Chapitre 21 : Au mauvais endroit au mauvais moment

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PdV Maddy :

A peine les yeux ouverts, je regarda tout autour de moi, et vit un groupe d'Homme en blouse blanche discuter entre eux. En essayant de me relever, je vit que j'était attaché de la tête au pieds à une sorte de lit. Des électrodes disposées un peu partout sur mon corps.

... : Elle est enfin réveillé monsieur, dit un autre Homme qui se trouvait derrière moi.

Morgenthau : Parfait, on va pouvoir commencer, dit-il en se tournant vers moi.

Il s'approcha du lit et vient s'assoir à mon chevet, à ma gauche. Chaque personnes présente se disposa dans la pièce comme si chaque geste étaient millimétré. Mon regard se posa sur mon kidnappeur.

Maddy : Qu'est-ce que vous allez me faire... ? dis-je un peu paniqué.

Morgenthau : Pour être franc avec vous, je n'en ai pas la moindre idée, dit-il en rigolant.

Il fit des gestes avec ses main et des Hommes rappliquèrent aussitôt autour du lit.

Morgenthau : Pendant votre petite sieste, je vous ai prélevé un peu de sang pour l'analyser, dit-il en me montrant des petits tubes disposer sur une table à ma droite. Je voulais voir si grâce à ces petits tubes je pouvais récupérer ce qui m'appartiens mais on dirais bien que je ne pourrais pas vous l'enlever avec votre sang. A ma grande surprise j'ai trouvé plus de choses que je n'aurais espéré, dit-il avec un large sourire.

Maddy : Comment ça... ?

Morgenthau : J'en connais une qui peut être fière d'elle, dit-il en se levant. Mais bon là n'est pas la question. Je veux récupérer ce qui m'appartiens coute que coute. Et dans votre cas ça risque de vous faire mal, très mal.

Cela faisait à peine une semaine que j'étais rentrer et voilà où j'en suis. Les comics de mon grand-père sont réels dans une autre réalité, qui est en réalité là d'où je viens. Ensuite j'apprends qu'on m'a pris tous mes souvenirs et là je suis sur le point de me faire torturer par un psychopathe dégénéré du ciboulot, qui veux récupérer quelques choses dans mon corps, mais qu'il n'a pas la moindre idée de comment le récupérer. La panique commençais à prendre le dessus. Je sentais mes mains moites. Mais si cela devait être mes dernières heures je voulais au moins savoir pourquoi.

Maddy : S'il vous plait...pourquoi moi... ? finis-je par dire les larmes aux yeux.

Morgenthau : On peut dire que vous étiez là au mauvais endroit, au mauvais moment.

Maddy : C'est le truc rouge de mes mains, que j'ai vus tout à l'heure, que vous voulez récupérer... ?

Morgenthau : Exactement.

Maddy : Qu'est-ce que c'est exactement ?

Morgenthau : Qu'essaye-tu de faire ? Gagné du temps ?

Maddy : Gagner du temps sur quoi... ? Personne ne viendras me chercher, je ne sais même pas où nous sommes. Je veux juste comprendre. Il y a encore quelques heures je ne croyais pas en l'existence des Avengers et encore moins le voyages entre réalité.

Morgenthau : Très bien. Vous souvenez-vous d'avoir bousculé des hommes avec une mallette grise ? dit-il en enfilant des gants.

Maddy : Le cailloux rouge, dis-je presque inaudiblement.

Cela le fit sourire, mais plus un sourire nerveux.

Morgenthau : Et bien ce « cailloux rouge » comme tu dis et l'une des 6 pierres d'infinités. Qui recèle un immense pouvoir. Je ne pensais pas qu'une simple humaine pouvais le contenir mais, dit-il en posant son regard dans le miens. Tu es bien plus que ça. Tu n'a pas que la pierre en toi qui m'appartiens, tu as également une forme alternative de ce que nous avons injecté à votre amis Barnes. Et depuis que tu l'as prise en mains, elle est, comment dire, inutilisable. Finalement nous n'avons peut-être pas besoin de lui. Tu pourras remercier ta mère, dit-il en allongeant le lit.

Ma mère.

Maddy : Ma... ma mère est morte en me donnant la vie...

Morgenthau : En es-tu sûr ? dit-il en regardant la porte qui venait de s'ouvrir.

... : Bonjour ma chérie.

Alors que je voulais me relever pour voir la personne qui venais d'entrer, il me plaqua la tête contre le lit est resserra le lien qui l'entourais. Et il me mis une sorte de bâton en plastique dans la bouche.

Morgenthau : Mord-le bien, tu vas avoir mal.

La peur plein les yeux, une vague de chaleur se propagea dans mon corps. Cette même lueur rouge abrasais mon corps, comme si j'étais en feu ma ça ne me faisait pas mal.

Morgenthau : Magnifique, dit-il avec des étoiles dans les yeux. Tu peut être fière de ton travail Ophélia.

Ophélia : Merci maitre.

Morgenthau : Voyons voir comment on va pouvoir t'enlever ça. Dégagez le corps. C'est partie ! dit-il en appuyant joyeusement sur un interrupteur.

L'instant d'après je compris l'utilité des électrodes. Une décharge électrique me transperça le corps. Chaque centimètre carré de mon corps se contacta sous la décharge que je recevais. J'hurla de toute mes forces, essayant de me débattre mais c'était peine perdue. Personne dans cette pièce allait m'aider. J'allais donc mourir ici.

Fin PdV Maddy.






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Salut ! ☀️

Après un long moment d'absence, voilà un nouveau chapitre. J'avais arrêté d'écrire par manque de motivation mais me revoilà. Cette histoire est la première que j'écris et je compte bien aller jusqu'au bout maintenant.

Bonne lecture 📖

MADDY LEE - De l'imaginaire à la réalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant