Chapitre 3 "inquiètudes"

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Dans le chapitre précédents...
Inutile d'argumenter plus longtemps. Je posa ma tête sur son torse. Au moins lui il ne me détestait pas.

|Matin, en route vers Camp Jaha|
[Point de vue Octavia]

Je marchais en avant avec Lincoln. Mon frère marchait derrière avec Clarke dans ses bras. C'est étrange mais depuis que nous l'avions retrouver, je me sentais plus libre. Bellamy semblait moins me protéger et cela m'arrangeait. Il sembla quelque peu vouloir protéger Clarke plus que moi. Il l'aimait plus que bien j'en était certaine.

Lincoln me prit la main. Lui aussi je l'aimais beaucoup.

Octavia: Tu sais ou on est?
Lincoln: Oui, ne t'inquiète pas!
Octavia: On s'arrête bientôt, Bellamy semble à bout de bras.

En effet, Bellamy trop orgueilleux ne dira jamais qu'il ne pouvait transporter Clarke, un fusil et un sac rempli de nourriture.

Lincoln: Oui bientôt, il a une rivière l'autre côté de cette clairière.

[Point de vue Clarke]

Je sentais Bellamy se fatiguer et je me sentis encore plus mal.

Clarke: Bellamy, je vais marcher. Repose moi!
Bellamy: Hors de question.
Clarke: Allez, tu es à bout de force, je vais marcher sa ira.
Bellamy: Non, je suis correct, reste tranquille.

Évidemment, il ne s'avouera jamais vaincu. En soupirant, je ne répliqua pas plus. Je continua de regarder au sol. Bellamy un peu maladroit essaya d'entreprendre une petite conversation.

Bellamy: Et puis princesse, qu'est-ce que tu as fait pendant que tu étais parti ?
Clarke: Rien d'extraordinaire...
Bellamy: Tu es aller ou?

Je ne voulais pas répondre à cette question. J'étais aller nul part.

Clarke: Pourquoi tu es venu me chercher?

Il hésita mais répondu:

Bellamy: J'étais inquiet...

Je ferma les yeux, je ne le méritais pas du tout.

Clarke: Tu ne devrais pas t'inquiète pour moi, je t'amène que des problèmes.

Sur ces mots, des larmes coulèrent sur mes joues. Au même moment, nous nous sommes arrêtés près d'un ruisseau. À se moment là, Bellamy me posa sur le rocher. Je tomba presque, je n'étais pas capable de soutenir mon propre poids. Je me coucha sur le côté. Bellamy s'approcha et me dit:

Bellamy: Tu es l'une des meilleurs choses qui ne m'est jamais arriver princesse!

Des larmes coulèrent encore plus. Je ferma les yeux. Il essuya mes yeux des doigts. Quand j'ouvrit mes yeux, il me regardait avec un immense sourire. Il était si mignon.

Lui & elleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant