Damnés Tome 1

Chapitre 4: Le courage

Mon stress était revenu. Qui avait enlevé les traces de pas? Tristan a alors essayé de retrouver notre chemin mais, sans succès. Un bruit s'est fait entendre. Pas un bruit de fusil mais plutôt de lame. Maintenant, j'étais sûr d'une chose: il y avait quelqu'un dans la maison et il était armé. Je ne savais pas quoi faire. De toute façon, peu importe ce que j'allais faire, j'allais mourir.L'idée de pensée que c'était de ma faute si nous étions ici me traversait l'esprit. Je me suis approchée de la maison jusqu'à temps où j'entendis:
- Draft mouįnch petrouf?
Mais qu'était-ce cette langue et que disait-il? Une autre parole c'est fait entendre:
-Spoutnif Sport braciüs!
-Draft mouįnch?
-Fafar hyunt jiuspįt!
Draft, chpoutnįsh swa brodįr mouįnch.
-Dada mama.
On aurait dit que la dame lui donnait une leçon. J'ai enregistrée la conversation et je suis entrée dans la maison.
L'homme n'avait pas de capuche comme il y a trente minutes. Je n'avais qu'une idée en tête: savoir se qu'il se disait et dans quelle langue se parlaient-ils. Lorsqu'il mon vu, il se sont figés. Je leur cria ceci:
-QUI ES-TU ET POURQUOI TU L'A TUÉE!?
Bouche bé ,la femme répondu:
-Draft mais qu'à tu fé? Qui était cétte fille?
-Jé né sé pas mama!
-É bien dit Lé qué-cé qué tou a fé.
-Jé sélémemt fait une fusillade à l'école.
-Sélément tou es sérieux?!
-Oué.
Je ne savais pas vraiment quoi dire. Je suis simplement partie. En bien sûr les laissant entre mère et fils.Tristan est venu me rejoindre et m'a serré dans ses bras. Il me chuchota ceci:
-Ça va?
-Oui, dis-je.
J'étais heureuse qu'il s'inquiète pour moi. Je savais que c'était le début d'une grande amitié.