chapitre 11 : jour 9 ✓

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Tout les alphas sont arrivés, au total 10 meutes sont réunis, les Alphas sont: Lenny, Oksane, Léo, Maya, Yara, Owen, Olwë, Daeron, Franck et Élios. Voilà de quels Alphas est composé le grand conseil. Élios m'a dis qu'il était vaillant et bon, qu'ils nous aiderait sans aucun doute, je le crois sur parole.

Mais pour l'instant ce n'est pas cela qui m'inquiète, ma soif se présente à moi plus rapidement que se que je croyais, mes sens sont décuplés et arrive à capter chaque animal même le plus minuscule.

• Viens William, nous devons nous rendre au repas de se midi, nous trouverons une solution se soir, je te le  promets.
• Ça ira, je tiendrais jusqu'à la fin, je te le promets.

Il me sourit simplement, posant sa main sur ma joue et embrassant mon front. Sa main trouve alors la mienne et il me tire à l'extérieur vers l'immense table, les alphas sont les uns à côté des autres un bêta à leur côté, je m'installe à côté d'Élios le regardant, ne comprenant pas son choix.

• Ainsi si tu as un problème, je serais le premier au courant.
• Je te ferais signe.

Quand tout le monde est assis autour de la table, chaque alpha se lève, un par un, annonçant leur nom ainsi que ceux des personnes les accompagnant. Au final nous somme 37 une longues tables qui s'étend devant moi.

Le repas est long, les discussions diverses, l'ambiance est trop, trop de monde, trop d'alpha, trop d'aura, trop de présence. Sa main se pause sur ma cuisse, son pouce traçant de léger cercle, pourtant il ne me regarde pas, il est plongé dans une discussion qui a l'air m'a fois fort intéressante.

• Ho allé ! Élios ! Un petit combat ne vas pas l'abîmer! Tu nous as dit que c'était un alpha, on a l'impression que c'est un chiot égaré ! Je veux voir se qu'il vaut !
• Si il en a envie mais seulement contre moi.
• Je vais pas te le casser! Allé dis oui ! Qu'est-ce que t'en pense tu serais d'accord ? T'es le premier concerné.
• Un seul. Contre toi et personne d'autre.
• Génial ! Se sera le dernier de la journée alors !

Il se retourne et passe à une autre discussion, Élios me fixe, je hausse simplement les épaules, il m'énervait. Peut être que me battre calmera ma soif ?

• William, c'est à toi. Les jeux et les autres combats sont terminés. Il est 19h, après on va manger puis se coucher, je rêve que de ça !
• J'arrive.
• Je reste avec vous de toute façon, s'il y a un problème où que tu commences à perdre le contrôle tu ne te cognes pas la tête contre un mur.
• Promis.

On se faufile a travers les bancs installer exprès pour s'asseoir, Élios se glisse au premier rang à côté de Franck et Alexander. Lenny arrive, il sourie comme un idiot, il enleve son tee-shirt, en effet il est plutôt bien taillé, rien d'exceptionnel non plus. 

J'enlève moi aussi le miens le donnant à Élios, mes muscles sont plus fort et bien mieux dessinés que les siens, mes côtes sont encore visibles et le manque de nourriture se fais encore sentir, les traces de maltraitance aussi sont encore présente en nombres, elles sont plus que visibles.

Je ne prend pas le temps de réfléchir, ma transformation en loup est rapide, même plus que rapide. Je secoue la tête ainsi que ma fourrure, puis me redresse, mon poitrail se gonfle. Il veut un combat, il va en avoir un.

Il me suis dans la transformation, il est beige, il a l'air frêle, je me méfie de lui.  Je reprend la même attitude qu'avec Élios, je marche de long en large, attendant le moindre signe d'un quelconque énervement. Il est encore moins patient, c'est dingue ça ! Il saute, mauvais choix, un mouvement, un seul et je l'attrape déjà par le cou, le stoppant dans son saut puis le balançant, il s'écrase au sol.

Il se relève les yeux rouges, j'attendais que ça . Il me fonce dessus, je prends mes appuis, plantes mes griffes dans le sol, son poitrail heurte violemment le mien, je ne bouge même pas de 1cm. Il s'énerve tante de planter ses crocs dans ma chaires, il est faible. Je m'appuie sur lui de toute mes forces poussant sur mes pattes arrières, il recule petit à petit puis ses pattes avant se soulève du sol me donnant accès à son ventre.

Je me jette en avant, j'attrape son ventre en mes dents, je serre, il couine, il finit sur le dos, capitulant pour que je le laisse tranquille. Je relâche la pression, me recule et retrouve forme humaine.

Si tu croyais ne serais-se que m'effleurer tu t'es trompé.

Je recule, fais demi-tour et me dirige vers notre tente il faut que je me change. Une fois dans la tente je décide de ne plus bouger de la. La soif est forte, terriblement forte même, je préfère rester là et tenter de dormir.

• Tu trembles William.
• Qu'elle heure est-il ?
• 23h.

Il rentre dans le lit et se colle à mon dos, sa main se baladant sur mon torse.

• Éloigne toi, s'il te plaît, je ne sais pas me contrôler.
• Tu as faim Will, il faut que tu manges ou du moins que t'a soif se calme.
• Non Élios. Je vois très bien où tu veux en venir et c'est non.
• Pourquoi donc ?
• je ne saurais pas m'arrêter.
• Je te fais confiance William, alors par pitié fais moi confiance toi aussi .

J'hoche simplement la tête, me laissant aller et surtout me laissant faire. Sa main glisse contre mon torse, il m'enlève mon tee-shirt, sa bouche embrasse ma nuque et mes épaules tandis que sa main continue ses caresses. Je me cambre violemment quand sa bouche embrasse la peau sous mon oreille.

Je me sens perdre le contrôle, mon cou craque, mes dents pousse, mes yeux virent au rouge. Je me retourne brusquement, me retrouvant cette fois-ci au-dessus de lui, m'appuyant sur mes bras, ma tête se loge dans son cou.

Je l'embrasse et lèche chaque parti visible et disponible, j'en veux plus, mon corps en veux plus. Son tee-shirt rejoint le mien au sol, mes mains se pose sur ses hanches, mes actions sont incontrôlées, j'entends son coeur battre, son sang pulser beaucoup plu fort à cette endroit. Je l'embrasse continuant mon chemin mais restant proches de son coeur.

Je sens son dos se cambrer et ses muscles se tendre à plusieurs reprises, il gémit, sa main se pose sur sa bouche empêchant les sons de sortir de sa bouche. Les dents commencent à se presser contre son torse, il me relève la tête vers lui de deux doigt sous le menton.

• Tu... Tu peux te nourrir de mon sang... mais ... mais rappel toi que si tu me mort a cette endroit nous serons lié... lié à vie...
• J'en ai conscience, bien plus que tu ne le crois. Veux tu que je le fasse autre part?
• Non vas y...

Je l'embrasse à pleine bouche, nos langues jouent un bal endiablé pendant plusieurs minutes avant que ma bouche ne redescende au niveau de son coeur. Je ne résiste pas longtemps à la tentation, je plante mes crocs dans sa peau, mes yeux se révulse, son corps se cambre, je relâche ma prise, le sang coule et j'en deviens complètement addict.

Je ne contrôle plus grand chose, je lèche le sang qui coule le long de son torse en demandant toujours plus ...

une fois libéréOù les histoires vivent. Découvrez maintenant