Lotta est une jeune fille intelligente, qui rêve d'écriture et de liberté. Pourtant, elle n'est qu'idées noires et esprit torturé la nuit venue... À 18 ans à peine, la vie n'a jamais été vraiment chouette avec elle. Et des fois, quand elle sirote so...
Plus jamais les lasagnes de la cantine. C’est ignoble ! Comment peuvent-ils nous servir ça ? On dirait de la pâté pour chien… et encore, j’ai l’impression que la pâté serait mieux passée. Je comprends mieux pourquoi la majorité des élèves d’Hawkins préfèrent emmener leur déjeuner.
Max : « C’est de la torture. »
Je fais semblant de vomir en la regardant. « Franchement, j’vais pas y arriver. Si quelqu’un veut du rab… » lançais-je en jetant un œil à mes camarades de table.
Nancy : « Tu peux te le garder… je crois que je vais juste manger une pomme pour cette fois »
On éclata de rire, quand un « Salut ! » enthousiaste fit distraction.
« Salut Robin, comment tu… c’est de la sauce tomates dans tes cheveux ? » dis-je, interloquée.
Robin : « J’aurai sa peau… » dit-elle, avant d’essuyer une mèche de ses cheveux. « Steve m’a attaqué a coup de lasagnes bioniques. »
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Max : « Il ne t’a pas loupé ! Fais gaffe, elles pourraient se transformer en une chose gluante et vivante… en tout cas elles ressemblent à je ne sais quelle créature de l’espace venue pour détruire le monde… » dit-elle en faisant de grands gestes théâtrales dignes de Shakespeare.
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« …et détruire mon ventre par la même occasion ! Je file aux toilettes, je vous rejoins après. » Je me levais précipitamment de ma chaise, et me dirigeais a grands pas vers le couloir. Personne n’étais là, parfait. Je m’asseyais dans une cabine libre et fis mon affaire… quand je m’aperçus que celle-ci était beaucoup trop rouge pour être banale. Super, il est 13h, je n’ai aucune protection hygiénique, et j’ai encore 4 heures à tenir. Ok pas de panique, la porte des toilettes vient de s’ouvrir. J’entends l’eau du robinet couler. Après une minute d’hésitation, je me décidais à parler.
« Bonjour… euh, désolée de te déranger… écoute ça va paraître un peu idiot, mais bon on dit souvent qu’entre filles on s’entraide alors hm… putain c’est bête… je suis dans une cabine là et j’ai mes règles,… sauf que je n’ai rien sous la main… t’aurai pas une protection pour me dépanner s’il te plaît ? » Je finissais mon discours face à ma porte de cabine, quand le silence apparu.