𝟭𝟴 - 𝗦𝗼𝗼𝗻

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Il faisait lourd dans la salle, seul un ventilateur qui tournait rafraîchissait la pièce. Un son de machine ne cessait de marcher près de tes oreilles, mais tu ne t'en préoccupais pas, trop faible pour demander à ce que l'on s'arrête ce bruit. Un bruit de grincement de porte te fis ouvrir les yeux, mais la forte lumière te les fis vite refermer.

"Mademoiselle, vous êtes réveiller ?" demanda l'infirmière qui venait de pénétrer dans ta chambre.

Tu soufflas un mini "oui" montrant que tu étais éveiller. Tu essayas de te redresser mais tu n'y arrivais pas, alors tu forças un peu plus mis tout ces câbles t'empêcher de bouger, et un couinement sortit de ta bouche, tu venais de te faire mal.

"Il ne faut pas que vous forcez ! Vous êtes à peine rétablis !" Te grondas la dame en blouse blanche.

"Que c'est-il passé ?" Réussis-tu enfin à lui dire.

"Après qu'un policier ait vu vos bras, qui littéralement se vider de leurs sang, il a vite appeler une ambulance mais vous vous êtes évanouis à ce moment là." Elle s'arrêta quelques seconde te laissant te remémorer tout cela, puis elle reprit. "Quand vous êtes arriver, on vous a directement prit en charge et avons tenter de soigner le plus possible vos blessures qui sont tout de mêmes bien profonde."

"On est quel jour ?" Elle semblait surprise par ta question, comme si tu t'en foutais que tu étais entre la vie et la mort.

"Mercredi, cela fait deux jours que vous dormez."

Tu hochas simplement la tête, et reposas ta ta tête sur ton oreiller moelleux. "Vous pouvez sortir ? J'ai besoin d'être seul un moment." lui souris-tu gentiment.

Elle ne chercha pas à comprendre cette soudaine décision, mais te sourit en retour avant de sortir referment soigneusement ta porte. Des que la porte fut fermer entièrement, des perles transparentes commencèrent à couler le long de ton visage. Une fontaine s'enchaîna, et rien ne pouvait stopper tes pleurs. Après cinq minutes ou tu essayais d'étouffer tes larmes, tu réussis à te calmer.

"Ces derniers temps je ne fais que de pleurer.." gloussas-tu doucement.

La porte s'ouvrit soudainement à la voler, faisant apparaître des cheveux ébènes, Manjiro Sano, ton voisin fit son apparition un visage affolé il te regardait et ses yeux brillèrent un instant et au mêmes moment il se jeta sur toi. Il te serra fort dans ses bras, son emprise ne voulait pas desserrer donc tu lui tapotas l'épaule.

"T/p, je me suis tellement inquiété ! Je pensais que je n'allais plus te voir."

"T'inquiètes pas pour moi ! Tout vas bien tu vois." dis-tu en essayant de le rassurer.

"Pourquoi as-tu fais ça ?" Sa voix terne et froide te coupa les mots de la bouche, et au vus de son regard sombre, tu ferais mieux de lui dire la vérité et seulement la vérité.

"Je me sentais pas bien, encore par rapport à sa mort. Mais j'ai décidé d'aller de l'avant ! Ali ne serait sans doute pas content de me voir me lamenter sur mon sort." confias-tu aux noiraud.

Il sourit, satisfait de ta réponse et tapotas gentiment sa main sur ta tête, te prenant au dépourvus.

"Je suis content que tu ais décidé de tourner la page, même si ça ne va pas être facile." il te félicita dans un doux sourire.

Vous avez parler encore une vingtaine de minutes, vos conversations étaient si fluide que vous ne voyez pas le temps passé, mais une infirmière vint à votre rencontre coupant votre conversation.

"Excusez-moi de vous déranger, mais mademoiselle T/n vous devez passé quelques examens alors si monsieur voudrez bien sortir."

"Bien entendu." Répondit Manjiro d'un ton extrêmement sec. "A ce soir du coup." il se retourna vers toi un grand sourire avant de se lever et de partir.

"Ouais, à ce soir."

Manjiro était sortit de l'hôpital, et il regardait une dernière fois la grande porte d'entrée, avant de murmurer; "Bientôt.."

𝐒𝐖𝐄𝐄𝐓𝐇𝐄𝐀𝐑𝐓, 𝘪𝘻𝘢𝘯𝘢 𝘢𝘯𝘥 𝘮𝘢𝘯𝘫𝘪𝘳𝘰Où les histoires vivent. Découvrez maintenant