Je savais qu'il n'avait pas vraiment prit partir dans cette histoire. Ne comprenant pas trop puisque je n'avais rien développer pour lui. Il s'avait que j'avais de petits vues sur le défoncé mais n'imaginais sûrement pas que c'était déjà au stade de sentiment vraiment difficile à ignorer.

En prenant du recule je me rends comptes que j'en avais trop fais, ma réaction était plus qu'elle ne devrait...c'est vrai quoi, on ne sort pas ensemble, je suis juste l'un des hauts gradés du gang qu'il adore particulièrement taquiné, jamais il ne pourrait me faire ses sourires sincères dont seul le boss en avait droit, ou bien même la douceur qui emmane de lui en ça présence, jamais.

Je soupirais, ça ne servais strictement à rien de me morphondre sur un type pareille.

____ fréro ça va ? T'as besoin de quelque chose d'autres ? Demanda mon frère de son expression inquiète.

____ t'inquiète, je vais bien. Le rassurais je.

Il fit un air peu convaincu.

____ t'es sûr ?

Je souris, mon frère en fait toujours trop quand il s'agit de moi.

____ oui j'en suis sûr.

____ sur de chez sûr?

____ oui oui, puisse que je te dis.

____ sur sur sur?

Je m'agacais, il faut toujours qu'il exagère.

____ bon si je t'entends une fois de plus je vais te tapé. Dis je brandissant ma main droite pour le lui prouvé.

Il recula quelque peu dans le lit un sourire amusé.

Un peu plus tard il redescendit pour faire nos petits déjeuners pendant que moi j'étais allé prendre un bain. Puis un peu après je descendit à mon tour pour prendre le petit déjeuner.

Aujourd'hui avec ran, nous devons nous chargés de l'escortation d'un grand ministre qui veux faire descendre son président.

____ dépêche frangin, le gros poisson atterrit dans pas longtemps et tu sais bien que le boss va encore gueler si on arrive en retards!!!

____ ça va, ça va me voici. dis je d'un ton ennuyé en descendant les marches de l'escalier les mains fourré dans les poches.

En vérité si je pouvais encore resté juste un peu dans mon confortablement lit, j'en serais très heureux mais le devoir m'appelles.

Sur la route en direction de l'une des pistes d'atterrissages privés du gang, ran et moi discutions de tout et de rien jusqu'à dérivé sur l'affaire de ce ministre.

____ on peut vraiment faire confiance à personne tu trouves pas frérot ? Demanda ran au volant me regardant du coin de  l'oeil.

Mon regard était posé sur le tableau de bord pour pouvoir changer la chaîne radio pour une plus divertissante.