un dimanche brutal

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Après qu'il ce soit engager sur la route du retour , je me suis aussitôt endormi de fatigue dans la voiture .

- jo ... ? Jo....? Réveil toi , nous sommes arrivés .

Je sens une main chaude me remuer doucement sur l'épaule . je me réveil , la tête contre la vitre de la voiture , je me redresse et je regarde autour de nous , effectivement nous sommes arrivés . j'évite de le regarder et j'ouvre la portière mais sa main viens se posé doucement sur la mienne , je frissonne par son toucher et me raidi aussitôt avant de me tourner vers lui en évitant ses yeux .

- je ne suis pas malade , je fais mes testes chaque trois mois et le dernier a été la semaine dernière . ( m'explique t'il )

Je sais très bien de quoi il parle , c'est vrai que nous n'avons pas utiliser de préservatif , mais il n'y a aucun danger je le sais .

- moi non... Plus ... Je ne suis pas malade ... Et je ... Suis dans ma bonne période donc ... Il ... Il n'y a pas de chance que je tombe ... Enceinte .

Le dernière mot je le dis tout bas comme si je me parlais a moi même . j'ai la tête baissée , je me retourne et je sors de la voiture mais il sert mon poignet dans sa main , surprise , je me tourne vers lui , de son autre mains il me montre sa veste .

- tiens .... Pour ... Les marque .

Wowo , que c'est gênant , je retire rapidement ma main de la sien , perdant ainsi sa chaleur et cette sensation de sécurité et de bien être qu'il me donne. je prend la veste , la met et je ferme la portière en sortant de la voiture .

- merci . ( je dis )

Il sourit et je rougis , mon Dieu , a quoi il pense lui .

- de m'avoir raccompagné . ( je précise )

Il ricane et remue la tête doucement de gauche vers la droite . et la je peux voir ses dent qui sont d'une telle blancheur , on aurait dit une publicité pour une nouvelle pâte dentifrice .

- mais de rien . ( dit il avant de démarrer et de partir , je présume chez layn . )

Je rentre dans la maison et je vois mon père et ma mère sur le fauteuil entrain de fixer la porte . je ferme la porte derrière moi .

- maman ? Papa ? Ça va ? ( je demande )

Mes frères arrivent eux aussi dans le salon semblant m'attendre à l'escalier qui mène aux chambres . ma mère cours et viens me prendre dans ses bras , alors que les garçons ont un regard dur , ma mère m'embrasse sur le front et me serre encore plus fort , ce qui ravive la douleur de mes pauvres hanches , je grimace de douleur et ma mère se sépare rapidement de moi .

- désolé chérie ,je t'ai fait mal ? ( s'inquiète t'elle )

Je fais un non de la tête et elle a tout de suite l'air soulager .

- mademoiselle Miller , où étais tu ? ( demande durement mon père )

- tu te rends compte qu'il est 2h du matin ? Nous nous sommes inquiété pour toi . ( tonne sévèrement Alvin )

- tu aurais pu au moins appeler pour prévenir , a quoi te sert un téléphone sinon . ( gronde silvin )

Je déteste me faire gronder , le résultat est toujours pareil . j'ai les larmes aux yeux qui sont sur le point de couler . je sais qu'ils ont raison sinon maman m'aurait défendu mais tout le monde est contre moi , même Arnaud semble fâché , lui avec qui je m'entends le plus . je n'arrive plus a les retenir , alors mes larmes coulent le long de mes joues , pour les cacher pour qu'ils ne se disent pas que je joue la comédie je cours en directement de ma chambre .

mon copain , un obsédéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant