Chapitre 28 : La Jalousie

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- Tu sais que je peux te faire sortir de cette prison, pour que tu puisses refaire ta vie avec ta famille.

- Désolé mais ma caution est très élevé.

- Combien ? Demandai-je

- J'ai honte Anna-Lorena.

- J'ai pas trop de temps à perdre.

- C'est environ 6 milliards de MXN.
(Peso Mexicain ). Dit-il

- Donc environ trois cents millions de dollars. Dis-je en fessant les comptes.

- Il vous reste cinq minutes, s'exclama la gardienne.

Je sort une feuille vierge avec un style.

- J'ai besoin du numéro de ton avocat et je veux savoir où est ta fille et aussi ta signature quelque part .

Il hésite mais prend quand même la feuille et le stylo pour écrire.

Je comprends, il ne peut pas refuser mon offre, c'est pas tout les jours qu'on a une deuxième chance.

- Soit présentable à dix heures du matin pour ta fille, parce que là c'est pas trop ça. Dis-je en coupant le téléphone.

Je sors de la prison, je suis fière de ce que je viens de faire. Au début je voulais le tuer mais sachant qu'il a une petite fille, je ne peut pas faire ça, sinon je serai vraiment un monstre.

Moi qui n'a pas eu de figure paternel depuis mon enfance.

- Alors c'était comment ? Demanda Alex en pause clope.

- Ça s'est plutôt bien passé.

Il m'ouvre la portière du 4x4.

Je lui sourit en montant.

- J'ai une petite envie de sushi, dis-je en caressant mon ventre.

Son téléphone commence à vibrer... Encore et encore, on se demande c'est qui ?

- Le poisson cru, bébé trouve quelques choses de mieux. Dit-il en regardant son téléphone.

- Tu ne réponds pas ?

- Sushi c'est ça ? Dit-il en tournant violemment le volant vers la droite.

Il est soit en colère ou soit en colère.

- Alex, gare toi !

Il ne s'arrête pas, je vous jure que si il s'arrête pas je saute de cette putain de bagnole.

J'ouvre déjà la portière.

- Je vais sauter !

S'arrête violemment, il sait que je suis capable de sauter

Je descend de la voiture et passe par le trottoir.

- Anna... Monte.

- Laisse moi tranquille, va rejoindre ton amante. Je continue à pied.

- Mais qu'est ce que tu racontes ? Monte là.

Je l'ignore de la même façon qu'il vient de me le faire tout à l'heure.

- Putain, elle va me rendre dingue, Dit-il. Putain Anna... Tu me casse les couilles.

- C'est moi qui casse les couilles alors que c'est toi qui me cache quelque chose.

Il sort son téléphone par la fenêtre.
Je prend son téléphone avec fierté.

- Tu as changé de code ? Dis-je

Larme Éternel ( En réécriture prochainement)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant