ma foi, tout reste dans le fond.

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Dans la voiture immobile, je sentais mon coeur battre à s'en rompre.

Lorsque j'étais sortir du bureau, je m'etais précipité directement vers la sortie du bâtiment prenant le soins de ne pas soutenir le regards inquisiteur de l'heterochrome. Je le sentais complètement déstabiliser. Enfin ça se comprend un peu car en vérité je suis le mec qui joue au "moi je baise, je suis asexuel" en plus avec un gars. Bon ça, ça ne devrait pas le déranger lui même étant de ce bord.

Je donnais deux bon coup sur mon volant puis m'accrochais à eux les joues rouges mourant de gêne et l'intérieur retourner.

Merde. Je déteste l'enfluence qu'à ce type sur moi. Déjà en sortant aujourd'hui je me sentais un peu de mauvais poil en plus de cela je lui en voulais de ne pas m'avoir rappeler hier soir comme prevu. Mais dés que nos regards ce sont croiser j'ai immédiatement oublié que je le boudais, je me suis sentis bien. J'étais venu à la base lui prendre un des cartons de cigarette électronique qu'une compagnie aliées au gang fabriquais mais avec ce qui c'est passé j'avais l'esprit trop embrouiller pour penser à ça.

Je soupirais. Puis baissais la tête vers mon pantalon pour constater l'état de mon membre qui heureusement dégonflait. Je ne peux m'empêcher de penser que si kakucho n'était pas arrivé il m'aurait prit la et ce ne serait peut être pas pour me déplaire.

Je soupirais une fois de plus puis demarais le 4x4. Cette histoire d'USA n'est pas pour me déplaire non plus mais je penses plus à la réaction de mon frère s'il apprend qu'on ne fera pas mission commune. Je penses que savoir qu'on sera séparer pendant un certain moment ne va pas forcément lui plaire.

Depuis qu'on est tout jeune on se soutiens mutuellement. Il n'y a jamais eu de moi puis toi c'était toujours le toi et moi. Je penses aussi que encore aujourd'hui mon frère ressent le besoin d'être tout le temps près de moi pour me protéger même si je suis devenu presque aussi fort que lui.

Depuis tout jeune nous n'avions pas vraiment eu de parents qui soyent présent pour nous. Notre père était un bon a rien qui c'était fait licencié et qui avait mentis a sa famille pendant des mois. Dès qu'ils trouvaient un peu de frics c'était d'abord le jeu, les putes et l'alcool avant sa famille. Je me rappelles encore des bleus sur son corps a chaque fois qu'il entrait à la maison synonyme qu'il c'était bagarré. Mais le pire dans tous ça c'était qu'il ne pouvait pas s'empêcher de nous battre. Ce Salopard n'avait que force lorsqu'il s'agissait de nous.

Maman, elle étais le synonyme de la femme forte qui se débattais pour sauver ses enfants. Elle avait heureusement trouver un petit boulot de serveuse dans un restaurant du centre ville qui payait assez bien mais quand père l'a découvert il c'était mit à lui voler ses paies et même la ridiculisé à son travail, un vrai monstre.

Heureusement il est mort poignardé par je ne sais qui lors de ses multiples bagarres et malheureusement mère est morte de surmenage. Une seul année avait sépare leurs deux décès.

Nous avions dû abandonner l'école, heureusement la petite maison que nous avions avec ma famille nous à été laissé. Bien sûr plus d'eau, plus de courant fallait se débrouiller pour trouver a manger, c'était franchement difficile. Pour des gosses d'à peine 10 ans.

Je me rappelles encore de nos 13 ans et de la première vrai bagarre à laquelle nous avions participé mon frère et moi. C'était tellement stimulant. C'est à partir de ce moment que j'ai su quoi faire de ma vie et mon frère je penses bien.

On es pas tous née pour être tout sage et suivre les mœurs de la société, on est pas tous née pour baigner dans la légalité, on à pas tous eu la même vie et on as pas tous la même conception de la vie.

Moi depuis la première fois que je me suis bagarré, depuis la première fois que j'avais laisser mon poings atterrir dans le visage de quelqu'un j'ai tout de suite compris que j'avais trouvé ma voie. À mainte reprise j'aurais pu me retirer du monde de la pègre mais je ne pouvais faire que ça, je ne savais faire que ça et par dessus tout j'aimais ça.

Fou De Toi (Rinzu)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant