Un nuage de fumée blanche s'échappait de ses lèvres garnis, le bout de sa cigarette vient tapoter légèrement la rambarde en métal froid alors qu'il observait Tokyo en hauteur. Son torse bronzé légèrement dévêtu, le froid le caresser sans se gêner, voulant qu'il attrape froid. Il vient reboutonner son chemisier d'un blanc pâle, ses mains viennent par la suite caresser sa nuque, essayant de trouver une source de chaleur sur son propre corps.
"Putain Izana tu fous quoi ?!" S'énerva une voix derrière lui, le faisant basculer la tête en arrière.
"Rien et toi Mikey." Répondit-il sous un ton de sarcasme.
Le dénommé « Mikey » vient claquer sa langue sur son palais, provoquant un son « tch » entre ses dents alignaient. "On a une réunion dans pas longtemps, alors habille toi et dégage le corps de cette pute." Il fit allusion au corps de la prostituée qui baignait dans une marre de sang.
Le blanc soupira et finit par approuver les dires de Mikey. "Ouais ouais si tu veux." Il balaya d'un revers de sa main gauche. Il se releva, son corps se péchant légèrement sur le côté droit, effectuant un demi tour.
"Je sors Izana." Mikey lui criait à son attention. Izana savait que son « frère » allait encore faire un tour, dans ce froid glacial. Après tout, cela aider son frère à se sentir « mieux », enfin, c'est comme ça qu'il le décrivait.
Le froid de la nuit t'enveloppait pendant que tu essayais désespérément à trouver une source de chaleur sur ton corps, te frottant les mains fortement afin de te réchauffer. Cela marchais, mais la chaleur s'estompa bien vite quand tu relâchais la pression d' entre tes deux mains. Tu tremblais de froid, tes dents claquaient entre elle, tes jambes fléchissaient et tes cuisses se frottaient entre elles.
Tu marchais vers chez toi, le froid de l'hiver succombant à te faire regretter de ne pas avoir le permis. Tu pouvais tout de même sentir tes sens se raidir, malgré qu'ils étaient gelés. Tes oreilles entendirent un bruit étrange a l'arrière de toi, tu te sentais comme observait. Et pourtant, rien dans les parages.
Tu sentais la peur t'envahir, et d'après les nombreuses séries que tu as passé à regarder, dénonçant le kidnapping sur des personnes innocente, n'a fait qu'accentue ta paranoïa. T'es pieds accéléraient contre ton propre gré, malgré tout tu ne pouvais cesser de les remercier dans ta tête.
Ce regard qu'on portait à ton égard, n'était plus que dérangeant. Tu pouvais sentir, rien qu'avec ce regard pesant qu'on te lançait, qu'il était plein de mal intention. Tu ne cessas pas de fuir, tout en essayant de fuir ce cauchemar que tu espérais ne jamais vivre. Tu voulais courir, fuir, appeler à l'aide, mais tu savais que ça ne servirait à rien. Il n'y avait personne là où tu te trouver.
Tu voyais ton bâtiment non loin de toi, et tes pas qui marchaient assez vite finir par se mettre à courir. Tu courrais, et ne comptons pas le nombre de fois ou tu as faillis te ramasser la tête la première sur le sol en béton. Tu te dépêchais de sortir ton badge dans ta course, mais tu oublias que tu étais entièrement gelé et donc quand tu pris le badge, il s'échappa de tes mains qui te faisaient mal causé par le froid.
"Merde ! Fais chier !" Tu juras doucement tout en te baissant afin de récupérer l'objet.
Tu étais tellement occupé par à l'idée de ramasser ton badge que tu n'as même pas remarqué l'homme qui se tenait derrière toi. Soudainement, sa main vient de poser sur ton épaule, t'arrachant un cris de peur. Tu pensais au début que c'était la personne qui te « pourchassais » depuis tout à l'heure.
"Eh T/p, ce n'est que moi, Ali !" Te dit la voix rauque et rappeuse derrière toi.
Un souffle de soulagement quitta ta bouche, une bouffée de chaleur t'enveloppa quand tu sentis Ali te serrait dans ses bras, regrettant sûrement de t'avoir fait peur. Il murmura tout bas, mais tu pus entendre ses mots qui te touchèrent droit au cœur. Il t'avait dit un « je t'aime » si puissant que tu en tremblerais presque encore plus.
"Rentrons maintenant." Il te sourit, tenant de sa main gauche ton sac à main que tu transportais. Il retira ses gants avant de te les redonner pour que tu te réchauffes. "Tu en auras plus besoin que moi." Il te les a enfilé pendant que tu le regardais faire, admiratif. Il était ton petit ami parfait.
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