Dans les chapitres précédents...
Aussi vite qu'arrivée, nous foncions dans la forêt. J'étais près à tous, la garder en vie, la protéger, tous.|Treize kilomètres du camp|
[Point de vue Bellamy]J'étais fatiguer. Je n'avais pas dormis depuis deux jours. Cela fessait deux jours que nous étions en course dans la forêt. Deux jours que Clarke m'avait dit qu'elle avait peur.
Je portais Clarke dans mes bras. Elle ne m'obligeait pas mais je ne voulais pas la lâcher. Elle semblait si fragile. Elle qui d'habitude était capable de diagnostiquer les pires maladies ou de soigner les pires blessures, semblait ne même plus savoir qui elle était. Elle était pâle et j'avais peur de lui faire du mal quand la prenant. Je lui parlais, elle ne répondait que par des mots de trois syllabes et par des signes de tête. À vrai dire, je n'en voulais pas plus. Je voulais seulement qu'elle vive. Je ne voulais et je ne pouvais pas me passer d'elle encore une fois.
Comme à l'habitude, je marchais derrière ma sœur et Lincoln. Eux, ils nous guidaient. Certainement, nous n'allions pas aussi vite que voulu mais ce n'était rien. On se supportait la dedans.
Je sortis de mes pensées par l'arrêt brusque de mes guides. Je questionnais Octavia du regard. Elle comprit.
Octavia: On évalue le chemin le plus rapide.
Bellamy: Ok, combien de temps?
Lincoln: Environ une heure, si tout va bien.Il jeta un regard a Clarke.
Lincoln: Elle va pas bien. On est trop lent.
Je commença à m'énerver.
Bellamy: Alors. Comment veux-tu aller plus vite?
Lincoln: Laisse moi la porter. Tu te reposera.
Bellamy: Pas question.
Octavia: Bell, s'il te plaît, tu est à bout de force...Je l'accorde. J'étais épuisé. Je transféra Clarke dans les bras de Lincoln. Je lui déposa un baisé sur son front. Et lança à Lincoln:
Bellamy: Fait attention à elle, compris?
Il acquiesça.
Nous avancions vite. Beaucoup plus vite. Lincoln était bien plus rapide et cela me fit broyer du noir en arrière et au grand "dam" de tous, Octavia le remarqua.
Octavia: Bell, soit pas jaloux. C'est toi que Clarke aime!
Elle m'adressa un sourire taquin.
Bellamy: Je vois pas de quoi tu parles.
[Point de vue Octavia]
Cela paraissait dans les yeux de Bellamy qu'il était inquiet, triste et toute la gamme d'émotion qu'entourait les sentiments d'un garçon amoureux. Il aimait Clarke et cela était prévisible.
Je marchais en arrière de Bellamy qui broyait du noir, orgueilleux il est!
[Point de vue Clarke]
Quand je me réveilla, je ne senti plus une présence douce et chaleureuse mais plutôt un corps de guerrier. Je leva les yeux. Lincoln. Puis, d'un coup, je me sentie toute étourdit. Je ferma les yeux. Je les ouvrit un autre fois puis demanda à Lincoln si je pouvais boire. Ma gorge était sèche. Il s'arrêta et j'entendis les protestations de Bellamy.
Bellamy: Hey, pourquoi on s'arrête ? Il faut y aller! On est tout près! Allez! Elle est faible, faut se dépêcher!
Clarke: Je vais bien...
Lincoln: Elle avait soif.Je pris une gorgée. Bellamy accourue près de moi! Je le rassurais du regard. Il entreprit de me prendre.
Lincoln: Je peux la porter, tu sais?
Bellamy: Ouais, je peux aussi.Sans protester Lincoln prit de devant notre groupe. Je ferma les yeux. Je ne dormis pas mais les laisser ainsi semblait moins me fatiguer.
Je les ouvrit quelques secondes plus tard. Plutôt, quelques minutes. Je fixa mes yeux sur le trajet que nous fessions. Je ne devais pas penser à mon mal. Ont tournaient autour des arbres, je ne reconnais rien! J'étais partit trop longtemps et je le regrettais.
Après environs une quinzaine de minutes nous sommes arrivés au pied d'une petite colline. Devant nous se dressait l'imposant camp Jaha.
[Point de vue Bellamy]
Nous l'avions fait. Nous étions de retour. Au pas de course, nous traversions le sentier qui nous séparait du camp. En une fraction de secondes nous étions à l'entrée.
???: Ouvrez la porte.
La porte s'ouvrit. Je dépassa Lincoln et Octavia, je m'engouffra dans le camp.
Bellamy: Où est Abby? Où est la chancelière? Vite c'est important!
Elle sortit d'une tente. Elle accourue vers moi! Elle s'approcha et je vis dans ses yeux de la stupéfaction.
Abby: Oh mon dieu, Clarke!
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Lui & elle
Fiksi PenggemarElle était seule sans lui. Il n'était plus rien sans elle. Deux êtres qui ne sont pas fait pour être séparés. Uni par la force des choses. Il devaient la retrouver. Elle devait s'arrêter. Sans un et l'autre, ils n'étaient plus rien. Clarke et...