Chapitre 6: L'appel

35 2 1
                                    

Je montai alors à ma chambre et ma mère m'appela. Mon appel se fera plus tard.Je descendu et j'ai remarqué que la table était prête. La nappe était doré, les assiettes étaient couleur antique et au milieu de la pièce un lustre en diamant avec au milieu de la table, un chandelier en or. Rien qu'un seul mot:WOW! Mes parents ont fait du bon travail.
-WOW! Mais en quel honneur vous avez fait ça? leur demandai- je.
-Ne me dit pas que tu as oublié ton anniversaire, me dit ma mère.
Oups c'est vrai c'est ma fête. J'avais oublié ma propre fête. Ce que je peux être nul des fois.
-Ah mais bien sûr que non je n'ai pas oublié comment j'aurai pu oublier ma "propre" fête.

Durant le souper, personne ne parlait. On entendait que le bruit de le ventilateur au dessus du four.Le silence a été coupé lorsque mon téléphone se mit à sonner. Le maître de la maison a été répondre et dit:
-Brooke, c'est pour toi.
C'est sûrement Tristan.Comment il a trouvé mon numéro de téléphone? Je m'en fiche un peu...beaucoup. Peu importe, j'ai pris le téléphone et dis:
- Bonjour qui est-ce?
-Tu vas devoir partir de chez toi et t'enfuir si tu ne veux pas que je vienne te tuer.
-Draft?
-Ah alors tu connais mon frère jumeaux celui qui était avec moi lorsque j'ai tué ta très chère Laurence.
-Alors qui es-tu?
-Je me nomme Gradur.
-Si tu crois pouvoir toucher à mes parents alors tu peux rêver!
-En fait, sans vouloir mettre de pression, je suis devant chez toi et j'aimerai que tu sortes si tu ne veux pas que je tue tes parents avant toi.
-D'accord je sors.
-Au revoir.
Le frisson me parcourait le corps. C'était ma dernière journée vivante. Le jour de ma fête. J'aurais voulu connaître mieux Tristan, j'aurais voulu grandir et avoir des enfants. Mes 17 ans se termineront dans moins d'une minute. J'ai pris mon poivre de Cayenne au cas où je pourrais avoir le temps de l'immobiliser. Je me faisais de fausses idées j'en suis sûr.
Je dit au revoir à mes parents et sortis sur le perron pour attendre mon agresseur. C'est alors que je vis une silhouette s'approcher doucement.Mon cœur a arrêté de battre jusqu'à temps où je vis son visage.

Damnés Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant