Premiere Garde à vu

4 0 0
                                    

Nous somme le 8 décembre, très tôt la mâtiné je ne sais plus si c'était 6h ou 8h mais je sais que je dormais.
J'entends quelqu'un qui sonne, comme d'habitude j'ai peur je tremble et effectivement c'était pas les voisins c'était la gendarmerie.

J'ai pas eu le temps de cacher certaines blessures sur mon corps et j'avais plus peur de recevoir des questions sur ça et de pas savoir quoi répondre qu'autre chose.

Faut savoir que je suis une personne qui sourit à longueur de journée même quand rien ne va , j'étais dans la voiture de la gendarmerie et j'étais en train de rigoler avec eux , je leur dit « j'espère qu'on va passer un bon moment »
J'ai dit sa avec toute naïveté et avec une bonne humeur, il on di ce dire que j'étais folle rt on m'a confirmé que j'étais la première personne à être autant contente d'être en garde à vue alors que en vrai c'est juste que je préfère rigoler que pleurer car quand je pleure sa fait toujours mal .

En sortant de chez moi, ma mère leur demande de ne pas me mettre les menotte et de prendre soin de moi , de pas me choquer car a se moment j'étais malade et j'enchaînais souvent les crises épilepsie , et a causse de la sorcellerie et des coup que je prennais sur la tête, je perdais souvent la mémoire et parfois je faisais des choses sans m'en rendre compte.

Ariver au commissariat, on me laisse dans la salle d'audition pour ne pas me mettre dans la cellule des mon ariver.
Le temps passe , on me pose tout plein de questions, dont j'ai rigolé , selon eux j'aurais aggresee à plusieur reprise Florian !

J'ai du dire que oui effectivement, car Florian m'a dit de dire que tout a etait fait par moi si je tenais à ma vie .
Alors que en vrai, a part me défendre ou du moin essayer de me défendre quand ses pote me tomber tous dessus je pouvais rien faire face a plusieurs hommes.

Le moment de prendre les photos de mon dossier, comme toute les garde a vue on doit se déshabiller, le pire moment pour moi , comme d'habitude je déteste me dénudé encore moins si c'est devant une gendarme.

J'étais obligé, au moment de me déshabiller, je sais pas si elle a remarqué mais a mon avis oui .
Des j'étais en sous vêtements, j'avais tellement de bleu et des cicatrices et blessures toutes récentes que des quel a posais sa main sur ma jambes , j'ai direct eu un réflexe de mettre mes main sur mes partie intime, je croyais quel aussi voulais me touchée ici ...

J'avais aussi des marque de mutilation, pour sa il on pas était gentille , ils m'on plus prise pour une folle que une personne qui était jusye mal et qui essayait d'arrêter, surtout que c'était devenu une drogue car chaque fois où j'étais très mal je me couper.
Ils se sont pas dit qu'il y'a peut-être un problème et que le problème c'était pas moi .
Jusqu'à maintenant je suis accro, j'essaye d'arrêter mais du moment où personne ne me retire ses lames et me contrôle ou m'aide à arrêter je sais que je le ferai a vie car c'est une vrai addiction depuis mes 14 ans mêmes si à un moment j'ai réussi à arrêter.

Vers l'après-midi midi, on me mets en cellule, c'était super froid.
On me demande d'enlever les cordons si j'en ai , j'étais en pyjama mikey , il on eu pitier ils m'on laisser en pyjama .

1h plus tard je me mets à genoux dans la cellule et je lève mes main en l'air je fait des invocations et je demande à Dieu de me laisser sortir de garde à vu et de rendent mon téléphone.

Meme pas 1H après, on m'ouvre la porte et on me dit que ma mère fait que appeler et s'inquiète.
Ma mere a dit qu'il ne fallait pas que je dorme la nuit car j'avais peur du noir et que si je dort en ayant peur je risque de m'évader ou de faire une crise cardiaque car quand j'ai je bouge plus et je me laisse partir.

J'arrive dans la salle d'audience, je suis contente on me laisse mettre ma veste, j'étais toujours avec le sourire mais à un moment j'ai craqué.

Au moment où on me pose des questions, j'en avait marre de m'accuser toujours moi même , je savait que j'allais sortir avant se soir car ils avait la peine pour mes parents mais je savait que si je sortais ce soir avant 19h j'allais recevoir plein de menage de Florian pour que je me laisse encore me faire frapper, d'un côté j'étais prête a reste en gdv juste pour ne pas me faire frapper .

17h, on me laisse sortir, je rentre chez moi, mes parents étaient hyper content de me voir car des je suis sorti mon père était revenu du travail car il pleuvait et en me voyant dans une voiture de gendarmerie il a eu mal pour moi et il m'avait fait des bisous et câlin mais il ne comprennais pas ce qui se passer.

La gendarmerie a dit a mon pere de garder mon téléphone pendant 2 semaine, ils croyaient que je faisais des bêtises dessus .
Mon pere a joué le jeu il m'a dit qu'il ne leur pas rendu mais au bout de 2 semaine je décide d'aller a la gendarmerie et demander mon téléphone et on me dit que c'est mon pere qu'il l'avait...

Suite a cette garde à vue, la gendarmerie m'a envoyé chez un expert Psychiatre, dont je remercie énormément car sans lui je serai en prison.
Il a tout fait pour me faire un dossier comme si j'étais atteinte psy au plus haut niveau, et que c'était interdit de m'enfermer et cette homme c'est l'imam de la mosquée, il me connaissait de nom car j'avais deja fait une crise épilepsie en été 2019 dans sa mosquée.

Vraiment cette homme une pépite, sans lui je serai pas en liberté !!!! Que Dieu le preserve et le fasse entrer au paradis juste pour m'avoir sauvé de ses problèmes.

De l'amour à la condamnation Où les histoires vivent. Découvrez maintenant