𝟭𝟵 - 𝗙𝗶𝗿𝘀𝘁

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Après que l'infirmière fut sortit de ta chambre, tu restes seul jusqu'au soir, ou ton voisin revient te rendre encore une fois visite.

"Hey T/p, c'est eus ta date de sortie ?"

"Ouais, d'ici demain ça devrait être bon." répondis-tu, sans lui jetais un regard trop occupé à lire ton roman, Le Labyrinthe.

"Tu lis quoi ?"

"C'est écris sur la couverture, en gros."

Il ne répond rien, mais s'assit sur ton lit la ou tu t'étais redresser avec ton oreiller dossier. Un long silence s'en suivit et au bout de dix minutes, tu stoppas ta lecture en soupirant. Tu reposas le livre et posas tes yeux sur l'homme à tes côtés. Vous vous fixez en silence, admirant le visage de l'autre sans rien dire d'autre.

Il s'approcha de toi et dégagea quelques unes de tes mèches qui recouvraient un peu ton visage. Tu attrapas sa main et la serras dans la tienne, ne voulant pas qu'il la décale. Toi même tu étais surprise de ton propre geste, et lui aussi. Malgré tout, vous ne vous distinguez pas de l'un et de l'autre. Vous avez compris complétement distribué, vous n'étiez plus maître de vos mouvements et même si vous trouvez cela gênant, vous appréciez ce moment.

Vos têtes se rapprochaient, et vos lèvres s'aimaient et étaient proches de la fusion. Mais vous voulez faire durer le plus ce moment si intense entre vous, qu'il mit son autre main libre derrière ta tête, et toi tu mis la tienne sur ses cuisses te retrouvant presque à califourchon sur lui. Au moment où vous vous apprêtez à sceller vos lèvres, une vibration coupa cet instant si personnel.

Le téléphone du noiraud sonnait et vous reculez d'un coup, reprenant votre esprit. Il ya peine quelques secondes tu allais embrasser un chef de gang, qui est responsable de la mort de copain et responsable de ton malheur. Mais bien sur, tout ça tu l'ignorais, tu ne savais pas que lui et la personne avec qui il est au téléphone avait tout fait pour t'avoir pour eux. Egoïste, non ?

Revenons à nos moutons, tu étais assise correctement sur ton lit, tenté de te remettre de ces événements. Tu étais sur le point de l'embrasser, remarque cela ne te déplais pas. L'air était très étouffant dans la pièce, et il était difficile de trouver une fois de fraîcheur, tu en suais presque tellement tu avais chaud. Tu fis signe à Manjiro, qui s'était rappelé pour répondre à son appel.

"Manjiro, peux-tu ouvrir la fenêtre, il fait chaud." chuchotas-tu pour ne pas le déranger dans son appel.

Il te regarda, puis il hocha la tête avant de s'approcher de la baie vitrée et de l'ouvrir en grand pour que l'air frais y pénètre. Un courant d'air froid vient te fouetter en pleine tête et ton visage se refroidit immédiatement. Tu te sentais à présent bien mieux et la fatigue te submergea, laissant Morphée t'emportait bien loin de la réalité.

Quand Mikey eut finit son appel des plus agaçant, il te vis endormis sur ton lit d'hôpital la couverture mal mise, tes bras dépassaient du lit et également pour tes jambes. Tu avais quelques mèches de cheveux qui se baladaient sur ton visage épuisé, il te remit deux-trois mèches derrière ton oreille avant de réajuster correctement ta couette.

"Dors bien T/p." Il sourit, et partit.

Le lendemain, un médecin vint à ta rencontre pour te faire passer encore un peu des examens. Avant de partir, il te dit une dernière chose.

"Vous feriez mieux de vous de vous dépêchez, votre petit copain vous attend depuis au moins deux heures."

"Mon petit copain ?" redemandas-tu, mais il était déjà partit.

C'est en ayant les sourcils froncés que tu commenças à te préparer pour découvrir ton "petit ami". Quand tu sortis, environ trente minutes après le passage du médecin, tu vis des cheveux d'un blanc neige dépassait d'un siège. Il avait un pull violet assez large, avec un baggy noir et des chaussure blanche.

Tu reconnus directement la personne, Izana.

𝐒𝐖𝐄𝐄𝐓𝐇𝐄𝐀𝐑𝐓, 𝘪𝘻𝘢𝘯𝘢 𝘢𝘯𝘥 𝘮𝘢𝘯𝘫𝘪𝘳𝘰Où les histoires vivent. Découvrez maintenant