𝟱 - 𝗦𝗶𝗰𝗸

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Tu te sentais comme vacillait devant son charme, une bouffée de chaleur s'empara de ton corps, te faisant presque tomber à la renverse. Tu ne sais pas si c'est son éternelle beauté qui te fait tant d'effet, ou simplement le fait que tu es attrapé froid à cause de dehors. Gardant une certaine distance avec ce client, tu t'en allas le laisser là, planter au milieu de tout le monde pendant qu'il perdait son sourire charmeur.

Tes pas te menèrent lentement vers l'arrière de la boutique, la ou se logeait de nombreuses confiseries qui paraissaient succulentes à ta vu. Bien sûr, c'était avant que tu ne te rendes compte que tout ce sucrées te donnais envie de vomir. Toute ces couleurs et différents arômes qui traversaient tes yeux et tes narines, ne feraient qu'augmenter ton avis de tout vomir.

Tu t'en allas précipitamment vers la porte qui menait à dehors, ou fumait généralement tes collègues. Un certain Hugo avait remarqué ton comportement étrange, et à donc pris l'initiative de venir te voir.

"Eh T/p, si tu te sens pas bien tu peux toujours rentrer chez toi." Il a proposé un ton doux. Tu secouas la tête de gauche à droite lui répondant avec assurance "Tout va pour le mieux, ne t'inquiète pas pour moi." Tu as souris, voulant le rassuré.

Il n'a pas chercher plus loin, savant déjà que te resonnais n'aller pas être facile. Il décidera tout de même à te surveiller s'il se passe quelque chose de grave. En attendant, toi tu étais trop occuper à te changer dans les vestiaires, enfilant la tenue de travail. Tu jetas un bref regard qui était suspendu sur un mur totalement vierge. Tu vis ton visage fatigué et malade, mais tu t'en foutais. Tu voulais travailler malgré tout.

Tu pris un visage plus apaisé et reposant, même si ton corps hurlait de douleur et de repos. Tu sortis finalement des vestiaires, marchant de travers. Tu vis de loin Célia qui te faisait de grands signes de main du comptoir.

"T/p, tu veux bien servir cette homme ?" Elle désignait un homme au long cheveux blond, une longue cicatrice traversait son visage. Tu te mentais si tu ne le trouvais pas beau.

"Bonjour, que puis-je vous servir ?" Tu demandais à son attention. Il te fixait simplement, finit par te répondre. "Vous aurez du thé avec des taiyaki ?"

Oui, même si votre boutique proposait principalement des bonbons, cela était aussi un salon de thé qui proposait aussi de nombreuses pâtisserie, européenne, orientale, traditionnel ou autres, vous offrez de tout.

Tu pris en compte sa commande que tu notais sur un bloc-note que tu utilisais en tant que serveuse. Finissant de rédiger sa commande, tu lui souris et partis donner la commande aux autres qui s'occupaient de préparer le tout.

Tu reposas ta tête qui était lourde et migraineuse, tu savais que tu n'étais pas capable de continuer, mais tu voulais te persuader du contraire, jusqu'à atteindre tes limites. Jeon, un autre de tes collègues, releva ton visage en voyant ta mine. Il colla sa main glacial sur ton front, pour prendre ta température.

"Oula, tu ferais mieux de rentrer chez toi." Son visage commençait à s'inquiéter, tu ne pouvais qu'approuver ses dires, te sentant encore plus malade que plus tôt. "Tu as raison.." bégayas-tu. Il sourit en coin, "J'ai toujours raison." Tu levas des yeux et jusqu'aux des vestiaires.

Tu te rechangeas, et sortis par l'arrière boutique. Le froid te rattrapas si vite que tu voulus retourner à l'intérieur. Ton chemin jusqu'à l'arrêt de bus te paressais interminable. Tu tremblais énormément, essayant de te réchauffer le plus que tu le pouvais.

Quand le bus fut arrivé, tu t'es presque jetais a l'intérieur pour te chauffer contre cette air frais abominable. Le chauffeur aurait presque rit s'il n'avait pas vu ton état actuel. Le véhicule démarra, te conduisant à travers les divers arrêt, récupérant peu de gens à chaque fois qu'il s'arrêter.

Il arriva finalement au terminus, ton arrêt. Tu sortis en trombe, sentant que la fatigue t'emportait, Morphée t'amenait loin de ce monde. Mais ce n'était pas ton jour aujourd'hui, tu as succombé à cette fatigue qui te transportait dans tes rêves, loin du froid. Alors que ton corps rentrait en contacte avec le sol, deux mains viennent te tenir ferment la taille pendant que tu somnolais tranquillement dans la rue.

Cette personne rapprocha son corps du tient, tout en veillant à ce que tu ne tombes pas. Il vient frôler tes jambes avec ses cuisses qu'il mettait entre ses jambes pour te tenir et te replacer correctement. Il apporta son bras à l'arrière de toi, te faisant basculer. Tu aurais pus tombé, si ses bras musclés ne te tenaient pas, bien évidemment.

"Putain, ce qu'elle reste sexy quand elle dort." Il murmura à lui même, veillant à ne pas parler trop fort. Sa voix était rauque et légèrement cassé.

Il te porta en mode " princesse " jusqu'à ton immeuble. Pendant son trajet, il n'a cessé de souffler sur ses mèches blanches afin de les remettre en place, à l'arrière de sa tête. Cela l'empêchait de se diriger correctement vers ton appartement qui était situé au cinquième étage. Mais aussi, il ne pouvait pas t'admirer pendant que dormais dans ses bras, paisiblement.

Quand il est rentré dans l'ascenseur, il a put te replacer mieux qu'avant et venir s'assoupir contre le bord de la rembarre qui était, propre à son étonnement. Une petite voix annonçait que vous étiez arrivé à destination. Il a chercher ton appartement, vérifiant chaque numéro de plaque dessus.

"Numéro cinq cent trois." Il à soupirer en voyant le numéro transcrit sur une plaque doré, affichait sur le porte juste au dessus de l'œillet.

Il a vite trouver tes clés qui étaient enfouis dans ta de grosse doudoune d'hivers. Il a inséré lentement la clé, priant pour que ce soit la bonne. Ses prières durent être entendu, étant donné qu'il a réussi à ouvrir la porte du premier coups. Il a retiré ses chaussures une fois dans l'appartement, il en a fait de même avec tes converses marrons.

Il t'a ensuite déposer douceur sur le canapé afin de te déshabiller de ces vêtements sales et trempés. Il a mit profiter de ce moment la, te dévorant du regard sans se gêner. Il avait longuement hésité à te toucher, mais il s'est souvenu que si il le faisait, il gâcherait le chef d'œuvre que tu es. Il ne voulait pas te blesser, il te voulait juste, et ça depuis votre première rencontre...

 Il ne voulait pas te blesser, il te voulait juste, et ça depuis votre première rencontre

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𝐒𝐖𝐄𝐄𝐓𝐇𝐄𝐀𝐑𝐓, 𝘪𝘻𝘢𝘯𝘢 𝘢𝘯𝘥 𝘮𝘢𝘯𝘫𝘪𝘳𝘰Où les histoires vivent. Découvrez maintenant