Chapitre 19:

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« - Rappelles toi. Ne fait pas d'appel à l'aide, agis normalement au travail et surtout tu souris ok ? »

Je replaçais quelques mèches de cheveux sur le visage à Sero pour cacher sa blessure au front.

« - Pourquoi ne pas demander de l'aide directement Kayno ? Ça sera plus facile !

- Non. »

Je regardais dans le salon pour voir si mes parents nous écoutaient mais ils étaient trop préoccupés à se préparer.

« - Ça ne fera que d'empirer les choses.

- Ok si tu veux mais essaye de chercher ton téléphone et tes clés aujourd'hui, d'accord ? »

J'hocha la tête vivement en guise de réponse.

« - Bon on y va. Affirma mon père.

- Oublies pas que si tu essaye de t'échapper on te retrouvera Kayno. »

Mon père prit l'épaule de Sero et l'accompagna jusque dans la voiture pour l'emmener au travail. Ma mère me jeta un dernier mauvais regard avant de fermer la porte à clé et je me retrouvais seule dans la maison.

« - Ils vont sûrement retourner le cerveau de Sero. »

Sans prendre la peine de manger, je me mit directement à chercher mes affaires.

.

J'ai fait toutes les pièces et il n'en reste plus qu'une seul.

Je tourna la poignée et poussa la porte.

Oh.

Je repoussa la porte mais elle ne s'ouvrait pas.

« - Sésames ouvre toi...? »

Je tentais une dernière fois mais elle ne s'ouvrait définitivement pas.

Je levais la tête pour voir quel était cette pièce.

« - Bien évidemment, c'est la chambre de mes parents... »

Je soupirais en cherchant quoi faire pour ouvrir cette foutue pièce.

Je sais !!
Il faut que je crochètes la serrure !

...

On fait comment même ?

« - Je serais bien aller chercher un tuto sur YouTube mais j'ai plus de téléphone. »

Je soufflais bruyamment, ne sachant plus trop quoi faire.

.

J'avais cherché toute une journée entière et je n'avais rien trouvé pour ouvrir cette putain de porte.

Ils allaient revenir d'un minute à l'autre et je devais faire comme si de rien était.

Je me levais de cette porte et me dirigeai jusque dans ma chambre pour faire comme si je lisais un livre.

J'entendais la porte s'ouvrir et trois personnes différentes y entrer. Je ne descendis pas tout de suite mais au même moment où je voulais le faire, on frappa à ma porte.

« - Oui ? »

Mon géniteur ouvra en grand et semblais me regarder avec agacement.

« - Je rentre du travail, je suis fatigué et t'es pas foutu de préparer quelque chose à manger ? »

J'arrive a brûler des pâtes et tu me demande de te faire à bouffer ? Tu tiens pas assez à ta vie on dirait.

Ne voyant que je ne répondais pas l'énervât encore plus qu'autre chose.

"𝑃𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑡'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟..." Dadzawaxoc T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant