Un amour de gang (Ran haitani x Oc)

Chapitre 3: L'initiation d'Iris

~PDV IRIS~

Alix et moi, nous nous tenons derrière les deux hommes, les suivants en silence. Ils nous font passer dans pleins de couloirs, ont monte des escaliers et on passe dans des pièces. Vraiment si on me demandais de revenir dans la pièce où l'ont étaientt, j'en serais incapable! Nous arrivons devant une porte et avant de rentrer, les deux hommes se retournèrent vers nous.

Ran: Désolé mais c'est une à la fois!
Rindo: Qui de vous deux passe en première?
Iris: Pierre, feuille, ciseau et celle qui perd y vas?
Alix: Okay ça me va!
Iris et Alix: Pierre feuille ciseau!

Je fis la feuille tandis qu'elle fis le ciseau.

Ran: Aller viens suis moi Iris!
Iris: Bon bah ma malchance me colle au cul écoute! J'y vais du coup souhaite moi bonne chance!

Ran entra dans la pièce et je le suivis sans dire un mot. Une fois à l'intérieur de la pièce, Ran ferma la porte derrière moi. Un autre homme se trouvais devant moi. Il avait un mulet rose et deux cicatrices en forme de losange sur les deux côtés de la bouche. Il me regarda et me souris avec un sourire pervers.

Le flamant rose: Wow je vois que tu apporte de la qualité Ran! Le boss ne s'était pas trompé sur leur beauté. Enfin c'est son cas!
Iris: Je sais je suis canon c'est quoi la suite du programme le flamant rose?

Ran explosa de rire et le flamant rose perdit son sourire.

Le flamant rose: Ne m'appelle pas comme ça sinon tu-
Iris: Tu préfères le malabar? Où la fraise tagada peut être? Si tu veux pas que je t'appelle comme ça donne moi ton nom!

Cette fois Ran se roulait carrément par terre tellement il rigolait.

Le malabar: Toi tu vas le regretter ma petite!

Il mis sa main autour de mon coup, la serra et me plaqua contre le mur.
Malgré tout ça, je soutiens son regard et ne laissa pas une once d'inquiétude quitter mes yeux.

Le malabar: Arrête de jouer avec moi sinon je te promet que ça va mal se finir! Et pour ta gouverne je m'appelle Sanzu!
Iris: Ouais non c'est mieux le malabar!

Ran étais vraiment en train de s'étouffer. Je tourne ma tête vers lui et lui dis:

Iris: Respire Ran! Se serai con que tu crève comme ça!
Ran: Désolé mais c'est beaucoup trop drôle! Comment tu te fous ouvertement de sa gueule! C'est plus fort que moi!
Sanzu: Mais fermez vos gueule tout les deux! JE SUIS LA!
Iris: Ran tu n'entend pas un bourdonnement par hasard?
Ran: Tu vas vraiment me tuer Iris arrête!

Je sentis la main se resserrer encore plus sur mon coup, puis je me sentis soulever et jetais contre un meuble.

Iris: Wow j'ai fait un vol planer c'est violent!

Je me relève et enlève les saleté qui étais sur ma robe. Car oui j'ai toujours ma robe de quand j'étais en boite.
Je relève ma tête et vois que Ran est toujours à terre essayant de se calmer et le malabar me regarder avec des yeux noirs.

Le malabar: Bon revenons en à notre sujet. Si tu es là, c'est parce que on doit te tester pour t'accepter dans nos rangs comme tu dois t'en douter.
Iris: C'est ironique quand même, parce que vous nous obligez à en faire partie mais on doit quand même se faire tester. Ralala plus ça avance plus j'adore!
Sanzu: Enfin bref, moi je suis le second du Boten et heureusement pour toi, ce n'est pas moi qui vais juger si tu es apte ou pas à rentrer dans le gang ou non. Sur ce bonne merde.

Avant de dire quoi que se soit, je vis Ran se relever et mettre un sac sur ma tête puis je sentis qu'il me soulevais et me porter en mode princesse. Après une dizaine de minutes je sentis qu'on se retrouver à l'extérieur, mais pas pour longtemps car je sentis qu'il me posa dans la voiture. Puis, une vingtaine de minute plus tard, la voiture s'arrêta et je sentis une personne me reprendre en mode princesse et m'entraîner à l'intérieur d'un bâtiment. On m'enleva le sac sur ma tête, et je vis que c'était Ran qui me portait encore. Il me posa et je regarda autour de moi pour savoir où je me trouvais. Je vis que nous étions dans une salle vide où au milieu, se trouvait un homme attaché à une chaise et la seule lumière qui éclairait la pièce, était braqué sur lui. Le reste de la pièce était plongée dans le noir, il n'y avais pas de fenêtre et qu'une seule porte pour rentrer et sortir. À côté de l'homme attaché, il avais une petite table avec différents outils de torture. Je vis un autre homme s'approcher de moi. Il avait les cheveux blancs raser d'un côté, et l'autre tombant sur ses yeux.