Chapitre 7: Fausse alerte

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C'était Tristan.Mon agresseur n'était donc qu'une surprise pour ma fête. Bien évidemment, je prenais mes précautions. Si c'était vrai, et si l'agresseur allait surgir de nulle part lorsque Tristan viendrait me rejoindre sur le perron. Alors, je dit à Tristan:
-Tristan va t'en!C'est dangereux il faut que tu t'en aille maintenant!
-Non. Je reste avec toi.C'est ta fête.
-C'est pour ton bien Tristan, un assassin va venir et me tuer je ne veux pas que vois ça.
-Je viens te rejoindre attend.
Il arriva et me pris par la main et me dit:
-Je vais te donner ton cadeau d'anniversaire.Laisse moi 2 secondes.
Il approcha son visage, mit ses mains sur mes joues et m'embrassa passionnément durant 2 minutes. L'homme noir surgit alors durant notre moment et tira un coup.
Personne ne fut toucher, il n'a qu'arrêter notre embrassade. Je ne savais pas quoi faire ni quoi dire. J'étais sûr que c'était la fin pour moi.J'ai alors pris mon courage a deux mains pour lui demander ceci:
-Je pourrais savoir pourquoi tu tiens tant à me tuer?
-Une petite curieuse représente une menace pour notre métier.
-Une menace?
-Oui menace.
-Écoute, je sais pas si tu es au courant mais c'est ma fête!
-D'accord je te laisse une chance mais, mêle toi de tes affaires!
Il partit. Alors c'était si facile de le faire partir. Je peux alors trouver toutes les excuses du siècle pour rester en vie. Tristan recommença à m'embrasser durant encore 10 minutes et demanda ceci:
-Tu veux passer la nuit chez moi?Mes parents ne sont pas là.Ne t'en fait pas, on a une chambre d'amis.
-C'est...très gentil de me l'offrir mais, j'ai des choses à régler. Demain peut-être demain?
-Oui demain ça me va. Salut Brooke.
Il m'embrassa pour la dernière fois et partit dans la nuit sombre et froide de septembre.
Jamais je n'aurais cru qu'en une seule journée j'aurais pu sortir avec mon ami. Tout est allé si vite. Je savais que Tristan et moi étions fait l'un pour l'autre. Pour la première fois, je me sentais bien lorsque je suis rentrée chez moi et que j'ai vu mes parents me regarder avec des yeux de raisins.
-Quoi? Dis-je.
Mes parents n'ont pas pu réussir à dire un seul mot.
-Vous nous avez vus? Oh mon dieu vous m'espionniez!
Mes parents n'avaient pas voulu me blesser mais ils m'ont dis plus tard qu'il trouvait ça louche que je parte à une heure pareil après un coup de fil.Je les comprenaient ma foi.
Je me suis couché avec une seule idée en tête: voir Tristan.

Damnés Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant