Chapitre 2 : Se sauver

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Bon, je l'avoue en toute humilité, j'avais très peur. Ce qui m'a fait réaliser que les portes se sont barrées.Nous étions enfermés dans l'école. De plus, le réseau a été coupé. Tristan alors, me tendit la main. Je lui pris, bien évidemment.
Il avait l'air confiant ma fois. Soudain, il commença à courir tout en -continuant- de me tenir la main.J'ai couru moi aussi.Nous nous sommes réfugiez dans le placard du concierge. Le cri c'est encore fait entendre. On entendit des pas grossiers marcher près de nous. J'ai regardée retour le petit trou de la serrure et j'ai vu un homme armé suivre Laurence une fille dans ma classe qui hurlait comme une damnée. Je l'ai entendu dire ceci:
-S'il vous plait laisser moi tranquille je n'ai rien fait de mal.Je vous en supplie, ne me tuer pas.
C'est après cette phrase que l'homme pointa son arme sur le front de Laurence.Celle-ci dit:
- Laisser moi dire mes mots d'au revoir à ma famille.
L'homme ne lui a pas laisser le temps.Il l'a tira. La mort l'a pris par la main.J'ai commencée à pleurer.Dire que peut-être moi aussi je me retrouverai dans cette situation.Je ne préfère pas y penser. Tristan me pris dans ses bras et me dit:
- Ne pleure pas, nous allons nous en sortir. Ne fait pas de bruit sinon il va nous repérer.
- Je veux revoir ma famille, dis-je.
-Tu la reverra je te le promet.
La capuche noir traîna la morte dans le couloir et la jeta dans la poubelle. Après, plus rien. Les lumières se sont ré allumées, les portes débarrés et l'harmonie, retrouvée. Tous les élèves sont sortis de leur cachettes et ont courus hors de l'école. L'homme s'était volatilisé. Tristan et moi sommes restés quelques instants encore dans le placard pour être sûr que la voie était libre. Nous sommes sortis et sommes allés voir le cadavre. Une chose était sûr: c'était Laurence qui était visée.

Damnés Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant